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La Chambre basse d'Espagne adopte un projet de loi pour mettre en prison les pro-vie qui prient devant les cliniques d’avortement

Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie

Les voix pro-vie sont de plus en plus réduites au silence dans le monde entier.

Jeudi, le Congrès des députés espagnols a adopté un projet de loi qui punirait de prison les conseillers pro-vie de trottoir qui tendent la main aux femmes enceintes à l’extérieur des centres d’avortement, rapporte Spanish News Today. La législation a été adoptée par 204 voix contre 144 à la chambre basse et doit maintenant être examinée par le Sénat.

Les militants de l’avortement prétendent que son objectif est d’empêcher le harcèlement des femmes qui cherchent à avorter, mais les conseillers pro-vie de trottoirs sont en grande majorité pacifiques.

Même la prière à l’extérieur des centres d’avortement serait criminalisée si la loi était adoptée. Selon l’article, « ... les personnes qui harcèlent les femmes entrant dans les centres d’avortement ou le personnel qui y travaille “par des actes offensifs, intimidants ou coercitifs”, comme les railleries ou la prière » pourraient être punies d’une peine de prison.

« La prière n’est pas une liberté d’expression si le résultat final est la coercition », selon une déclaration d’un groupe féministe pro-avortement qui soutient le projet de loi, rapporte Spanish News Today.

Le projet de loi n’exige pas non plus qu’il y ait une plainte de la femme demandant un avortement pour que le pro-vie soit poursuivi, indique l’article. Cela signifie que les pro-vie pourraient aller en prison pour avoir aidé des mères enceintes qui apprécient les informations et le soutien qu’ils fournissent.

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Selon Spark Chronicles, les pro-vie qui prient ou tendent la main aux femmes en violation de l’interdiction pourraient être condamnés à 12 mois de prison et à 80 jours de travaux d’intérêt général.

Partout dans le monde, les militants de l’avortement s’efforcent d’éroder les droits à la liberté d’expression par le biais de lois comme celle de l’Espagne. Aux États-Unis, un certain nombre de grandes villes ont adopté des ordonnances créant des « zones tampons » qui interdisent aux défenseurs de la vie de faire de la sensibilisation à moins d’un certain nombre de mètres d’un centre d’avortement.

En Angleterre, un homme en fauteuil roulant a été arrêté en 2019 pour avoir prié pour des femmes et des bébés à naître devant un centre d’avortement dans l’ouest de Londres. Et l’année dernière, les législateurs d’Australie-Occidentale ont adopté une vaste zone tampon de 150 mètres autour des cliniques d’avortement, avec jusqu’à 12 mois de prison pour les contrevenants.

Les zones tampons violent la liberté d’expression des défenseurs de la vie et nuisent aux mères et aux bébés. À l’extérieur des centres d’avortement du monde entier, les pro-vie offrent des informations et des ressources pour aider les parents à choisir la vie pour leurs bébés. Ils fournissent des informations et un soutien que les établissements pratiquant l’avortement n’offrent souvent pas, comme des renseignements sur le développement du fœtus et des ressources pour la grossesse et l’éducation des enfants dans la communauté. De nombreux pro-vie prient également pour les victimes de l’industrie de l’avortement et offrent des conseils et d’autres formes d’aide aux femmes ayant subi un avortement.

L’industrie de l’avortement sait que les conseillers de rue pro-vie aident les mères à choisir la vie pour leur bébé à naître, ce qui réduit leurs profits. Les groupes pro-avortement dépensent d’énormes sommes d’argent pour faire pression sur les législateurs afin qu’ils adoptent des zones tampons, rendant ainsi plus difficile pour les pro-vie d’offrir l’aide que tant de mères recherchent désespérément pour elles-mêmes et leurs bébés.



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