Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Max Pixel
C’est l’affligeante réalité qui se cache derrière la propagande LGBT qui veut faire paraître les « familles » « gaies » comme normales. Quatre adultes, élevés dans des familles « gaies », ont donné leur témoignage à la Cour du 5e circuit en Nouvelle-Orléans, qui doit statuer sur le maintien du statut du mariage comme étant entre un homme et une femme, au Texas, en Louisiane et au Mississippi. Extraits de CNS.News :
Dans son mémoire, Dawn Stefanowicz a décrit son expérience de vie dans un « ménage »* homosexuel.
« Je n’étais pas entourée de couples hétérosexuels moyens », dit-elle dans son mémoire. « Les partenaires de papa dormaient et mangeaient dans notre maison, et ils m’ont emmenée dans des lieux de rencontre des communautés LGBT. J’ai été exposée à des activités sexuelles ouvertes comme la sodomie, la nudité, la pornographie, le sexe en groupe, le sadomasochisme et de tout acabit. »
« Il n’y avait aucune garantie que les partenaires de mon père resteraient là pour longtemps, et pourtant j’ai souvent dû leur obéir, » dit-elle. « Mes droits et mon innocence ont été violés. »
« En tant qu’enfants, nous ne sommes pas autorisés à exprimer notre désaccord, notre douleur et notre confusion », explique Stefanowicz. « La plupart des enfants [devenus]** adultes issus de foyers homosexuels ne se sentent pas en sécurité ou libres d’exprimer publiquement leurs histoires et les défis de leur vie ; ils craignent de perdre leur permis professionnel, de ne pas obtenir de l’emploi dans le domaine de leurs préférences, d’être coupés de certains des membres de leur famille ou de perdre quelques relations qu’ils avaient avec leurs parent(s) “gais”*. Certains parents “gais”* ont menacé de ne laisser aucun héritage si leurs enfants n’acceptaient pas le partenaire du jour de leur parent. »
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B. N. Klein explique pour sa part :
« ...J’ai vu que les enfants dans les foyers homosexuels deviennent souvent des accessoires à exposer publiquement pour prouver que les familles “gaies”* sont comme les familles hétérosexuelles. »
[…]
« En même temps, on m’a dit que si je n’étais pas d’accord (je ne l’ai pas été), j’étais stupide et condamnée à une vie d’hostilité punitive de la part de ma mère et de sa partenaire, » raconte-t-elle. « Elles l’ont fait avec l’encouragement de tous leurs amis gais de la communauté... »
Quant à R. B. Lopez :
Robert Oscar Lopez, qui a également été élevé par une mère lesbienne et sa partenaire [...] a écrit [...] que, « derrière ces façades d’un heureux “résultat” se cachent de nombreux problèmes ».
Il décrit [dans son témoignage]** avoir subi une grande confusion sexuelle due à l’absence d’une figure paternelle dans sa vie. À l’adolescence, il s’est tourné vers la prostitution avec des hommes plus âgés.
D’où l’on peut voir l’importance de la figure paternelle dans la famille, pour qu’il n’y ait pas un manque affectif qui dégénère plus tard.
De son côté, Katy Faust raconte son expérience et ses conclusions :
« Pourtant, les lois traditionnelles sur le mariage dans l’État de New York, telles qu’elles existaient à l’époque, empêchaient ma mère et sa conjointe de retirer complètement mon père de ma vie, » explique-t-elle. « Cette dernière réalité s’est révélée cruciale parce que le rétablissement de mes liens avec mon père en 1998 m’a permis de passer d’une vie perdue et sexuellement confuse à une vie stable et accomplie au niveau romantique. »
*Parenthèses rajoutées par A. H.
**Rajouts de A. H.