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É.-U. : les médecins engagés par des hôpitaux catholiques peuvent se voir interdire la pratique d’avortements en-dehors de leur travail

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo :

Bonne nouvelle, excellent ! Ainsi cela fait moins d’avortement, moins d’enfants à naître assassinés. Et non la liberté de conscience ne peut permettre à quelqu’un d’aller tuer son prochain. Extrait du National Public Radio :

Les médecins qui s’opposent à l’avortement ne sont pas obligés de le faire. Depuis les années 1970, une série de lois fédérales ont fourni aux praticiens des « protections de conscience » qui les aident à garder leur emploi s’ils ne veulent pas exécuter la procédure ou y assister.

Les hôpitaux religieux sont également protégés. Les systèmes de soins de santé catholiques, par exemple, sont protégés s’ils choisissent de ne pas pratiquer d’avortements ou de stérilisations. Les médecins qui travaillent pour des hôpitaux religieux signent généralement des contrats dans lesquels ils s’engagent à respecter les valeurs religieuses dans leur travail.

Mais à mesure que la portée des soins de santé sous affiliation catholique s’accroît, ces protections commencent à avoir des conséquences pour les médecins qui veulent pratiquer des avortements — même à titre d’activité secondaire.

Les hôpitaux religieux interdisent souvent à leurs médecins de pratiquer des avortements — même s’ils le font dans des cliniques non affiliées, explique Noel León, avocate au National Women’s Law Center. León a été engagée il y a environ deux ans pour aider les médecins qui veulent devenir fournisseurs d’avortement. Ils ont peu de protection juridique, dit-elle.

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