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La haine envers Trump ne le concerne pas personnellement — elle est haine de la vie


Donald Trump, président des États-Unis.

Par François Gilles (Campagne Québec-Vie) — Photo : Gage Skidmore/Flickr

Peu importe son opinion sur le personnage, il n’est pas possible de recueillir autant de haine de la part de la classe médiatique pour ses réalisations, que certains pourraient en toute légitimité qualifier d’ordinaire.

Cherchons ce qui a, chez Trump, été une catastrophe telle qu’elle le démarque vraiment de ses prédécesseurs Obama, Bush et Clinton. Difficile à dire.

Regardons maintenant plus près de nous, Andrew Scheer. Qu’a fait de si mal l’ancien chef conservateur ? Il a remporté le vote populaire aux dernières élections, augmenter le nombre de sièges pour le parti conservateur, et, avec l’obtention d’un gouvernement minoritaire, une prochaine élection est à prévoir rapidement.

Or, dès l’annonce des résultats, les journalistes ont mentionné que Scheer devait démissionner. Il a en fait prononcé cette phrase impardonnable. Il est personnellement pro-vie. Ce qui est inacceptable pour la classe médiatique en 2020. Si les journalistes ont été plus clairs ici au Canada sur les raisons pour lesquelles le chef conservateur devait être évincé, dans un pays où les forces pro-vie sont relativement plus faibles qu’aux États-Unis, on n’utilise pas la même méthode avec le président américain.

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Un président peu recommandable dans sa vie personnelle ? De John Fitzgerald Kennedy à Bill Clinton, certains présidents sont connus pour avoir des défauts personnels divers et d’importance variable. Mais Trump a la qualité d’être le président le plus pro-vie de l’histoire américaine. Comme le combat pro-vie est en voie d’être emporté dans l’opinion publique américaine, on ne peut l’attaquer, sur ce point qui est le vecteur de toute la haine contre sa personne. Toutes les autres raisons sont alors montées en épingles pour le discréditer. Des raisons souvent valables, mais qui ne justifient en aucune façon le traitement différent qui lui est porté comparativement aux présidents précédents, tout comme le traitement infligé au juge Kavanaugh fut le théâtre d’un modèle d’injustice médiatique et politique.

La haine de Trump tient à ce qu’il est pro-vie et qu’il a la possibilité de faire la différence. Il devient donc ainsi le sujet de toutes les attaques des plus sournoises aux plus déloyales. Et cela est d’autant plus vrai lorsqu’il s’agit d’attaques provenant de « catholiques », idiots utiles ou faux chrétiens, qui doivent défendre leur choix du parti démocrate.

Rappelons ici l’impressionnant bilan pro-vie de Trump.

Et regardons les critiques.

D’abord celle de Richard Hétu dans La Presse du 21 septembre 2020 :

Puis celle de Michel C. Auger de Radio-Canada dans cet article du 21 septembre 2020 :

Enfin, ce que les médias canadiens ne vous diront jamais sur Trump, malheureusement seulement en anglais, sur le combat pour la liberté religieuse aux États-Unis, combat que l’Église au Québec a perdu parce qu’elle ne l’a jamais mené.



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