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L'Organisation Mondiale de la Santé veut obliger les médecins à pratiquer les avortements s'ils ne trouvent pas d'avorteurs...

Sur le site de l'OMS, on trouve ce document :

(Photo : locaux de l'OMS à Genève)

(photo : Gfuerst sur wikimedia.org, licence creative commons)

 

Avortement sécurisé :

Deuxième édition
Directives techniques et stratégiques
à l’intention des systèmes de santé

Cette deuxième édition date de 2013. Elle vise à :

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a mis à jour sa publication de 2004 Avortement médicalisé : directives techniques et stratégiques à l’intention des systèmes de santé. Les directives présentées dans cette nouvelle version s’adressent aux décideurs, aux directeurs de programmes et aux personnels qui dispensent des soins liés à l’avortement. Bien que les contextes juridiques, réglementaires, politiques et de prestation de services puissent varier d’un pays à l’autre, les recommandations et les meilleures pratiques décrites dans le présent document ont pour objectif de permettre une prise de décisions basée sur les faits pour tout ce qui a trait à l’avortement sécurisé.

Des recommandations sans valeurs prônant l'avortement sur demande. L'OMS utilise le fait de l'avortement clandestin pour tenter de justifier l'avortement médical. Et ne se gêne pas pour prôner l'imposition du meurtre aux médecins récalcitrants, la quasi totalité des médecins, qui refusent de tremper leurs mains dans le sang des enfants qu'ils auraient tués, s'ils ne trouvent un avorteur pour les remplacer. À la page 104 :

4.2.2.5 Objection de conscience

Certains professionnels de la santé se refusent parfois à pratiquer l’avortement pour objection de conscience, sans pour autant adresser la patiente à un autre prestataire. En l’absence d’un prestataire de services d’avortement facilement disponible, cette pratique peut retarder les soins pour les femmes nécessitant un avortement sécurisé, ce qui augmente les risques pour leur santé et leur vie. Bien que le droit à la liberté de pensée, de conscience, et de religion soit protégé par les lois internationales sur les droits de l’homme, ces lois stipulent aussi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction peut faire l’objet de restrictions nécessaires à la protection des droits fondamentaux d’autrui (61). Par conséquent, les lois et les réglementations ne donnent pas aux prestataires et aux établissements le droit d’entraver l’accès des femmes aux services de santé légaux. (62)

-Les agents de santé qui invoquent l’objection de conscience ont l’obligation d’adresser la patiente à un autre professionnel consentant et qualifié du même établissement, ou d’un établissement facilement accessible, en accord avec les lois
nationales. Quand ce transfert n’est pas possible, l’agent de santé a l’obligation de pratiquer l’avortement pour sauver la vie de la femme ou pour prévenir tout effet néfaste sur sa santé. Les services de santé doivent s’organiser de telle manière que l’exercice effectif du droit à la liberté de conscience des personnels de santé dans le cadre professionnel n’empêche pas les patientes d’accéder aux services auxquels elles ont droit en vertu de la législation applicable.

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