Janet Aldricht.
Par David McLoone — Traduit par Campagne Québec-Vie
Hamilton, Massachusetts, 20 septembre 2021 (LifeSiteNews) — Après une période éprouvante de neuf jours au cours de laquelle on lui a refusé un traitement contre le COVID-19 et la pneumonie, et où elle a été véritablement séparée de sa famille, Janet Aldrich est sortie de l’hôpital.
Pendant neuf jours, Janet Aldrich, 78 ans, s’est vu refuser les soins qu’elle demandait pour ses problèmes de santé potentiellement mortels. Elle a même été placée de force en isolement après avoir révélé aux médecins qu’elle n’avait pas reçu (et ne recevrait pas) l’injection expérimentale de vaccin COVID-19.
Aldrich a été admise au Lahey Hospital and Medical Center de Burlington, au Massachusetts le 5 septembre, après avoir développé une pneumonie dans ses deux poumons. À son arrivée à l’hôpital, Aldrich a précisé qu’elle ne souhaitait pas être placée sous ventilateur, mais après avoir été testée positive au COVID-19, les médecins ont insisté pour qu’elle utilise la ventilation mécanique, lui disant que sinon elle pourrait mourir dans les 24 heures.
LifeSiteNews s’est entretenu avec une amie proche de la famille d’Aldrich, qui a déclaré que l’hôpital est devenu très hostile après qu’Aldrich ait refusé la ventilation. « Chaque jour, ils ont fait pression sur elle, l’ont intimidée, ont essayé de l’épuiser pour qu’elle accepte d’être placée sous respirateur », a-t-elle déclaré.
L’hôpital a continué à pousser Aldrich à recevoir le régime de traitement potentiellement dangereux qu’elle avait résolument rejeté pendant huit jours d’affilée. « Ils l’ont harcelée plusieurs fois par jour… Même la nuit précédant sa sortie de l’hôpital, sachant qu’elle allait rentrer chez elle, ils ont essayé de la persuader de passer sous respirateur », a déclaré la source de LifeSite.
L’amie de la famille a déclaré que le personnel de l’hôpital était au départ « très gentil et très doux avec elle ». Mais après avoir appris qu’Aldrich n’avait pas accepté le vaccin COVID, « elle dit que leur attitude a immédiatement changé ».
La sœur d’Aldrich, Patricia Lefebvre, a déclaré au commentateur conservateur et animateur de radio Jeff Kuhner qu’après qu’Aldrich ait révélé qu’elle ne prendrait pas de vaccin COVID, « l’ensemble du personnel s’est montré extrêmement hostile à notre égard, ils ne nous ont pas écoutés et n’ont pas accepté nos demandes de lui faire suivre un régime médicamenteux ».
Le médicament demandé par Aldrich a été prescrit par America’s Frontline Doctors (AFLDS) et s’est avéré efficace contre le COVID-19. Au lieu de cela, « tout ce qu’ils font [à l’hôpital Lahey], c’est lui donner une perfusion et de l’eau, elle est sous oxygène de haut niveau... et son état empire », a expliqué Lefevbre. « Ils ne veulent même pas lui donner un cocktail de vitamines ».
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Après avoir continué à refuser la recommandation de l’hôpital qui consistait à la mettre sous respirateur, puis avoir été placée en isolement où elle ne pouvait pas voir sa famille ni être surveillée par d’autres personnes que le personnel de l’hôpital, Aldrich est finalement sortie de Lahey le 14 septembre en sachant qu’elle allait bientôt mourir ; toutefois, son état de santé s’améliore maintenant.
Journaliste chevronnée et fervente chrétienne, Janet Aldrich a bénéficié d’un plan de traitement pour sa maladie de la part de l’AFLDS, un groupe de médecins qui se consacre à la promotion de recherches véridiques sur le COVID-19 et sur les remèdes disponibles.
Le groupe de défense des libertés politiques WeThePeople, basé dans le Massachusetts, a déclaré que la famille d’Aldrich avait demandé à l’hôpital d’utiliser le protocole COVID de l’AFLDS, conformément aux souhaits d’Aldrich. Après s’être vu refuser les soins qu’elle demandait, la famille a demandé une injonction d’urgence afin que cette personne de 78 ans puisse commencer à prendre le médicament prescrit.
« L’hôpital Lahey a refusé et une ordonnance du tribunal n’a pas été obtenue », écrit WeThePeople.
La source de LifeSite a confirmé que les tribunaux n’ont pas pu se saisir du cas d’Aldrich pendant plusieurs jours, si bien que « la situation était devenue si mauvaise et si hostile que la famille a décidé que tout ce qu’elle voulait, c’était la faire sortir de là… c’est tout ce qu’elle voulait. Ils voulaient juste qu’elle sorte pour que ses choix de santé soient respectés ».
L’amie d’Aldrich a confirmé qu’« il n’était pas question pour l’hôpital de proposer ce traitement [le protocole AFLDS] parce qu’il serait alors en accord avec la médecine alternative et non avec le courant dominant de Big Pharma... La vérité est censurée et c’est très suspect et extrêmement effrayant ».
Elle a expliqué qu’Aldrich ne recevait pas de liquides [je ne sais pas exactement de quoi l’article parle]* et qu’un ordre de ne pas réanimer avait été imposé, bien que ni Aldrich ni son mandataire de soins, Mark Aldrich, ne l’aient demandé.
La situation s’étant détériorée, une manifestation s’est formée à l’extérieur de l’hôpital, où les supporters ont exigé que Lahey respecte les souhaits d’Aldrich et commence à traiter son état sans utiliser de ventilateur.
Ils ont également protesté contre l’isolement forcé d’Aldrich qui, de plus, semblait violer le règlement de l’hôpital. En vertu de la loi fédérale, l’hôpital Lahey est tenu de veiller à ce que les patients soient « exempts d’isolement et de contention, sous quelque forme que ce soit, imposés par le personnel à des fins de coercition, de discipline, de commodité ou de représailles ».
Quelques jours plus tard, Lahey a accepté de libérer Aldrich et elle a pu rentrer chez elle, où elle est maintenant soignée par un médecin de son choix et utilise le plan de traitement de l’AFLDS. Aldrich attribue sa sortie de l’hôpital Lahey aux nombreux amis, membres de sa famille, médecins et avocats — ainsi qu’à tous ceux qui ont manifesté à l’extérieur de l’hôpital ─ qui ont œuvré pour sa libération, 24 heures sur 24, tout au long de son séjour de neuf jours à l’hôpital. àL’hôpital Lahey n’a pas répondu immédiatement à la demande de commentaires de LifeSite.
Lefebvre a déclaré à LifeSiteNews que la pneumonie d’Aldrich s’était résorbée depuis et qu’« il semble qu’elle soit vraiment en voie de guérison ».
« Elle se sent merveilleusement bien », a ajouté Lefebvre, « mais je ne pense pas qu’elle soit consciente du temps qu’il lui faudra pour revenir [à sa pleine santé] ».
À peine un peu plus de 24 heures après sa sortie de l’hôpital, Aldrich a remercié, sur les médias sociaux, tous ses supporters qui ont adressé une pétition à l’hôpital pour que celui-ci respecte ses souhaits et qui ont prié pour elle.
« Je veux simplement remercier toutes les personnes qui ont prié pour moi. Unissons-nous et formons un grand mur de guerriers de la prière contre tout ce qui se passe. Merci beaucoup », a déclaré Aldrich.
Tout en recevant de l’oxygène pour l’aider à respirer, Aldrich a expliqué : « Je suis dans la maison de mon fils ; il a créé une pièce entière pour moi, et je suis prise en charge par les personnes les plus extraordinaires ».
« Je tiens vraiment à vous et je vous remercie infiniment pour vos prières. Je suis bien en vie, je ne suis pas morte ».
Pour Janet Aldrich, qui défend ouvertement la Constitution américaine et les droits et libertés des citoyens américains, s’opposer à l’hôpital Lahey ne consistait pas simplement à protéger ses propres décisions de santé, mais celles de tous les Américains. « C’est à cela que Janet a consacré sa vie : se lever, montrer et dire la vérité. Défendre la liberté », a expliqué son amie à LifeSite. « C’est une grande patriote ».
Aldrich a inévitablement accumulé des frais médicaux élevés pendant son séjour à l’hôpital et maintenant qu’elle reçoit des soins auprès de médecins à titre privé, les coûts continuent de croître. À cette fin, son fils Mark a mis en place une campagne de collecte de fonds GiveSendGo.