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L’avortement encore en tête des causes de décès dans le monde en 2019 : plus de 42 millions d’enfants à naître

Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie

Le 2 janvier 2020 (LifeSiteNews) – Le nombre d’enfants tués dans l’utérus représente plus de la moitié du total des décès dans le monde.

D’après l’organisme de compilation Worldometers, plus de 42 millions d’avortements ont eu lieu en 2019 dans le monde, ce qui veut dire que l’avortement est, encore une fois, en tête des causes de décès à travers la planète cette année.

Au 31 décembre, Worldometers comptait 42,4 millions d’avortements, soit plus de la moitié du nombre total de décès pour toutes causes (58,6 millions). Les avortements ont éclipsé toute autre cause de décès, y compris les décès mondiaux dus à la maladie (13 millions).

Le nombre réel d’avortements peut être supérieur ou inférieur. Toutefois, Worldometers s’appuie sur les statistiques de santé et de mortalité de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui fonde ses estimations sur celles du pro-avortement Guttmacher Institute.

« Des 56,3 millions d’avortements mondiaux estimés par Guttmacher, pas plus de 10 % peuvent être officiellement comptabilisés et il n’y a pas de preuve empirique que pour 23 %, » a écrit Michael Spielman d’Abort73. « On suppose l’autre 77 % sur la base d’un modèle statistique complexe qui prend en compte plusieurs facteurs. » Plus important encore, Guttmacher « suppose un taux d’avortement constant qui ne se voit pas affecté par la légalité de l’avortement, » sans doute pour donner des conclusions appuyant l’affirmation des groupes de pression pro-avortement qui disent que les lois pro-vie sont inefficaces.

Worldometers a trouvé des nombres similaires l’année dernière, conduisant les agences de gauche tel Snopes à tenter de minimiser les nouvelles non pas en contestant les chiffres, mais en faisant valoir que l’avortement ne devrait pas être considéré comme « cause de décès ». Pourtant, du point de vue scientifique, dire que les embryons et les fœtus détruits par l’avortement sont des êtres humains vivants relève d’un fait biologique.

Worldometers suit et prépare des statistiques sur une grande variété de sujets en temps réel, basé sur des donnés qui viennent de sources telles que les Nations unies, l’OMS, le Fonds monétaire international (FMI), et plus encore. Ils se vantent de la reconnaissance d’une grande variété d’agences médiatiques et de travaux universitaires, de citations de leurs travaux dans les médias ainsi que de l’approbation de l’American Library Association.

À date du 2 janvier, Worldometers a déjà compté plus de 190 000 avortements dans le monde en 2020.

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