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Euthanasie de deux frères jumeaux en Belgique par crainte de souffrances causées par la surdité et la perte de la vue

Sur le site de lavenir.net du 12 janvier 2013 :

(Les freres jumeaux Guy et Marc, euthanasié parce qu'ils craignaient de souffrir de leur prochaine cécité)

 

ANVERS - Pour la première fois au monde, de «vrais jumeaux» ont fait usage du droit à l’euthanasie. Les deux hommes de 45 ans, habitant en région anversoise, étaient nés sourds et avaient peur de devenir aveugles.
(...)
La loi belge autorise l’euthanasie si le demandeur en exprime lui-même le souhait et si les médecins constatent une souffrance insupportable. Les deux frères ne souffraient pas d’une maladie en phase terminale et ne présentaient pas de douleurs physiques, mais les médecins de l’hôpital UZ Brussel ont toutefois accédé à leur demande.

Les deux hommes ont été euthanasiés le 14 décembre dernier.
 

Mais ne vous inquiétez pas, les membres de la Commission Mourir dans la Dignité qui ont enquêté en Belgique nous ont assuré qu'ils n'ont constaté aucune pente glissante ni en Belgique, ni en Hollande. Et parions qu'ils peuvent également nous assurer qu'ils n'en verront jamais...

RTL.BE nous apporte cette information:

La Belgique a été le deuxième pays au monde, après les Pays-Bas, à légaliser l'euthanasie, le 28 mai 2002. Celle-ci est reconnue comme "un droit pour chaque malade à poser ses choix en termes de vie et de mort pour autant qu'il se trouve dans les conditions édictées par la loi". En l'occurrence, le patient doit être, au moment de sa demande, majeur (ou mineur anticipé), capable et conscient. La demande doit être formulée de manière volontaire, réfléchie et répétée, et ne faire l'objet d'aucune pression extérieure. Le patient doit se trouver dans une situation médicale sans issue, avec une souffrance physique et/ou psychique constante, insupportable et inapaisable. Enfin, l'état du patient doit résulter d'une affection accidentelle ou pathologique grave et incurable.

Une version élargie de la loi en 2002

De son côté, le médecin n'est pas obligé de pratiquer l'euthanasie. Il revient donc au patient de trouver un médecin qui accède à sa demande. Dans le cas de deux frères, les médecins de l'UZ Brussel ont accepté leur demande de les laisser mourir le 14 décembre, en dépit du fait que ni l'un ni l'autre ne souffrait de maladie en phase terminale. Quelques jours après leur décès, le PS a présenté une modification de la loi de 2002 pour l'étendre aux mineurs et aux personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer
 

Et après les mineurs et les personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer, quelle sera la suite de cet état stable et permanent sans danger de pente glissante, selon notre humoristique commission Mourir dans la dignité?

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