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Dr Grazie Christie : les femmes n’ont pas besoin d’avortement, « Les centres de grossesse offrent de réelles alternatives »


Le Dr Grazie Christie.

Par le Dr Grazie Christie (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie

Grâce aux progrès de la médecine et de la technologie, nous en savons beaucoup plus sur le développement du fœtus qu’au moment de la décision Roe v. Wade en 1973. Nous sommes également beaucoup plus conscients de l’humanité vivante des enfants à naître. Ces changements me sont apparus clairement dans mon travail de radiologue, où certains de mes patients sont des femmes enceintes et leurs enfants. C’est pour cette raison que je me suis jointe à deux autres femmes médecins pour soumettre un mémoire d’ami de la Cour dans l’affaire Dobbs v. Jackson Women’s Health Organization, l’affaire de la Cour suprême qui pourrait bientôt renverser le droit illimité à l’avortement garanti par Roe.

Quelque chose d’autre a changé au cours du dernier demi-siècle, quelque chose que je constate dans mon travail bénévole. La communauté pro-vie a construit, à force de travail et de sacrifices, un réseau national florissant de centres d’aide aux femmes enceintes qui se consacrent à aider les mères à risque et leurs bébés.

Ces centres d’aide aux femmes enceintes existent pour offrir de réelles alternatives aux femmes qui pensent trop souvent que leur seul choix est l’avortement. Les bénévoles et les sympathisants comprennent qu’il serait erroné de défendre la vie d’enfants à naître vulnérables contre l’avortement volontaire tout en ignorant les véritables défis auxquels sont confrontés leurs mères et leurs pères. Les centres d’aide aux femmes enceintes réfutent l’accusation infondée portée contre les pro-vie, à savoir qu’ils se soucient uniquement de sauver ces bébés, mais qu’ils ne se soucient pas du tout de ces bébés ou de leur famille une fois l’enfant né.

Jour après jour, les bénévoles et le personnel de ces centres s’attaquent aux obstacles auxquels est confrontée chaque future mère. Ces obstacles sont souvent considérables : pauvreté, accès insuffisant aux soins de maternité, situations de vie et d’emploi précaires, manque de formation professionnelle et de compétences relationnelles. Les personnes travaillant dans ces centres tentent d’aider les femmes qui viennent les voir à surmonter ces obstacles, et elles le font avec beaucoup d’enthousiasme et d’amour.

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Dans un centre d’avortement, en revanche, une future mère se voit proposer exactement une seule option : l’avortement. On lui dit qu’une simple et rapide intervention chirurgicale ou l’ingestion de quelques pilules lui permettront de tourner la page comme si rien ne s’était passé. Et si elle n’a pas les moyens de payer les frais élevés de l’établissement, peut-être peut-on trouver un arrangement.

On est loin de la question ouverte que rencontre la même femme dans un centre d’aide aux femmes enceintes : comment pouvons-nous vous aider à surmonter cette tempête ? Comment pouvons-nous vous aider à atteindre vos objectifs ?

Pour ma part, je lis des échographies fœtales pour plusieurs centres du sud de la Floride. Nous datons les grossesses et détectons les signes de vie dans les embryons. Nous montrons à la mère, et souvent au père, la délicieuse humanité du petit être en route, la vivacité attachante d’un petit fils ou d’une petite fille. Nous les aidons également à prendre conscience de la réalité de la situation, qui est bien plus importante que les obstacles décourageants qui l’entourent. Les centres de ressources pour femmes enceintes rejettent le mouvement « pro-choix » qui minimise les conséquences douloureuses de l’avortement. Nous savons que chaque avortement fait des victimes : le bébé, bien sûr, mais aussi la mère qui, très souvent, aurait aimé serrer cet enfant dans ses bras si les circonstances avaient été différentes. Les bénévoles des centres d’aide aux femmes enceintes font tout ce qu’ils peuvent pour rendre son rêve possible et éviter les victimes de l’avortement.

La bonne nouvelle est que de nombreux États ont discrètement augmenté le financement de ces établissements. Leurs législatures répondent aux souhaits de leurs électeurs qui veulent offrir des alternatives compatissantes aux mères en détresse. Mes compatriotes de Floride, ainsi que nos amis du Texas, de Pennsylvanie et d’ailleurs, ne veulent pas que les femmes soient poussées à avorter. Nous rejetons la vision du monde de Planned Parenthood et d’autres organisations qui parlent de « choix » mais n’ont qu’une seule option sur leur menu. Le choix existe-t-il vraiment lorsque les autres alternatives sont inexistantes ou impossibles à réaliser ?

Depuis que la Cour suprême a rendu l’arrêt Roe en 1973, les partisans de l’avortement ont accusé la communauté pro-vie de ne pas avoir répondu aux besoins des futures mères et de leurs bébés. C’est une critique injuste, compte tenu de l’explosion des centres de ressources pour femmes enceintes au cours des cinq dernières décennies. Mais voici ce qui rend cette accusation politique sans fondement encore plus exaspérante : ils continuent d’attaquer le travail tranquille et magnifique de l’Amérique pro-vie au moment même où celui-ci pourrait être encore plus nécessaire si ─ par la grâce de Dieu ─ la Cour suprême annule Roe et renvoie la politique d’avortement aux États.

Note de LifeNews : Le Dr Grazie Christie est radiologue et membre senior de l’Association catholique.

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