Présentée le 26 juillet 2023, la recherche révolutionnaire du Dr Konstantin Beck, statisticien et professeur à l’université de Lucerne, montre que les taux de fausses-couches et d’enfants mort-nés en 2022 correspondent directement à la vaccination COVID-19 des femmes enceintes en Suisse neuf mois plus tôt, et que les fabricants de vaccins et les responsables de la santé publique connaissaient ou auraient pu connaître cette information à l’époque.
Par Brenda Baletti, Ph.D., The Defender (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : milanmarkovic78/Adobe Stock
Note du président de LifeSiteNews, Steve Jalsevac : La question des injections COVID provoquant des fausses-couches et des mortinaissances a fait l’objet d’une controverse et d’un déni importants, même parmi les personnes pro-vie. La plupart d’entre elles refusent de croire que cela se produit.
La réalité est très différente, mais elle n’est peut-être pas uniforme partout, elle peut être principalement liée à certains lots, ou à une sous-déclaration massive, à de la honte ou à d’autres causes qui expliquent la réticence à établir un lien entre les injections et les fausses-couches et la mortinatalité. Le gouvernement, le corps médical, les médias et les fabricants de vaccins insistent lourdement sur le fait que les vaccins sont totalement sûrs pour les grossesses, ce qui a conditionné les masses à rejeter des rapports tels que celui-ci comme n’étant pas crédibles. Malheureusement, cela a conduit à la perte tragique, historique et statistiquement prouvable de nombreuses vies de bébés, sans que le public anesthésié et victime d’un lavage de cerveau ne proteste.
Les vaccins COVID sont irréfutablement associés à une augmentation historique des fausses-couches et des mortinaissances, et TOUS les pays, et pas seulement certains, devraient les interdire aux femmes en âge de procréer. Les médecins doivent fortement décourager toutes ces femmes de recevoir les vaccins COVID, qui présentent un risque évident. Ce rapport et bien d’autres du même genre doivent être pris au sérieux.
Il faut du courage pour prendre les bonnes décisions sur cette question en raison de l’intense propagande et des menaces qui pèsent sur ceux qui prendraient les bonnes mesures.
Cet article a été publié à l’origine par The Defender —Children's Health Defense's News & Views Website.
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1er août 2023 (Children's Health Defense) — Une augmentation importante des avortements spontanés chez les femmes enceintes a été directement liée au lancement du vaccin COVID-19 en Suisse, selon une nouvelle analyse du statisticien et professeur de l’Université de Lucerne, le Dr Konstantin Beck.
Ancien conseiller du ministre allemand de la Santé et du Parlement suisse, Beck a analysé des données suisses et allemandes accessibles au public, provenant de publications scientifiques, de compagnies d’assurance-maladie et de l’Office fédéral suisse de la statistique (OFS).
Il a constaté que les taux de fausses-couches et de mortinatalité en 2022 correspondaient directement à la vaccination COVID-19 des femmes enceintes en Suisse neuf mois plus tôt.
Selon lui, les fabricants de vaccins et les responsables de la santé publique connaissaient ou auraient pu connaître ces informations à l’époque, s’ils s’étaient donné la peine de chercher. Au lieu de cela, ils ont présenté les informations au public de manière à masquer les risques.
M. Beck a présenté les résultats de ses recherches novatrices mercredi à Doctors for Covid Ethics.
En outre, contrairement aux déclarations publiques des autorités suisses selon lesquelles « il n’y a pas de surmortalité significative chez les jeunes » en Suisse, le réexamen par Beck des propres données du gouvernement révèle des schémas significatifs de surmortalité chez les jeunes apparus à la fin de 2021 et au début de 2022.
Selon lui, ces résultats montrent que lors de la pandémie de COVID-19, « nous avons exposé inutilement les plus vulnérables à de nouveaux risques qui dépassent de loin le risque pandémique initial ». Et qu’« aujourd’hui, des conséquences de plus en plus de lourdes de nos mesures Corona apparaissent dans nos statistiques officielles, mais seules quelques personnes sont intéressées à les connaître ».
« En analysant le déploiement de ces vaccins, en particulier pour les femmes enceintes et leurs enfants à naître, j’ai trouvé des preuves évidentes dès le début, qu’il aurait été impératif de repenser et de reporter la stratégie de vaccination », a-t-il déclaré.
Les vaccins COVID sont à l’origine du « baby gap »
La Suisse a connu une baisse historique du taux de naissances vivantes en 2022.
Chaque mois de cette année-là, le nombre de naissances a été inférieur à la moyenne des six années précédentes, soit une réduction globale de 8,5 % du taux de natalité national, selon l’analyse de Beck.
À certains endroits, la baisse a été encore plus importante : à Zurich, le taux de natalité a chuté de 16,5 %.
La dernière baisse comparable des naissances, de 13 %, a été enregistrée lors de la mobilisation de l’armée suisse en 1914, au début de la Première Guerre mondiale, lorsque la plupart des jeunes hommes sont partis faire la guerre.
La chute des taux de natalité en 2022 fait suite à un petit « baby-boom Corona » — un pic de 3 % des taux de natalité en 2021, qui avait suivi le confinement lié à la pandémie.
Selon les données compilées par l’analyste Raimund Hagemann, les taux de vaccination contre le COVID-19 chez les femmes suisses en 2021 et au début de 2022 correspondent très étroitement à la baisse des taux de natalité neuf mois après la vaccination.
La figure 1 (ci-dessous), qui ajuste de neuf mois la chronologie des taux de natalité pour tenir compte de la durée de la grossesse, montre cette forte corrélation entre les taux de vaccination et la baisse du taux de natalité : les deux chiffres se reflètent l’un l’autre.
Beck a évalué différentes hypothèses, proposées par les chercheurs, pour expliquer ce « baby gap ».
Certains ont proposé une explication comportementale, supposant que les gens ont modifié leur comportement par crainte de la pandémie elle-même ou de l’incertitude économique qui lui est associée.
Mais Beck dit que cette hypothèse ne correspond pas aux modèles historiques de comportement — un baby-boom s’est produit au milieu de la Seconde Guerre mondiale. Elle ne peut pas non plus expliquer le baby-boom qui a suivi le début de la pandémie, alors que la peur du public et le chômage étaient à leur apogée.
Il a également rejeté l’hypothèse selon laquelle l’infection par COVID-19 aurait réduit la fécondité. Si c’était le cas, il n’y aurait pas eu de pic de natalité en 2021 après la première vague d’infection en 2020, et il n’y a aucune preuve d’une réduction de la fécondité après la vague du virus Omicron.
En fait, a déclaré M. Beck, il n’y a aucune preuve d’une baisse de la fécondité. Au contraire, les données montrent que les femmes deviennent enceintes au même rythme qu’avant la pandémie.
En utilisant les données de l’assurance-maladie allemande — les données suisses n’étant pas encore disponibles —, il a montré que le nombre de femmes qui ont demandé des tests de grossesse et qui ont consulté des médecins pour être traitées pour une grossesse est resté constant tout au long des années 2021 et 2022.
Il y a même eu une légère croissance continue et un pic lié au mini baby-boom de 2021.
Cela fait de l’avortement spontané induit par le vaccin COVID-19 l’hypothèse la plus plausible pour expliquer la chute des taux de natalité — parce qu’un même nombre de femmes devenaient enceintes, mais que moins d’entre elles menaient leur grossesse à terme.
À l’appui de cette affirmation, les données des assurances-maladie allemandes et suisses montrent qu’à partir du quatrième trimestre 2021, le nombre de complications de grossesse traitées et la durée des séjours à l’hôpital après l’accouchement augmentent de façon nette et significative, alors qu’ils avaient tous deux tendance à diminuer depuis des années.
Les données allemandes indiquent également que le nombre de naissances d’enfants mort-nés a augmenté de 20 % au quatrième trimestre 2021.
Bien que les données sur les mortinaissances ne soient pas disponibles pour la Suisse, il n’y a aucune raison de croire que la situation serait substantiellement différente.
« Toute personne ayant lu la notice aurait été informée » des dangers
L’impact des vaccins sur la grossesse n’était pas simplement un résultat tragique et imprévu, car il était déjà évident dans les propres données des fabricants de vaccins ou dans l’absence de données, a déclaré M. Beck.
Toute personne ayant « lu la notice du fabricant », a-t-il ajouté, « aurait été informée » qu’il n’y avait pas de données concernant la grossesse, mais qu’il existait de sérieuses inquiétudes quant aux effets possibles des vaccins sur les nourrissons.
La version allemande de l’avertissement de Moderna Spikevax disait en substance : « Nous n’avons aucune idée du risque pour les femmes enceintes. Aucune étude contrôlée de qualité n’a été réalisée. Il n’y a pas assez de données disponibles », a déclaré M. Beck.
La notice déconseillait également la vaccination aux mères qui allaitent, mais la recommandait fortement aux femmes enceintes, a déclaré M. Beck.
« Mais la grossesse ne précède-t-elle pas généralement l’allaitement ? Et que faire, alors, après l’accouchement pour se débarrasser de la vaccination ? », a-t-il demandé.
Le 20 avril 2021, Pfizer a envoyé son rapport concernant le vaccin à ARNm et la grossesse aux Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), selon les documents de Pfizer.
Le lendemain, le New England Journal of Medicine (NEJM) a publié des conclusions préliminaires sur l’innocuité du vaccin COVID-19 chez les femmes enceintes, sur la base d’une analyse des données de V-safe et du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS).
Le 23 avril, lors d’une conférence de presse à la Maison-Blanche, la directrice du CDC, Rochelle Walensky, a recommandé aux femmes enceintes de se faire vacciner sur la base des conclusions de cet article.
L’article indique explicitement que les chercheurs n’ont trouvé aucun signal de sécurité concernant la grossesse ou les résultats néonataux au cours du troisième trimestre, mais qu’ils ne peuvent tirer aucune conclusion concernant le premier ou le deuxième trimestre.
Étant donné que les premier et deuxième trimestres sont les périodes les plus à risque pour la grossesse, a déclaré Beck, l’article du NEJM admet que les chercheurs ne savaient pas quels risques supplémentaires les vaccins pouvaient présenter pour les femmes enceintes au moment où elles sont le plus vulnérables.
L’article comprend également une comparaison non pertinente des symptômes les plus fréquents après la vaccination entre les femmes enceintes et non enceintes, et utilise la naissance vivante comme seule mesure des effets potentiels sur la santé du nouveau-né.
Et, ce qui est peut-être le plus important, il indique explicitement que « les effets indésirables liés à la grossesse le plus fréquemment rapportés sont les avortements spontanés » (fausses-couches).
Le document fait état de 46 avortements spontanés liés à la vaccination sur un total de 104. Selon Beck, cela représente une augmentation de 73,1 % des avortements spontanés.
En faisant des calculs basés sur les données du NEJM, Beck a constaté qu’avec un taux de vaccination de 75 % des femmes enceintes en Suisse, une grossesse sur dix se termine par une fausse-couche ou la naissance d’un enfant mort-né.
Il a conclu que les autres hypothèses existantes ne pouvaient expliquer ce phénomène, et que l’hypothèse de la fausse-couche induite par le vaccin correspondait à la fois aux données du fabricant et aux résultats pertinents rapportés comme base de la campagne du CDC pour la vaccination des femmes enceintes.
Augmentation de 125 % des cas d’embolie pulmonaire, d’arrêt cardiaque, d’accident vasculaire cérébral et d’infarctus cérébral chez les enfants âgés de 0 à 14 ans.
La présentation a également soulevé une série de préoccupations concernant les effets de la vaccination COVID-19 sur les jeunes et la manière dont les manipulations statistiques peuvent masquer ces effets potentiels.
S’appuyant sur plusieurs exemples de détérioration de la santé et de mortalité des jeunes au cours de la période de vaccination, M. Beck a posé la question suivante : « Pourquoi avons-nous vacciné des enfants ? Je veux dire, ils n’étaient pas le groupe cible de ce virus ».
L’examen des données fournies par les principaux assureurs de santé, par exemple, a montré qu’en 2020-2021, les personnes âgées de 19 à 39 ans ont connu la plus forte croissance des coûts des soins de santé, alors qu’elles ont généralement les coûts les plus bas, ce qui indique un changement dans la santé de ce groupe démographique.
Les données relatives à la fréquence des embolies pulmonaires, des arrêts cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux et des infarctus cérébraux chez les enfants âgés de 0 à 14 ans ont révélé une augmentation de 125 % des événements. Bien que les chiffres soient encore faibles, ils sont passés d’une moyenne de 20 événements par an au cours des années précédentes à un total de 45 événements en 2021.
Un deuxième examen de l’analyse des données de l’Office fédéral suisse de la statistique (OFS), qui avait indiqué qu’il n’y avait pas de surmortalité pour les jeunes en 2022, a mis la puce à l’oreille de M. Beck.
La surmortalité mesure la différence entre les décès déclarés et les décès attendus au cours d’une période donnée. Les projections de base de la surmortalité sont généralement fondées sur des moyennes antérieures.
En réanalysant les données de mortalité de l’OFS, mais en maintenant le nombre de décès attendus en ligne avec les moyennes précédentes — ce que l’OFS n’avait pas fait — Beck a constaté une augmentation de 12 % de la surmortalité globale.
Lorsqu’il a analysé la surmortalité par groupes d’âge, Beck a constaté que pour les jeunes adultes âgés de 20 à 39 ans, il y a eu un pic de surmortalité au-delà des attentes normales à la fin de 2021 et en 2022. Pour les enfants âgés de 0 à 19 ans, il a constaté une tendance similaire.
Selon lui, les données relatives à la surmortalité peuvent être facilement dissimulées en élargissant les intervalles de confiance des prévisions, en combinant des groupes démographiques présentant des profils de santé différents ou en modifiant le nombre de décès attendus pour dissimuler les variations, ce qui a permis aux autorités suisses d’annoncer qu’il n’y avait pas de surmortalité chez les jeunes.
Cet article a été publié par The Defender —Children's Health Defense's News & Views Website sous licence Creative Commons CC BY-NC-ND 4.0. Veuillez envisager de vous abonner à The Defender ou de faire un don à Children’s Health Defense.