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L’archevêque de Moncton fait marche arrière : le vaccin covid n’est plus nécessaire pour aller à la messe


Mgr Valéry Vienneau, archevêque de Moncton.

Par David McLoone — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Diocese Moncton/YouTube

Moncton, Nouveau-Brunswick, 27 septembre 2021 (LifeSiteNews) — L’archevêque de Moncton au Nouveau-Brunswick (Canada) a retiré un décret exigeant que les paroissiens se fassent doublement vacciner contre le COVID-19 pour assister à la messe dans son diocèse.

Le 24 septembre, l’archevêque de Moncton, Mgr Valéry Vienneau, a mis à jour les directives publiées quelques jours plus tôt, le 17 septembre, annulant la nécessité d’être « doublement vacciné » contre le nouveau coronavirus pour pouvoir assister « aux messes du dimanche ou de semaine, aux baptêmes et aux groupes de prière ».

Mis en œuvre le 22 septembre, le décret de vaccination, qui s’appliquait à toute personne âgée de plus de 12 ans, n’a duré que deux jours avant d’être annulé, apparemment en raison de « nouvelles directives de la ministre de la Santé » du Nouveau-Brunswick, Dorothy Shephard.

Les nouvelles mesures, adoptées par les quatre évêques de la province, stipulent désormais qu’« aucune preuve de vaccination ne sera exigée » pour assister à la plupart des services religieux, y compris les messes et les baptêmes, mais que l’accès aux mariages et aux funérailles sera toujours limité aux personnes ayant reçu les injections expérimentales de vaccin COVID.

« Pour les funérailles et les mariages, il n’y a pas de distance à respecter, ce qui permet remplir l’église et il n’est pas nécessaire de tenir un registre des personnes présentes. Mais pour être admise, une personne doit avoir la preuve d’une vaccination complète », lit-on dans les nouvelles instructions de Mgr Vienneau.

Les personnes qui enseignent la catéchèse aux enfants doivent également avoir reçu la double piqûre, selon le communiqué, ainsi que les adultes qui souhaitent assister aux cours.

Les employés des paroisses ne sont pas tenus d’être « vaccinés », bien que l’archevêque ait déclaré qu’il soit « hautement souhaitable » qu’ils reçoivent les vaccins contaminés par l’avortement. Ceux qui choisissent de ne pas se faire vacciner seront toutefois soumis à des tests de dépistage du COVID « périodiquement, conformément à la politique gouvernementale », et devront porter un masque facial « en tout temps ».

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« Nous comprenons les préoccupations de la Santé publique [du Nouveau-Brunswick] et nous continuons à travailler ensemble en suivant les directives émises pour réduire la transmission du COVID-19 », a écrit Mgr Vienneau.

LifeSiteNews a contacté l’archidiocèse de Moncton pour obtenir des commentaires, mais n’a pas reçu de réponse à temps pour la publication.

Étant donné le lien avéré entre les vaccins COVID actuellement disponibles et l’avortement, de nombreux catholiques s’opposent moralement à la prise de ces vaccins. Mgr Athanasius Schneider, évêque respecté du Kazakhstan, a même insisté sur le fait que l’obligation de résister à la collaboration avec l’industrie de l’avortement est si sérieuse qu’il préférerait aller en prison plutôt que d’accepter un « vaccin » contaminé par l’avortement.

En outre, les données recueillies par le Vaccine Adverse Events Reporting System (VAERS) montrent qu’aux États-Unis, 726 963 événements indésirables ont été rapportés après une injection de COVID-19, ce qui suscite des inquiétudes quant à la sécurité des « vaccins ».

Les injections de COVID ont été corrélées à 15 386 décès dans le système, ce qui représente plus de 63 % de tous les décès liés à des vaccins enregistrés dans le VAERS, bien qu’il ne s’agisse que de l’un des 85 vaccins ayant fait l’objet de rapports d’événements indésirables dans le VAERS.

Outre l’obligation de se faire vacciner pour assister à des mariages et des funérailles, les évêques ont décidé, dans le cadre des décisions révisées, de mettre en œuvre le masquage obligatoire, la restriction sévère de la capacité des églises (50 %), l’éloignement physique, la recherche des contacts et l’interdiction de chanter ensemble dans les paroisses.

Cependant, la plupart de ces mesures avaient été écartées par Mme Shephard comme [non] nécessaires pour la santé publique lors de sa précédente rencontre avec les responsables des églises de la province : « La ministre nous a clairement fait comprendre qu’elle n’exigeait pas le port de masques, la désinfection ou la distanciation sociale lors de nos rassemblements. Ces mesures restent à la discrétion des individus. »

Selon l’instruction originale de Mgr Vienneau à l’archidiocèse qui, depuis, a été retirée du site internet de l’archevêché, Mme Shephard avait rencontré les chefs religieux de tout le Nouveau-Brunswick, expliquant que le gouvernement « n’avait qu’un seul objectif » concernant la mise en œuvre de nouvelles directives en matière de santé : « augmenter le taux de personnes entièrement vaccinées dans la province ».

À cette fin, Shephard a demandé à l’archevêché de l’aider à contraindre le public à prendre un vaccin expérimental COVID en interdisant le masquage à l’intérieur et en exigeant une distance physique pour permettre aux personnes « non vaccinées » d’assister à la messe. Bien qu’elle ait fait part aux administrateurs diocésains de son désir de généraliser la vaccination contre le virus, la province n’a pas exigé de preuve de la double piqûre pour l’entrée dans les lieux de culte.

« Au lieu de cela, elle souhaite avoir des rassemblements de personnes entièrement vaccinées afin d’assurer la sécurité des gens et comme incitation pour les personnes non vaccinées. C’est pourquoi le retour aux anciennes mesures sanitaires (masque, désinfection et distanciation sociale) comme moyen d’inclure les personnes non vaccinées dans nos rassemblements n’est pas la mesure préconisée par le gouvernement », peut-on lire dans la déclaration originale de Mgr Vienneau.

Bien que cela ne soit pas exigé par le gouvernement, Mgr Vienneau a également demandé que « lors de tout rassemblement à l’intérieur de nos églises, de nos presbytères ou des bâtiments sous notre surveillance, les personnes présentes soient doublement vaccinées ».

« Le gouvernement souhaite un taux de vaccination d’environ 90 %... Le ministre de la Santé compte sur notre collaboration », a ajouté l’archevêque.

Si le décret de vaccination de Mgr Vienneau s’applique aux personnes âgées de plus de 12 ans, il a précisé que cette exemption n’existe que « dans la mesure où [les moins de 12 ans] ne peuvent pas être vaccinées actuellement ».

Les autorités canadiennes ont toutefois indiqué qu’elles souhaitaient commencer à vacciner les enfants de cette tranche d’âge d’ici début 2022. Les fabricants sont en train de tester leurs vaccins COVID sur des enfants âgés de 6 mois à 11 ans, dont les données devraient être communiquées à l’Agence de la santé publique du Canada (ASPC) « dans les prochains mois ».

Pourtant, la nécessité de vacciner les enfants contre le coronavirus est vivement contestée, l’ancien conseiller en matière de politique de lutte contre la pandémie de COVID pour le ministère américain de la Santé et des Services sociaux, le Dr Paul Elias Alexander, déclarant que « les injections de COVID n’offrent aux enfants aucune possibilité de bénéfice et seulement des possibilités de préjudice ».

Corroborant l’affirmation d’Alexander, l’Institut fédéral pour les vaccins et les bio-médicaments en Allemagne a publié un rapport détaillant le nombre de cas signalés d’effets indésirables suite à la vaccination COVID-19 chez des enfants âgés de 12 à 17 ans. Ce rapport montre que les effets indésirables des vaccins ont maintenant dépassé en nombre le total des hospitalisations liées au COVID pour les enfants de la même tranche d’âge depuis le début de la crise du coronavirus.



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