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En 2010-2011, 119 enfants avortés nés vivants sont morts des blessures de leur avortement : les gynécologues silencieux...

Sur le site du journal Le Devoir du 1er février 2013:

 

(La balle est maintenant dans le camp de la GRC. Sera-t-elle fidèle à sa devise : « Maintiens le droit  »?

 

La Société des obstétriciens et gynécologues du Canada n'était pas en mesure jeudi de clarifier ce qui arrive lorsque les fœtus avortés naissent vivants. Le professeur d’éthique à la Faculté de théologie de l’Université Laval, Bernard Keating, raconte qu’une animatrice de pastorale, par ailleurs non mue par ses convictions religieuses, avait constaté que dans certains cas d’avortements tardifs au centre mère-enfant du CHUL, « les enfants étaient abandonnés sur les comptoirs où on les y laissait mourir » parce qu’ils n’étaient pas viables. Elle a fait des pressions pour qu’on apporte des soins palliatifs jusqu’aux derniers soupirs du fœtus. « On a changé la pratique, mais le tabou était tellement fort », se souvient-il.
Et vous feriez confiance, aurait-on pu demander à l’animatrice de pastorale, à une équipe dont l’intention est de tuer un enfant, pour lui prodiguer des soins et même le sauver, comme c’est leur devoir selon la loi, si cela est possible? Le témoignage de l’animatrice de pastorale n’est pas unique. Des infirmières ont déjà témoigné avoir comme instruction de ne pas s’occuper de l’enfant, laissé sur une plaque de métal froide, parce qu’une présence humaine pourrait entretenir sa vie. Certains enfants ont déjà, pendant plusieurs quarts de travail selon les témoignages, agonisé seuls.
Dans un entretien téléphonique, M. Vellacott explique qu’il ne fait que son devoir « de citoyen respectueux des lois » en portant à l’attention des autorités tout élément pouvant être criminel. (…)
Selon lui, il est d’autant plus important d’agir que le phénomène va, dit-il, s’amplifiant : il y aurait eu 119 cas similaires en 2010-2011, soit le quart de ce qui était arrivé dans la décennie précédente. La GRC confirme avoir reçu la lettre datée du 23 janvier, mais ne confirme ni n’infirme l’ouverture d’une enquête. »
La GRC a-t-elle le droit de décider que des lois ne doivent pas être appliquées?
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