Avec le gouvernement Hollande, il faut s'attendre à tout... Sur le site de C-Fam du 1er mai 2014 :
(Photo : historicair sur wikimédia.org, licence creative commons)
Le « refus de [fournir l’accès à] l’avortement est une violation du droit international humanitaire », a déclaré Gérard Araud, Ambassadeur de France aux Nations Unies. Un diplomate israélien a également déploré que des femmes donnent naissance à des enfants conçus dans le contexte d’un viol. Cependant, peu de pays sont d’accord sur ce point.
Avant 2013, aucune mention de l’avortement n’avait été faite au Conseil de Sécurité. Les Etats se contentaient de punir les crimes ou de prendre des mesures préventives, contre par exemple la discrimination à l’égard des victimes de viols et leurs enfants.
Le site média-presse.info du 5 mai 2014 ajoute :
Le consensus général est que cette question relève de la souveraineté nationale laissée à l’appréciation des lois des différents pays. La Charte des Nations Unies s’interdit de contraindre les Etats de quelque manière.que ce soit sauf si le Conseil de Sécurité impose des sanctions ou intervient dans des situations de conflits.
Le Conseil de Sécurité (constitué de cinq membres permanents représentant les cinq plus grands pays du monde) a considéré que la demande française était non seulement inappropriée mais en même temps extravagante.
Comment pourrait-on considérer l'élimination des enfants comme un droit? Du pur délire...
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