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Encore les mêmes préjugés sur « l'homophobie » pour faire de la propagande gay dans nos écoles

Sur le site du Journal de Montréal du 13 mai 2014 :

(Parler d'homosexualité à des enfants qui développent leur identité sexuelle masculine est un très grave scandale...)

(Photo : marviikad sur flickr.com, licence creative commons)

«Les jeunes homosexuels sont plus exposés au suicide que les autres, c’est inacceptable. Il n’y a aucune raison pour que les jeunes souffrent de leur orientation sexuelle», martèle Darleen Miller, directrice de l’École primaire Montainview.

Le personnel de l’école anglophone située à Deux-Montagnes s’est attaqué à l’homophobie par de multiples activités pour les élèves de la première à la sixième année.

Ce qui est inacceptable, c'est de faire croire aux jeunes qui s'interrogent sur leur identité sexuelle que la source de leur malaise se trouve dans le regard de l'autre... Ce qui est inacceptable, c'est de parler d'homosexualité à des enfants de 6 ans qui portaient la couche il n'y a pas si longtemps...

Le neuropsychiatre Louis Masquin (voir l'article complet) est très critique envers ce discours :

On peut se demander si certaines personnes, dont l’identité sexuelle est fragile, n’auraient pas évolué vers l’hétérosexualité en l’absence d’une image de l’homosexualité banalisée de nos jours, voire encouragée au nom de la liberté (MASQUIN, Louis, Identité, sexualité, des repères pour aujourd’hui, Éd. Des Béatitudes, Paris, 2012, p.63)

Cela est d’autant plus vrai pour les jeunes :

Lors de l’adolescence, la fragilité déjà signalée et les complexes de l’enfance se réactivent avec l’angoisse de la relation, la peur de l’inconnu, de la nouveauté, de la découverte de l’autre sexe. Les comportements homophiles sont d’une grande banalité et ne témoignent en rien d’une orientation sexuelle définitive de cet ordre.

Il y a aujourd’hui une confusion nette entre identité et orientation sexuelle. Sous la pression des lobbys homosexuels et des médias, certains adolescents sont poussés puis inscrits dans l’orientation homosexuelle alors que ce moment n’est le plus souvent qu’une étape avant de rencontrer vraiment l’autre sexe. Car il faut avoir une certaine maturité personnelle pour aller vers l’autre sexe et entrer dans une relation amoureuse, une relation de couple. L’identité sexuelle adulte se fait progressivement, elle n’est pas donnée d’emblée. (ibid. p.80)

Ce discours sera taxé d’homophobe par les partisans du lobby homosexuel pour lequel il est impossible de réfléchir et de critiquer l’activité homosexuelle ou l’homosexualité en elle-même. Et cette homophobie serait la source de tous les maux qui affligent les personnes homosexuelles, obligées de vivre entourées de ces préjugés homophobes qui les renvoient à la clandestinité. Là encore il y a de forts bémols à apporter, que l’on n’entend jamais au Québec :

La plus grande proportion de dépressions ou de troubles de la personnalité chez les personnes homosexuelles témoigne de cette plus grande fragilité psychologique, qui augmente le risque suicidaire : le taux de suicide chez les jeunes homosexuels est en effet de quatre à six fois supérieur à celui des hétérosexuels.

L’explication donnée, en particulier par les milieux gay, est que l’intolérance de la société et des familles à leur égard constitue la base de ces difficultés, ce qui sous-tend le plaidoyer pour l’acceptation et l’égalité des droits. Ce raisonnement est trop orienté et incomplet. Car en dehors des difficultés de l’acceptation sociale, l’orientation homosexuelle peut être difficile à assumer par la personne elle-même et cette fréquente souffrance de la non-acceptation de soi-même n’est que trop rarement évoquée.

Il faut pourtant souligner la souffrance psychique des homosexuels qui viennent consulter. Un mal-être sévère, une angoisse profonde, un manque cruel d’espérance et une dépression sont souvent au premier plan, ce qui explique que, dans ces démarches, le problème de l’homosexualité n’est pas toujours le problème numéro un, tant s’en faut, tout au moins dans l’immédiat. (ibid., p.68-69)

Mais pour le problème de l’homosexualité en tant que tel, le neuropsychiatre a des propos pleins d’espérance :

Il est faux de dire qu’il n’existe aucune possibilité de changement et d’évolution, mais encore faut-il trouver une motivation forte, une évaluation précise de ce qu’a vécu la personne et de ce qu’elle vit aujourd'hui. (ibid., p.84)

L’auteur aborde dans les pages qui suivent toute la question de la psychothérapie, complètement censurée au Québec par les fanatiques d’une idéologie gay.

Et ce n'est pas la propagange gay faite dans les écoles, sous prétexte de lutte à l'intimidation, qui améliorera la situation.

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