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Facebook et Instagram censurent toute promotion de la thérapie réparative

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Facebook et Instagram, ainsi que d’autres entreprises, censurent la promotion de la thérapie réparative, aussi appelée « thérapie de conversion » avec une intention péjorative. Pourtant, celles dont il est question ne sont pas violentes, n’emploient pas d’électrochocs ou autres moyens brutaux, mais bien un secours verbal afin d’aider les personnes désirant rejeter l’attirance pour les gens de même sexe. Selon LifeSiteNews :

Facebook et sa plateforme de photos Instagram interdisent tout contenu promouvant un traitement visant à surmonter les attirances non désirées envers les personnes de même sexe, annonce le géant de l’internet.

L’interdiction s’inscrit dans le cadre de sa politique de lutte contre les « discours de haine », rapporte CNN, et fait suite à une controverse entourant l’organisme chrétien britannique Core Issues Trust, qui « travaille avec des personnes cherchant volontairement à passer d’un mode de vie “gay” à un mode de vie confirmant dans le genre ».

« L’Église du Christ a la responsabilité de soutenir, avec patience, compréhension, sensibilité et respect, les personnes qui ont choisi de travailler sur les questions qui les ont conduits à la pulsion homosexuelle », affirme le groupe. « Le processus de changement est souvent extrêmement douloureux et nécessite le soutien de guides compétents et d’une communauté aimante promouvant l’intégralité et la restauration ».

Cette position est haineuse, selon Instagram.

« Nous ne permettons pas les attaques contre les personnes basées sur l’orientation sexuelle ou l’identité de genre et nous mettons à jour nos politiques pour interdire la promotion des services de thérapie de conversion », tranche Tara Hopkins, directrice des politiques publiques d’Instagram pour l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique. « Nous avons retiré les contenus violents de @coreissuestrusttv. Nous sommes toujours en train de revoir nos politiques et nous continuerons à consulter des experts et des personnes ayant de l’expérience personnelle pour éclairer notre approche ».

Facebook et Instagram ne sont pas seuls à jouer aux censeurs :

« Nous avons déjà subi ce traitement de la part de Mailchimp, de PayPal et de Facebook. Et dans chaque cas, la réponse aux plaintes a été instantanée et unilatérale », déclare Mike Davidson, fondateur du Core Issues Trust, au Christianity Today. « Je pense aussi que cette censure met en évidence la nature totalitaire du mouvement de gauche LGBT [...] »

« Nous assistons effectivement à l’épanouissement du marxisme culturel », prévient-il. « C’est une révolution marxiste sous nos yeux [...] »

En effet, on peut bien trouver que l’idéologie LGBT est d’inspiration marxiste, comme le soulignait Mgr Marek Jędraszewski l’archevêque de Cracovie : « La peste rouge ne parcourt plus notre terre, heureusement, mais cela ne signifie pas qu’une nouvelle peste ne veuille contrôler nos âmes, nos cœurs et nos esprits. Non pas marxiste, bolchevique, mais née du même esprit. Pas rouge, mais arc-en-ciel ». Au fond je dirais que c’est la continuation du marxisme plutôt que son rejeton.

Comment ne pas souligner le parti pris évident pour l’anormalité, le contre nature et l’immoral dans cette censure. Les homosexuels, si on tient absolument à désigner des gens selon le fait qu’ils sont attirés par les personnes de même sexe, n’auraient-ils pas autant le droit, aux yeux de la société libérale, que les femmes à « disposer » de leur corps, ou bien plus, de leur esprit ? Les unes ne peuvent être obligées à « garder une grossesse non voulue »* et les uns devraient être obligés de garder une attirance non voulue ? Ça sent l’« homophobie » à plein nez… Sans compter que la même société va accepter les « transitions » homme-femme, femme-homme comme si mutiler et empoisonner son corps n’était rien.

Et c’est là que l’on voit la dictature, l’on ne veut pas seulement qu’il puisse y avoir un « droit » à l’homosexualité, on veut que ceux qui tombent dedans y restent obligatoirement.


*Une grossesse, en fait, se garde elle-même, d’où l’absurdité de l’expression. — A. H.

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