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En Suisse des associations humanitaires craignent qu'on rejette leurs droits d'objection de conscience

Sur le site de genethique.org du 6 juin 2012:

 

 

 

 

En matière d’euthanasie, les Suisses du canton de Vaud auront à choisir, au cours d’un référendum qui aura lieu le 17 juin prochain, entre "la liberté de disposer de sa propre vie" ou "le respect de la conscience du soignant".
Une association, EXIT, "jumelle" de l’Association pour le droit de mourir dans la dignité en France (ADMD), est à l’origine d’un projet de loi visant à "obliger les établissements médicaux-sociaux (EMS) du canton à accueillir des suicides assistés." Ainsi, "toute personne qui souhaite recourir au suicide assisté, même si elle est dans un établissement médicalisé qui s’y refuse, pourra demander à une association d’aide au suicide, de mettre fin à ses jours, sans contrôle ni avis médical".
Refusant un tel projet, le Gouvernement du canton a "proposé un contre-projet", permettant que "la demande de la personne [soit] examinée et validée médicalement" et selon lequel "il serait obligatoire de vérifier que l’option des soins palliatifs a été proposée". Cependant, ce contre-projet maintient "l’obligation pour les EMS d’accéder à la demande de leurs résidents".
Pour l’Armée du Salut, [ndlr : organisation humanitaire protestante reconnue d’utilité publique], en charge de la gestion d’un EMS, "si l’une des deux initiatives passe, [elle aura] désormais valeur légale, et aucun EMS ne pourra s’y soustraire". Pour l’organisation humanitaire, de telles propositions "[heurtent] de plein fouet la liberté de conscience des soignants". Associée à d’autres EMS, "protestants ou non confessionnels", l’EMS de l’Armée du Salut "demande à ce qu’une clause de conscience les protège".
 

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