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Grande-Bretagne — la police empêche une femme de prier près d’un avortoir: vos prières sont du «harcèlement»


Livia Tossici-Bolt.

Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie

Une femme britannique pro-vie qui priait tranquillement à l’extérieur d’un centre d’avortement cet automne a déclaré que la police lui a demandé de partir parce que ses prières silencieuses pouvaient être considérées comme de « l’intimidation et du harcèlement ».

Cette semaine, avec l’aide des avocats d’ADF International, Livia Tossici-Bolt a déposé une plainte contre la police de Bournemouth pour avoir violé ses libertés religieuses et sa liberté d’expression, selon Catholic News Agency.

« Tout le monde a la liberté de prier tranquillement dans un lieu public. Il ne me viendrait même pas à l’idée de faire quelque chose qui soit source d’intimidation ou de harcèlement », a-t-elle déclaré dans un communiqué. « Pourtant, ces agents de patrouille de la prière ont néanmoins essayé de nous intimider pour nous empêcher d’exercer notre liberté de pensée et d’expression — sous la forme de la prière — qui est un élément fondamental de notre société depuis des générations. »

Plus tôt cet automne, Mme Tossici-Bolt a déclaré qu’elle priait en silence avec une amie sur la voie publique près d’un centre d’avortement à Bournemouth, en Angleterre, lorsque deux agents accrédités de sécurité communautaire se sont approchés d’elles. Elle dit qu’elle et son amie se tenaient en dehors de la zone tampon, une zone autour du centre d’avortement où la ville restreint la liberté d’expression.

Alors qu’elles étaient pacifiques et respectueuses de la loi, les agents les ont accusées d’« intimidation et de harcèlement » et leur ont demandé de partir.

Elle a ajouté que les agents ont également mentionné qu’il y avait une école à proximité et que « les enfants pourraient poser des questions ». Mme Tossici-Bolt a répondu qu’il n’y avait « rien de mal à poser des questions ».

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Lois McLatchie, chargé de communication de l’ADF UK, a déclaré que la zone tampon de la ville n’est pas nécessaire et qu’elle empêche les pro-vie d’offrir une « aide véritable » aux mères enceintes dans le besoin.

« Les forces de police et les autorités locales disposent déjà d’une abondante législation pour prévenir et pénaliser le harcèlement des femmes en toute circonstance », a déclaré Mme McLatchie dans un communiqué.

Selon l’ANC, plusieurs villes du Royaume-Uni ont adopté des ordonnances sur les zones tampons, mais le Parlement britannique débat cet automne d’une législation qui créerait des espaces de censure pour les établissements pratiquant l’avortement dans toute l’Angleterre et le Pays de Galles.

La législation réduirait au silence les défenseurs de la vie en interdisant non seulement le « “harcèlement” à l’extérieur des centres d’avortement, mais aussi l’“information”, le “conseil”, l’“influence”, la “persuasion” et même l’“expression d’une opinion” », rapporte CNA.

Entre-temps, les défenseurs de la vie à Birmingham ont intenté un procès au début du mois pour contester la nouvelle ordonnance sur les zones tampons dans la ville. Selon Christian Legal Centre, qui représente les défenseurs de la vie, le simple fait d’utiliser les mots « bébé » ou « mère » à proximité d’un centre d’avortement de la ville peut conduire les défenseurs de la vie à une peine de prison pouvant aller jusqu’à six mois, en vertu de la nouvelle ordonnance.

Les avortements sont légaux quelle que soit la raison jusqu’à 24 semaines en Angleterre, et jusqu’à la naissance dans les cas d’anomalies fœtales ou de risques pour la santé de la mère.



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