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Des personnes âgées canadiennes affirment qu’on leur a proposé l’euthanasie alors qu’elles font face à l’augmentation du coût des soins palliatifs requis

Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik

11 décembre 2024 (LifeSiteNews) — Un couple canadien âgé a déclaré qu’un centre de soins palliatifs a présenté l’euthanasie à l’un d’entre eux comme une option alors qu’ils faisaient face à une augmentation du coût des soins qu’ils ne pouvaient pas se permettre avec leur revenu fixe.

Fred Sandeski, 71 ans, originaire du Saskatchewan, qui souffre d’une broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) ainsi que d’une multitude d’autres affections telles que le diabète et l’épilepsie, et sa femme Teresa, dont la santé est également défaillante, affirment que la mort via le programme canadien d’aide médicale à mourir (AMM) leur a été suggérée lorsqu’ils ont réalisé qu’ils ne seraient pas en mesure de couvrir les coûts associés à l’augmentation des soins dans un centre de soins palliatifs.

Selon Epoch Times, lorsque Fred a commencé à recevoir des soins palliatifs, « ils nous ont simplement énuméré les options disponibles pour nous », et l’assistance médicale à mourir a été présentée comme « une option ».

Heureusement, Sandeski a refusé l’AMM en déclarant : « Je crois vraiment, vraiment que le Seigneur m’a mis sur cette terre pour une raison, et qu’il ne me laissera pas partir tant que je n’aurai pas terminé ».

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Le sort de M. Sandeski a été porté à l’attention du gouvernement provincial de la Saskatchewan par le ministre fantôme des personnes âgées du Nouveau Parti démocratique, Keith Jorgenson, qui a encouragé le ministre de la Santé de la Saskatchewan, Jeremy Cockrill, à aider le couple.

En réponse, M. Cockrill a déclaré qu’il avait pris contact avec les Sandeski et qu’il « trouverait une solution qui conviendrait à Fred et Theresa cette semaine ».

Il a ajouté qu’en ce qui concerne la maison de soins qui leur a proposé l’AMM comme solution à leur situation, il « espère que tout professionnel de la santé dans cette province, qui discute avec un patient, a une bonne compréhension de la santé du patient et de son contexte familial ».

Les cas de personnes à qui l’on propose l’AMM comme solution à leurs problèmes de santé sont devenus monnaie courante au Canada, comme le rapporte LifeSiteNews.

En effet, la plupart des Canadiens craignent que le régime d’euthanasie du pays ne cible injustement les personnes financièrement et socialement vulnérables, tout en soutenant la pratique immorale en général.  

Toutefois, certains gouvernements provinciaux envisagent de riposter à l’extension de l’assistance légale au suicide décidée par M. Trudeau. 

Récemment, le gouvernement conservateur uni de l’Alberta a déclaré qu’il s’opposerait à la volonté du gouvernement fédéral canadien d’étendre l’euthanasie dans le pays, en annonçant qu’il lancerait un examen de la législation et des politiques entourant cette sinistre pratique, qui comprendra une période de participation du public. 

Sous le premier ministre Justin Trudeau, dont le gouvernement a légalisé l’AMM en 2016, le programme mortel a continué à assouplir les critères d’admissibilité à la mort [assistée].

En 2021, le programme a été étendu aux malades chroniques et non plus seulement aux malades en phase terminale. Depuis lors, le gouvernement a cherché à inclure les personnes souffrant uniquement de maladies mentales.

Le nombre de Canadiens tués par injection létale dans le cadre du programme d’AMM depuis 2016 s’élève à près de 65 000, et l’on estime à 16 000 le nombre de ces décès pour la seule année 2023. Nombreux sont ceux qui craignent que les statistiques officielles ne soient manipulées et que ce chiffre ne soit encore plus élevé.  

Le Canada a enregistré environ 15 280 décès par euthanasie en 2023.

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