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Des chercheurs développent une technologie de vaccination sous forme de « gaufrette », ressemblant à l’hostie de la messe catholique


Une galette de polymère ressemblant à l’hostie de la messe catholique pourrait un jour être utilisée pour administrer des vaccins.

Par Michael Haynes — Traduit par Campagne Québec-Vie

28 mai 2021 (LifeSiteNews) — Une équipe de chercheurs des universités du Minnesota et du Texas a mis au point une « gaufrette » faite de polymères, qui ressemble de façon frappante à l’hostie utilisée lors d’une messe catholique. Selon eux, cette technologie pourrait devenir le vaccin du futur. Cela rappelle les avertissements de l’archevêque Carlo Maria Viganò, qui considérait l’adhésion au covid comme une nouvelle religion.

L’équipe de développement, composée de six personnes, comprend trois scientifiques de l’université du Minnesota, deux de l’université du Texas et un de la Mayo Clinic du Minnesota. L’étude, publiée dans la revue médicale à comité de lecture, Journal of Controlled Release, explique que la membrane [muqueuse] située sous la langue se prête à une absorption très efficace des médicaments.

Tandis que cette membrane peut facilement absorber de petites molécules, les molécules de plus grande taille utilisées dans les vaccins et les injections expérimentales, comme l’injection de covid-19 de Pfizer, sont trop grosses pour pénétrer de cette manière et sont donc administrées avec une aiguille dans le bras.

Toutefois, l’équipe de recherche pense que la gaufrette offrira une solution à ce problème, ayant déjà prouvé qu’elle fonctionne avec les protéines du virus de l’immunodéficience humaine (VIH) et ayant été conçue en vue d’un futur vaccin potentiel contre le VIH.

L’équipe a noté, par ailleurs, que ces gaufrettes pourraient être utilisées à l’avenir pour administrer les vaccins contre le COVID-19.

La galette elle-même est principalement composée d’alginate et de carboxyméthylcellulose (CMC). Selon les rapports, l’alginate veille à ce que les protéines ne se désintègrent pas et le CMC maintient la plaquette collée à la membrane [de la bouche, sous la langue], afin que les protéines soient transmises.

Dans un communiqué de presse de l’université du Minnesota, Chun Wang, l’un des auteurs de l’étude et professeur associé au College of Science and Engineering de l’université, a exprimé l’espoir que cette technologie pourrait révolutionner l’avenir des vaccins.

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« Ce n’est qu’une petite étape dans ce long voyage », a déclaré Wang. « Si nous poursuivons le travail suivant cette ligne, cela peut nous amener à des vaccins — ils pourraient être basés sur l’ADN, l’ARN, des protéines — qui peuvent être stockés sans réfrigération et facilement administrés sous la langue, au site sublingual. »

« Ils seront rapidement diffusés dans le monde entier parce qu’ils ne dépendent pas de certains équipements, de conservation et de toutes ces choses. Ce sera particulièrement positif pour les régions du monde à faibles ressources, même en Amérique, par exemple les zones rurales qui manquent de certains équipements et infrastructures essentiels. »

Les catholiques qui se sont exprimés sur la gaufrette ont noté la ressemblance évidente et frappante avec l’hostie utilisée lors de chaque messe catholique qui, après les paroles de la Consécration, devient le corps, le sang, l’âme et la divinité du Christ. En fait, la galette mise au point par l’équipe de chercheurs a une apparence physique presque identique à celles qui sont utilisées à la messe.

Si elle devait être utilisée comme moyen d’administration des vaccins covid-19, des comparaisons seraient certainement établies entre ce qui a été décrit comme l’« église » du covid et les rites sacramentels de l’Église catholique.

De fait, en janvier, l’archevêque Viganò, ancien nonce apostolique aux États-Unis, a décrit l’adhésion mondiale aux mesures autoritaires du covid comme s’apparentant à une observance religieuse. Suite à la réception par le pape François des injections contaminées par l’avortement et de l’injonction subséquente que tout le monde doit accepter l’injection, l’archevêque Viganò a écrit :

« La morne salle d’audience Paul VI a été emblématiquement choisie comme temple où célébrer ce nouveau rite sanitaire, officié par des ministres de la religion Covid afin d’assurer, non pas, certainement pas le salut des âmes, mais plutôt la promesse illusoire de la santé du corps. »

En effet, quelques semaines auparavant, l’archevêque Viganò avait décrit les mesures du covid-19 comme faisant partie d’un « pseudo-régime sanitaire » gouverné par des personnes à l’intérieur et à l’extérieur de l’Église qui étaient « des gens corrompus dans l’âme et vendus à Satan ».

« Ils ont été tonitruants, utilisant des mots obscurs comme “distanciation sociale” et “rassemblements”, dans une série sans fin de contradictions grotesques, d’alarmes absurdes, de menaces apocalyptiques, de préceptes sociaux et de cérémonies sanitaires qui ont remplacé les rites religieux », a-t-il écrit en résumant l’année 2020.

L’archevêque a été soutenu par Ettore Gotti Tedeschi, lanceur d’alerte du Vatican et ancien directeur de la banque du Vatican. Gotti Tedeschi s’est exprimé sur la manière dont la société s’est tournée vers les vaccins covid comme vers une nouvelle forme de religion :

« Le résultat apparent semble être une nouvelle forme de scientisme, réincarné pour résoudre le problème du covid avec des vaccins à accepter de manière fidéiste (avec une foi aveugle) et, se proposant sans doute lui-même comme la nouvelle autorité morale de ce temps, il exige un acte de foi envers la religion moderne, la religion scientifique. »



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