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Infirmière: L'enfant qui survécu à l'avortement pleurait lorsqu'on le laissa seul pour mourir dans un plat en acier

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Par Sarah Terzo (LiveActionNews) - traduit par Campagne Québec-Vie

Ce bébé était viable, il respirait de lui-même et pleurait vigoureusement. Je crois honnêtement qu'on l'a laissé mourir de froid...le bébé (était) nu, abandonné de tous, et si vulnérable. Il prit un long temps à s'arrêter de geindre. 

En juin 2015, le Centre Européen pour la Loi et la Justice publiait un rapport intitulé ''Avortements en fin de grossesse et infanticide néonatal en Europe: Pétition pour les droits des nouveau-nés ayant survécu à leur avortement.'' 

Ce rapport cumulaient les histoires de sages-femmes, infirmières, et de médecins qui ont été témoins de bébés nés vivants après des avortements ratés. On n'a permis de vivre à aucun de ces bébés. Ils sont tous morts abandonnés par négligence, ou ont été tués par les médecins.

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Mme L.M., une ex-infirmière en anesthésie, décrit ce qui arriva quand un bébé de 28 semaines est né durant un avortement en France. Cet avortement date de 1987. La mére était séro-positive. L.M. a dit: 

C'était dans une maternité en banlieue (sud) de Paris en 1987. J'étais une infirmière en anesthésie dans ce temps-là et j'intervenais dans la surveillance de l'épidurale composée par l'anesthésiste... 

Les gynécologues avait convaincu (la mére) d'avorter, mais le bébé est né vivant. Les sages-femmes l'ont simplement mis dans une boîte vide, nu dans un plat d'acier inoxydable, froid, sans aucune attention. Sa mère était consciente durant le travail et la naissance du bébé; elle pleurait et voulait voir le petit, mais les médecins décidèrent que l'enfant devait mourir. Ils ne donnèrent pas l'enfant à sa mère pour l'épargner. Ce bébé était viable, il respirait par lui-même et pleurait vigoureusement. Je crois honnêtement qu'il a été simplement abandonné à la mort par le froid...c'était horrible...! Nous étions harnachés de gants, de couvre-tout, de couvre-têtes, de masques, de ''couvre-chaussures'' parce que nous avions peur d'attrapper le SIDA, et le bébé (était) nu, abandonné de tous, et si vulnérable. Il prit un long temps à s'arrêter de geindre. 

Comme les autres professionnels du corps médical, L.M. se tint debout et observa l'enfant qui mourait. 

Je l'ai presque pris pour le réconforter, le réchauffer et le sauver, mais je n'ai rien fait... tous avaient tellement l'air certain que c'était la solution. L'équipe complète était malgré tout très inconfortable. L'obstétricien a pris la décision, réalisant qu'il avait médicalement accepté de produire cet avortement et  unit les sages-femmes de force. J'avais une petite fille de quatre ans à la maison et j'étais effrayée pour elle. Pourquoi se battent-ils pour sauver les prématurés alors que d'autres sont mis à mort sans humanité? Nous ne voulons pas activement les tuer, mais nous le faisons passivement! J'ai arrêté mon travail en anesthésie parce que je ne pouvais supporter d'être obligée d'endormir des femmes pour un avortement sur demande ou un avortement médical. 

L.M. n'assista plus jamais à un avortement. En 1988, une année plus tard seulement, une étude était réalisée montrant que seulement sept de 2,715 bébés nés de mères séro-positives, ont été testés positifs à la naissance. De plus, comme le mentionne le rapport européen, les bébés qui sont testés positifs à la naissance pour le VIH deviennent négatifs après quelques mois et ne soufrent jamais de SIDA. Il y a de bonnes chances que l'enfant ait une longue vie en santé. 

En 1975, je suis né à 28 semaines, au même âge que le bébé dans cette histoire. J'ai survécu sans ennuis de santé, et j'étais l'un des bébés les plus vieux à l'Unité de Soins Intensifs. Des bébés nés plus prématurément que moi ont été traités et ont survécu. Ce bébé aurait eu une bonne chance de vivre si des soins médicaux lui avaient été donnés. 

Cela brise le coeur d'imaginer un bébé seul dans une bassine froide, mourant dans l'inconfort. Les pleurs de l'enfant ont dû hanter cette mère à qui on a refusé de prendre soin de son enfant. 

L'avortement légalisé mène à une dévaluation de la vie humaine. Quand les médecins eux-mêmes décident de la mort d'un bébé par avortement, ils ont peu d'incitation d'aider un enfant si il ou elle survit à la procédure.



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