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La décision de la Cour Suprême d'invalider des articles de loi sur la prostitution déçoit le chef de la police de Montréal

Sur le site du journal La Presse du 20 décembre 2013, un aperçu de la décision :

(Photo : videoqualia sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

 

Dans un jugement unanime et historique, la Cour Suprême invalide trois articles de lois qui interdisent le proxénétisme, la sollicitation et la tenue d'une maison de débauche.
(...)
Les travailleuses du sexe pensent que la situation s'améliorerait si la prostitution était légalisée. Mais d'autres féministes en doutent sérieusement. Ces « abolitionnistes » soulignent que l'exploitation sexuelle et la traite des femmes n'ont pas disparu dans les rares pays qui ont suivi cette voie. Au contraire, ces crimes ont pris de l'ampleur en Allemagne et aux Pays-Bas.

Sur le site du Journal de Montréal du 20 décembre 2013, un interview de Marc Parent, chef du Service de police de la Ville de Montréal.

«C'est une décision qui nous freine un peu par rapport à nos intentions d'éradiquer la prostitution sur le territoire de Montréal»,
(...)
Il a également rappelé qu'il était souvent question «de juvéniles et de traite de personnes dans ce milieu».

Il faut rappeler que l'âge moyen d'entrée des femmes ou plutôt, des adolescentes, dans le monde de la prostitution au Canada est de 14-15 ans...

Et que, selon Julie Miville-Deschêne, présidente du conseil du statut de la femme, avec laquelle nous sommes pour une rare fois d'accord :

« Les conditions sécuritaires en prostitution n'existent pas! L'activité est dangereuse! Dans la plupart des cas, c'est de l'exploitation », a-t-elle ajouté sur son compte Twitter.

Payer pour réduire l'autre en un objet à utiliser est toujours de l'exploitation.

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