Le Dr Brent Boles tenant dans ses mains un nouveau-né, mis au monde par césarienne.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Un message Facebook d’un médecin pro-vie du Tennessee a été partagé plus de 2 000 fois, et pour une très bonne raison. Avec une seule photo, le Dr Brent Boles a montré à des milliers de personnes que la neutralisation de la pilule abortive fonctionne vraiment.
« Récemment, j’ai opéré cet accouchement, et je partage la photo avec la permission du patient », a-t-il écrit. « Vous voyez, quand une femme prend la pilule abortive, elle le regrette souvent immédiatement. C’est exactement ce qu’a fait cette patiente. »
Sur la photo qu’il a partagée, on peut voir Boles tenir un nouveau-né après une césarienne. Ce bébé, destiné à l’avortement, a été sauvé grâce aux efforts d’un médecin pro-vie dévoué et d’une mère qui a changé d’avis après avoir commis une erreur quasi fatale. [le Dr Boles écrit sur son post Facebook :]
Récemment, j’ai opéré cet accouchement, et je partage la photo avec la permission du patient. Vous voyez, quand une femme prend la pilule abortive, elle le regrette souvent immédiatement. C’est exactement ce qu’a fait cette patiente. Les fournisseurs d’avortements mentiront et diront aux gens qu’il n’y a aucun moyen de l’inverser. Ce n’est pas vrai. Cette patiente a découvert www.abortionpillreversal.com et je fais partie du groupe de prestataires de soins pro-vie qui sont prêts à essayer d’inverser le poison qu’on leur a donné. Parfois, cela fonctionne et parfois non, mais comme vous pouvez le constater, cela en vaut la peine.
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Comme expliqué dans la vidéo ci-dessous par l’ancien avorteur Dr Anthony Levatino, la pilule abortive est utilisée pendant les 10 premières semaines de grossesse. La première étape consiste à administrer la pilule RU-486, ou Mifépristone, qui agit pour bloquer la progestérone, une hormone qui dans le corps de la mère protège le bébé en stabilisant les parois utérines. Sans cette progestérone, la muqueuse utérine se dégrade et l’enfant est privé de nourriture ce qui cause sa mort. Cependant, si la femme ne prend pas la deuxième pilule, le Misoprostol, qui aurait pour effet d’expulser l’enfant, elle peut être en mesure d’arrêter les effets de la première pilule en contactant AbortionPillRescue.
Après avoir pris la première des deux pilules pour avorter son enfant, la patiente de Boles a changé d’avis. Les avorteurs disent souvent aux femmes qu’elles ne peuvent pas arrêter un avortement médical et que même si elles sont capables de l’arrêter, leur enfant aura probablement des malformations. Mais ce n’est pas vrai, comme Boles le mentionne. Cette patiente, comme beaucoup avant elle, a heureusement trouvé AbortionPillRescue.com et a été envoyée à Boles.
"... je fais partie du groupe de prestataires de soins pro-vie qui sont prêts à essayer d’inverser le poison qu’on leur a donné, » écrit-il. « Parfois, cela fonctionne et parfois non, mais comme vous pouvez le constater, cela en vaut la peine. »
Selon une étude du docteur George Delgado, l’un des premiers médecins à avoir découvert que la neutralisation de la pilule abortive était possible, jusqu’à 68 % des femmes prenant la progestérone dans les 72 heures suivant la première pilule abortive sauvent leur bébé. Aucun des bébés survivants n’a eu de malformations à cause de la pilule abortive. Selon Heartbeat International, plus de 500 enfants ont été sauvés par la neutralisation de la pilule abortive et 100 autres devraient bientôt naître.
Des histoires comme celle-ci nous rappellent que l’avortement n’est pas souvent un choix de libre arbitre pour les femmes, mais un geste désespéré parce qu’elles croient qu’elles n’ont pas d’autres options. Il y a toujours une autre option que l’avortement.
Félicitations à cette nouvelle mère et au Dr Boles, dont les efforts ont permis de sauver une vie précieuse et jeune.
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