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Des militants américains incitent le Honduras à légaliser l’avortement, mais un groupe pro-vie riposte

LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Camfer03/Wikimedia Commons

12 septembre 2024, Front Royal, Virginie (Human Life International) — Luis Martinez, de Human Life International, milite aux Nations Unies pour aider les pays qui défendent la vie à résister aux pressions extérieures qui les poussent à légaliser l’avortement.

Les 11 et 12 septembre 2024, un comité des Nations Unies s’est réuni pour discuter de neuf pays différents, dont la République centraméricaine du Honduras, qui subit des pressions de la part de groupes extérieurs — dont Human Rights Watch, basé aux États-Unis — afin qu’il abandonne ses protections de longue date en faveur des enfants à naître.

En tant que directeur des organisations intergouvernementales et des missions diplomatiques pour Human Life International, M. Martinez note que sur les six soumissions énumérées provenant d’organismes de service public, cinq d’entre elles demandaient au comité de l’ONU de faire pression sur le Honduras pour qu’il légalise l’avortement.

« Le Honduras, qui bénéficie d’une protection constitutionnelle pour les enfants à naître, est dirigé par un gouvernement qui s’aligne généralement sur les principes pro-vie », explique M. Martinez. « À l’ONU, le Honduras a rejoint d’autres nations en votant contre ou en exprimant des réserves sur les résolutions qui contiennent des termes en faveur de l’avortement. La position générale du Honduras a été de mettre l’accent sur la santé maternelle et infantile, en privilégiant des approches centrées sur la famille qui valorisent la vie des femmes et de leurs enfants ».

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« Cependant, la pression internationale exercée par des organisations telles que Human Rights Watch incite à modifier ces lois favorables à la vie », a déclaré M. Martinez.

Il est à noter que parmi les groupes qui proposent des programmes de promotion de l’avortement, un seul est originaire du Honduras, où les enfants à naître sont protégés de l’avortement par la constitution depuis 1982. Outre Human Rights Watch, dont le siège est à New York, les organisations qui poussent à la normalisation de l’avortement dans le deuxième plus grand pays d’Amérique centrale sont originaires du Canada, de Suisse, d’Espagne, du Venezuela et du Pérou.

Martinez continuera à faire pression aux Nations unies, en s’attaquant aux pratiques de ceux qui promeuvent un agenda de l’avortement, y compris :

  • Une approche inadmissible concernant les victimes de violences sexuelles sous la forme d’une reformulation du protocole de soins pour les survivants de violences sexuelles, manipulé pour augmenter la mise en œuvre de l’avortement sur les filles mineures.
  • Des atteintes à la souveraineté nationale sous la forme d’un refus délibéré d’honorer et de respecter les cultures, les traditions et les lois nationales des pays qui accordent une grande importance au mariage, à la famille et à la procréation.
  • Des protections hypocrites concernant les enfants : l’omission scandaleuse de l’avortement par le représentant spécial du secrétaire général des Nations unies sur la violence contre les enfants, dans sa mission de protection des enfants contre la violence, les abus et l’exploitation dans le monde entier.

Le Honduras n’est pas seul

Le Center for Reproductive Rights, promoteur de l’avortement, a fait pression sur le Comité des Nations unies pour l’élimination de la discrimination à l’égard des femmes, afin qu’il demande à la Pologne de lever ses restrictions en matière d’avortement. Ewa Kowalewska, directrice de Human Life International Pologne, a déclaré : « La nation polonaise ne veut pas tuer ses enfants ! Ils parlent de liberté, de préjudice pour les femmes, de santé. C’est un langage complètement trompeur ».

M. Martinez a souligné que ces attaques contre les lois pro-famille au Honduras et en Pologne ne sont pas inhabituelles, mais qu’elles peuvent être surmontées. Lors de l’Assemblée générale de l’Organisation des États américains qui s’est tenue au Paraguay en juin 2024, la coalition de M. Martinez a réussi :

  • à neutraliser la manipulation des termes utilisés pour empêcher la censure et la persécution des organisations pro-vie et pro-famille,
  • à bloquer les tentatives visant à imposer la « santé sexuelle et reproductive » dans les résolutions ou à élever les promoteurs de l’avortement à un statut privilégié,
  • et à renforcer les références à la liberté religieuse pour protéger les défenseurs de la vie et de la famille.

Cependant, a souligné M. Martinez, Human Life International a encore beaucoup à faire au niveau de la politique mondiale.

En 1997, Human Life International a fondé le C-Fam (Centre pour la famille et les droits de l’homme), afin d’influencer le débat politique aux Nations unies et dans d’autres institutions internationales. Aujourd’hui, Martinez mène en parallèle des activités de plaidoyer et d’engagement, directement depuis Human Life International, par le biais de missions diplomatiques qui mettent l’accent sur les points suivants :

  • la reconnaissance des droits des enfants à naître dans le cadre de discussions plus larges sur les droits de l’enfant
  • l’inclusion [de la période] du développement prénatal dans les discussions relatives à la protection des enfants et à la violence
  • la création de coalitions et de partenariats avec d’autres organisations pro-vie et axées sur la famille afin de faire entendre une voix collective, d’amplifier les messages et d’influencer les discussions politiques
  • les campagnes d’éducation visant à faire connaître le point de vue d’une organisation sur l’avortement et son impact, en s’appuyant sur des données concrètes et des témoignages anecdotiques
  • le soutien et la diffusion de recherche et de documentation qui s’alignent sur une perspective pro-vie, comme le développement du fœtus et l’impact négatif de l’avortement

La mission de M. Martinez à Human Life International consiste à participer aux conférences des Nations unies et à celles d’autres organisations internationales — Organisation des États américains, UNICEF, UNESCO, Banque interaméricaine de développement, Institut interaméricain de l’enfance et Sommet des Amériques. Human Life International est reconnu pour avoir façonné le discours mondial sur les questions relatives à la famille et à la vie.

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