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Grande-Bretagne : pratiques eugéniques contre les personnes handicapées « atteintes » du covid

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : wavebreakmedia-micro/Freepik

En Grande-Bretagne, un organisme d’aide aux personnes mentalement handicapées a noté un nombre inquiétant d’indications de non-réanimation attribuées à ces personnes, si elles attrapaient le covid (pour ce que ça veut dire…), sans qu’elles en eussent fait la demande, selon LifeSiteNews :

Au Royaume-Uni, les personnes souffrant de handicaps de l’apprentissage ont été informées qu’elles ne se feraient pas réanimer si elles contractaient le COVID-19, selon l’association Mencap, spécialisée dans les handicaps de l’apprentissage.

Corroborant ces dires, la Care Quality Commission du ministère de la Santé indique qu’au début du confinement il y a eu un nombre disproportionné de groupes particuliers, dont les personnes âgées et celles ayant un handicap mental, auxquels ont avaient attribué un avis de DNACPR (Do Not Attempt Cardiopulmonary Resuscitation : ne tentez pas la réanimation cardiorespiratoire), indiquant donc d’après la CQC un usage abusif de ce protocole dans le milieu hospitalier. LifeSiteNews continue :

L’organisme Mencap a reçu en janvier des plaintes de personnes handicapées qui s’étaient fait dire qu’elles ne seraient pas réanimées si elles tombaient malades du covid-19.

Bien que les indications de DNACPR fussent normalement destinées aux personnes fragiles ou gravement malades qui ne tireraient probablement aucun bénéfice d’une forte RCP (réanimation cardiopulmonaire) et fussent habituellement évaluées individuellement entre le médecin et le patient, Mencap déclare que certaines personnes se voyaient attribuer une indication de DNACPR pour avoir un simple handicap de l’apprentissage.

Le directeur général de Mencap, Edel Harris, a déclaré : « Tout au long de la pandémie [confinement, plutôt*], de nombreuses personnes souffrant d’un trouble d’apprentissage ont rencontré une discrimination choquante et des obstacles à l’accès aux soins de santé, les avis inappropriés “ne tentez pas la réanimation cardiorespiratoire” ajoutés à leurs dossiers, et des coupes dans leur aide sociale ».

Et d’après vous, que se passait-il quand une personne qui aurait eu le covid et ayant eu une attaque cardiaque ne se faisait pas réanimer grâce au protocole britannique ? On aura classé ça « décès covid »…

Au Québec, en juin, on avait parlé d’un protocole officiel qui, s’il venait à manquer de lits ou de respirateurs dans les hôpitaux, permettrait à un médecin de refuser les soins intensifs à une personne ayant des déficiences cognitives sévères, comme l’autisme ou la trisomie 21, dans le cadre de la « pandémie ».


*Commentaire d’A. H.

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