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Des travailleurs en avortement admettent qu’on tue des enfants survivant à l’avortement hors de l’utérus

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Par Sarah Terzo (LiveActionNews) - traduit par Campagne Québec-Vie

Dans la Revue des Lois et Politiques de Stanford, deux avorteurs ont fait une affirmation surprenante. Apparemment, quand ces avorteurs ont commis des avortements sur des fœtus d'âge avancé dans les années 90, ils se sont assurés que le fœtus meurt dans les entrailles de la mère avant de l’en délivrer pour éviter d’accoucher des enfants vivants. D'en voir un qui survit à l’avortement était « déconcertant », ont-ils reconnu. Nous utilisons de l’urée pour être sûr d’effectuer la mort du fœtus. C’est troublant pour tout le personnel d’avoir à sortir ces fœtus quand ils ne sont pas mort-nés. (1)

Pour ces avorteurs, c’est « déconcertant » d’avoir un enfant né entier vivant, battant du pied dans un établissement d’avortement. J’oserais penser ainsi. Imaginez à quel point ça doit être « déconcertant » pour la maman. Percevoir une naissance accidentelle comme « déconcertante », cependant peut paraître pratiquement un euphémisme.

On se demande souvent comment ce scénario a pu se passer en réalité. On sait à partir de diverses affirmations faites par des avorteurs pendant l’enquête secrète InHumain menée par Live Action, que l’objectif d’un avortement tardif est d’empêcher que l’enfant ne naisse vivant. Toutefois, il n’y a aucune garantie :

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J’ai écrit précédemment à propos de casdes avortements ont abouti à des naissances d’enfants vivants. Malheureusement dans ces cas, les avorteurs n’ont pas permis aux bébés de survivre. Soit ils les ont tués directement, soit ils refusent de leur donner des soins médicaux vitaux. En voici juste quelques exemples :

  • Une infirmière clinicienne du nom de Tina David a dit aux pro-vie qu’elle a vu un avorteur tardif Shelley Sella poignarder et tuer un bébé né en âge avancé qui est né vivant au cours d’un avortement. Selon David : Très bien, mon boulot, tel que je l’ai dit, consistait à tenir le pied et compter les parties, s’il était en morceaux. Et celui-ci avait…peut-être 35 semaines. Ce qui était bien grand…. C’était un gros bébé… [le]bébé est sorti et il bougeait, je ne sais s’il était vivant ou si c’était les nerfs, je n’en avais pas l’idée, mais Dr Stella m’a jeté un coup d’œil et a saisi un outil et l’a poignardé immédiatement et l’a tordu; et il n’a plus bougé alors.
  • Bébé Rowan dont la mère a témoigné de sa naissance en vie et en mouvement dans un établissement d’avortement, est mort après que des ambulanciers aient répondu à un appel d’urgence 911 et que les travailleurs en avortement leur ont demandé de repartir. La mère de Rowan a regretté d’avoir décidé d’avorter quand elle l’a vu. Les travailleurs en avortement lui ont interdit d’appeler à l’aide alors elle s’est arrangée malgré tout pour appeler un ami qui a fait venir les ambulanciers; mais les travailleurs en avortement ont refoulé les ambulanciers à la porte. La mère de Rowan a dit plus tard : « je veux faire tout ce qui est en mon pouvoir pour que ceci n’arrive pas à d’autres bébés ou d’autres mères ».
  • Cet article relate beaucoup de récits de témoins oculaires de naissances en vie à la suite d’avortements, y compris celui-ci venant du pasteur Zolton Phillips III, un ancien pro-choix qui a aidé des femmes à avorter. Après avoir vu les restes d’avortements et un bébé né vivant, il est devenu pro-vie. Philips a dit :

Après l’avortement saline, le bébé est né vivant. Bouleversé, j’ai interpellé l’infirmière en disant : «Hey, il essaie de vivre, aide-le»! Elle a répondu : «je ne peux pas parce qu’ils ont signé les papiers de son décès». 

La Prostaglandine est devenue maintenant le médicament favori mais un des premiers essais fut avec l’urée hypertonique. L’inconvénient majeur de son utilisation a été le problème de naissance de bébés vivants. Je me rappelle l’avoir utilisée sur une patiente que les internes en psychiatrie nous ont amenée de leur clinique… Je n’oublierai jamais l’accouchement de son bébé qui pesait presque 2 livres et ses hurlements : « Mon bébé est vivant, mon bébé est vivant ». Il a vécu plusieurs jours. 

  • L’avorteur William Baxter Waddill a étranglé une petite fille née vivante au cours d’un avortement échoué et il n’a jamais passé ne serait-ce qu’un jour en prison. Il y a eu des témoins et une autopsie a prouvé que le bébé était né vivant et avait des bleus sur la gorge, concordant avec un étranglement. On a porté l’affaire en cour, mais elle a débouché sur deux annulations de procès à la suite desquelles le juge a relevé toutes les charges.

Ce ne sont là que quelques-uns de ces genres de récit.

La procédure utilisée dans de tels avortements de grossesses avancées, est l’avortement par déclenchement artificiel, tel que l’a expliqué l’ancien avorteur Dr Antony Levatino, dans la vidéo ci-dessous :

Dans une vidéo du Centre pour le Progrès Médical, un « technicien par procuration » de StemExpress, décrit en témoignant, un enfant né vivant dans un établissement de Planned Parenthood (Planification Familiale) :

Dans une autre vidéo d’une audience du congrès, un représentant de Planned Parenthood est incapable de répondre à la simple question : « Que font vos docteurs quand un bébé naît vivant dans une clinique»? Dr Savita Ginde, un avorteur de Planned Parenthood au Colorado (vice-président de Planned Parenthood du Rocky Mountains) a reconnu sur un enregistrement qu’un bon nombre de bébés nés au second trimestre de gestation dans leur clinique à Denver, sont nés entièrement intacts avant qu’on ne procède à leur avortement. Combien de ces bébés sont vivants?

Malheureusement, nous ne savons justement pas combien de bébés sont nés vivants dans les établissements d’avortement aux Etats-Unis. Il n’y a aucun avantage réel pour les avorteurs et le personnel à rapporter ces genres de cas, surtout quand les bébés ne survivent pas (ou qu’on ne le leur permet pas). Cet article fournit la statistique de 900 pour le nombre de bébés qui échappent à une tentative d’avortement chaque année. Cependant, ceci est une estimation très modeste. Le nombre réel pourrait être plus élevé. Les références telles que le Stanford Law & Policy Review (La revue de lois et politiques de Stanford) démontre que les avortements manqués sont un problème que les avorteurs reconnaissent comme étant une menace  pour l’industrie de l’avortement.

1, R Wachbroit and D Wasserman « Patient Autonomy and Value Neutrality Nondirective Genetic Counseling » Stanford Law & Policy Review 1995; 6(2) : 103-11

Cité dans: Angela Lanfranchi, Ian Gentles, Elizabeth Ring – Cassidy Complications: Abortions Impact on Women (Ontario, Canada: The deVeber Institute for Bioethics and Social Research, 2013)



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