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Des médecins et des membres du personnel hospitalier canadiens refusent de collaborer à l'avortement

Sur le site de Radio-Canada du 30 janvier 2013:

 

 

 

Des indications adéquates, mais parfois aussi de l'information inexacte et des réceptionnistes qui leur raccrochent au nez; tel semble être les possibilités auxquelles peuvent s'attendre les femmes qui appellent des hôpitaux canadiens pour se faire avorter, suggère une enquête de Radio-Canada.

Radio-Canada a appelé 42 hôpitaux dans six provinces canadiennes qui n'offrent pas l'avortement. Une journaliste s'est fait passer pour une femme désirant savoir si ces hôpitaux offraient la procédure, puis a noté les hôpitaux qui réfèrent au bon endroit ou à la ligne infosanté, ainsi que ceux qui ne donnent aucun renseignement, ou encore, des informations erronées.

Au total, environ un hôpital sur quatre n'a pas été en mesure de donner l'information juste.

Par exemple, la journaliste s'est fait répondre qu'il faut la prescription d'un médecin dans des provinces où ce n'est pas le cas. La réceptionniste de l'hôpital Concordia de Winnipeg lui a même raccroché la ligne au nez, après lui avoir simplement dit qu'elle devait s'adresser à un autre hôpital.

Dans la capitale manitobaine, la clinique d'avortement est située dans un endroit discret du centre-ville, témoignant du tabou entourant l'interruption volontaire de grossesse. Dans ce contexte, se renseigner n'est pas toujours une démarche facile, témoigne la psychothérapeute Candace Neufeld, de la Women's Health Clinic. Celle qui travaille avec les femmes qui décident de se faire avorter affirme qu'il n'est pas rare d'entendre des patientes parler de mauvaises expériences en voulant obtenir de l'information dans le réseau de la santé.
 

(...)

Une bonne nouvelle! Et voici un témoignage réjouissant sur la situation en Saskatchewan, sur le site de Radio-Canada du 29 janvier 2013 :

(...) La Dre Mahood affirme que les listes d'attente sont parfois longues, mais le premier obstacle à l'avortement demeure l'opposition de certains médecins à la procédure pour des raisons morales.

En 2011, le Collège des médecins de la Saskatchewan a clarifié sa réglementation sur l'avortement.

Celle-ci stipule qu'un médecin peut refuser d'offrir le service, mais qu'il doit donner l'information pertinente à la patiente et la référer à un collègue.

La Dre Mahood affirme toutefois que certains médecins tentent encore de bloquer la requête des patientes:

Si le Collège des médecins de la Saskatchewan réplique que ses membres connaissent la réglementation entourant l'avortement, il admet du même coup avoir reçu récemment une plainte d'une patiente qui soutient que son médecin n'a pas respecté ses obligations.
 

La législation de la Saskatchewan ne respecte pas la liberté de conscience des médecins, tentant de les obliger à collaborer à l'avortement. Heureusement, plusieurs demeurent fidèles à leur serment d'Hippocrate!

 

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