M'INSCRIRE
DONNER

Joignez-vous au mouvement

CQV défend la personne humaine, de la conception à la mort naturelle.

ou

×

Cela fait 50 ans qu’on utilise des cellules de bébés avortés dans des vaccins…

Par Caryn Lipson (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : nuttawutnuy/Adobe Stock

26 octobre 2021 (America's Frontline Doctors) — Récemment, Melissa Strickler, inspectrice de la qualité de fabrication chez Pfizer, a lancé l’alerte et révélé certains des courriels internes de la compagnie. Mme Strikler a été horrifiée par les informations qu’ils contenaient et a parlé avec Project Veritas de ce qu’elle avait découvert ─ l’utilisation de cellules fœtales de bébés avortés pour tester leur vaccin COVID-19. Voici une partie de ce que la direction avait écrit :

« Du point de vue des affaires de l’entreprise », Vanessa Gelman, directrice principale de la recherche mondiale chez Pfizer, a écrit dans un courriel : « Nous voulons éviter que l’information sur les cellules fœtales ne circule dans la nature... Le risque de communiquer cette information maintenant dépasse tout bénéfice potentiel que nous pourrions en tirer ; en particulier, des membres du public pourraient s’emparer de cette information et la diffuser d’une manière que nous ne voulons peut-être pas voir. »

Dans un autre échange de courriels entre Advait Badkar, directeur principal du groupe Novel Delivery Technologies au sein de l’organisation Biotherapeutics Pharmaceutical Sciences de Pfizer, on peut voir Gelman admettre à Badkar qu’« Une ou plusieurs lignées cellulaires dont l’origine peut être retracée jusqu’à du tissu fœtal humain ont été utilisées dans des tests de laboratoire associés au programme de vaccination ».

Elle l’a averti que « nous avons essayé autant que possible de ne pas mentionner les lignées cellulaires fœtales ».

Project Veritas a tenté de parler avec Mme Gelman. Voici sa réponse (si le clip vidéo est retiré de YouTube, vous pouvez le voir sur la chaîne Telegram de Project Veritas ici)… [Mme Gelman ne répond pas et se met à courir.]

On doit se demander ce que Gelman savait et qui l’a poussée à « prendre son envol ».

L'article continue ci-dessous...

Cliquez « J'aime » si vous êtes pro-vie !

Abonnez-vous à notre chaîne Youtube !

Ce que Strickler ne savait pas, c’est que l’information sur les cellules fœtales utilisées pour le vaccin COVID-19 est bien connue des scientifiques et des chercheurs. Des articles sur les techniques de fabrication des vaccins COVID-19, qui incluent l’utilisation de cellules fœtales, ont été publiés en ligne au moins jusqu’en mai 2020 [1] ; elle ne savait pas non plus qu’elle n’avait découvert qu’une petite partie d’un vaste scandale.

Les cellules fœtales mentionnées dans les courriels de Pfizer étaient des cellules HEK293T, obtenues à partir des cellules rénales d’un fœtus féminin en 1973 [2-3]. En réalité, tous les vaccins COVID-19 actuellement autorisés sont fabriqués à partir de cellules de fœtus avortés, y compris celui de Moderna. Moderna a également utilisé des cellules HEK293T dans ses tests de preuve de concept pour voir si les instructions génétiques contenues dans ces vaccins seraient effectivement assimilées et produiraient la protéine spike requise [4].

Johnson & Johnson a utilisé à la fois la lignée cellulaire PER.C6 (dérivée de cellules rétiniennes embryonnaires humaines, provenant à l’origine du tissu rétinien d’un fœtus de 18 semaines avorté en 1985) [5] et la lignée cellulaire HEK293T, pour produire et tester (respectivement) son vaccin adénovirus Janssen [6].

AstraZeneca a utilisé les cellules HEK293T pour développer le sien, tout comme deux autres sociétés dont les vaccins ont été approuvés, CanSino Biologics et Gamaleya Research Institute (vaccin Sputnik V) [7].

L’utilisation de cellules de fœtus avortés dans la production de vaccins existe depuis plus de 50 ans, depuis le milieu ou la fin des années 1970 [8]. Les antigènes de plusieurs vaccins pour enfants sont cultivés dans les lignées cellulaires de fœtus avortés MRC-5 et WI-38. Ces lignées cellulaires se retrouvent dans les vaccins et figurent sur la liste des excipients de vaccins du CDC ainsi que sur le site internet du Johns Hopkins Institute for Vaccine Safety (images du haut et du bas respectivement) [9].


On trouve également de l’ADN et des protéines fœtales dans les vaccins COVID-19, du moins pour ceux qui ont été développés, pas seulement testés, dans des cellules fœtales. Le Dr Theresa Deisher, ingénieur en génétique, explique qu’il est impossible de séparer totalement l’antigène du milieu dans lequel il est cultivé. Deisher explique :

Toutes ces choses se retrouvent dans le produit final, y compris les contaminants des lignées cellulaires utilisées pour fabriquer les vaccins, et vous avez demandé, vous savez, pourquoi les contaminants ne peuvent pas être éliminés. Le virus contenu dans le vaccin n’est qu’une longue chaîne d’ARN ou d’ADN, mais cette chaîne est si longue qu’il n’est pas économique de la produire dans un tube à essai. Les entreprises imitent donc la façon dont la nature cultive les virus : elles infectent les cellules et le virus se développe dans les cellules, puis elles lysent la cellule et essaient de purifier le virus en laissant derrière les impuretés et les fragments d’ADN. Mais, pour quiconque a suivi des cours de chimie, le rendement est inversement proportionnel à la pureté et, donc, s’ils purifiaient complètement les contaminants des lignées cellulaires, le rendement serait si faible qu’ils ne feraient pas d’argent, ou personne ne paierait mille ou dix mille dollars pour un vaccin et, donc, à cause de cela, les contaminants des lignées cellulaires, et dans ce cas des lignées cellulaires fœtales, sont dans le produit final. Et ils s’y trouvent en fait à des niveaux très élevés... [10]

Les lignées cellulaires WI-38 et MRC-5 ont plus de 60 ans. « Les cellules WI-38 ont été dérivées par Leonard Hayflick en 1962 à partir du poumon d’un fœtus féminin de 3 mois [2]. Les initiales WI font référence à l’Institut Wistar, un organisme de l’Université de Pennsylvanie, à Philadelphie, et le numéro 38 au fœtus à partir duquel les cellules ont été obtenues. Les cellules MRC-5 ont été obtenues en 1966 à partir des poumons d’un fœtus mâle de 14 semaines [3]. Les initiales MRC indiquent Medical Research Council, un organisme de Londres ». En raison de l’âge des lignées cellulaires, elles ne peuvent être reproduites qu’un certain nombre de fois, c’est pourquoi, en 2015, la Chine a développé une autre lignée cellulaire fœtale, la souche WalVax-2 [11-12].

Voici quels sont les vaccins américains approuvés contenant les cellules fœtales avortées : [13]

D’autres lignées cellulaires provenant de fœtus avortés chirurgicalement, qui ne sont pas utilisées dans les vaccins, incluent « .... WI-1, WI-3, WI-11, WI-16, WI-18, WI-19, WI-23, WI-24, WI-25, WI-26, WI-27, WI-44, MRC-9, IMR-90 et R-17 (obtenues à partir de poumons) ; WI-2, WI-12 et WI-20 (peau et muscle) ; WI-5 (muscle) ; WI-8 et WI-14, et WS1 (peau) ; WI-4, WI-9, WI-10, WI-13 et WI-15 (rein) ; WI-6, WI-21 et WI-22 (cœur) ; WI-7 (thymus et thyroïdes), WI-17 (foie) ; FHs74Int (intestin grêle)... » [14]

L’utilisation de cellules fœtales avortées soulève d’énormes problèmes éthiques, moraux et sanitaires.

Le Dr Stanley Plotkin, vaccinologue renommé, a été interrogé en janvier 2018, par l’avocat Aaron Siri, avant de témoigner dans une affaire de divorce, où les parents étaient en désaccord sur la vaccination. Plotkin possède une très longue liste de titres et compétences, dont celle de professeur émérite de l’Université de Pennsylvanie, et de professeur adjoint de l’Université Johns Hopkins. Il a reçu de nombreuses distinctions et des conférences portent son nom. Il a mis au point le vaccin contre la rubéole, est le codéveloppeur du vaccin pentavalent contre le rotavirus et a beaucoup travaillé sur le développement et l’application d’autres vaccins, notamment contre l’anthrax, la polio, la rage, la varicelle et le cytomégalovirus. Il est aujourd’hui consultant auprès de fabricants de vaccins, de sociétés de biotechnologie et d’organismes de recherche à but non lucratif en tant que directeur de Vaxconsult, LLC [15].

Écoutez [la vidéo n'est disponible que sur l'article de LifeSiteNews] ce que Plotkin a dit sur les cellules fœtales avortées pendant la déposition (à partir de 2 h 40) : [16]

Parce que des tissus vivants sont nécessaires pour la culture primaire, ces avortements sont souvent effectués par la méthode du « sac d’eau » qui permet d’obtenir (entre 2 et 4 mois de gestation) des fœtus vivants. (Les membres, organes et tissus des fœtus avortés sont également un pilier de la recherche médicale moderne.) Les vaccins contre la rougeole, les oreillons, la rubéole, la varicelle, le zona, le rotavirus, l’adénovirus et la rage contiennent des fragments d’ADN humain... [17].

Non seulement les bébés sont mis au monde vivants, mais, chose horrible, leurs organes sont souvent prélevés alors qu’ils sont encore en vie [18]. C’est ainsi qu’on a obtenu les cellules rénales HEK293 utilisées dans la fabrication des vaccins et c’est pourquoi Pfizer voulait que cela reste secret :

Les détails des origines brutales de HEK293 — et selon toute apparence, jusqu’à très récemment, largement non divulgués — expliquent le profond malaise de l’entreprise. Contrairement à près d’un demi-siècle de déclarations erronées et d’obscurcissements, la création du HEK293 n’est PAS le résultat d’un « avortement » au sens où l’entendent les gens ordinaires...

Pour prélever un rein embryonnaire viable... des enfants suffisamment sains et en âge d’avoir des reins suffisamment développés doivent être retirés de l’utérus, vivants, généralement par césarienne, et leurs reins doivent être prélevés. Cela doit se faire sans anesthésie pour l’enfant, ce qui réduirait la viabilité des organes.

... Le meurtre délibéré d’un enfant non désiré (une petite fille, dans le cas de HEK 293) a eu lieu de cette manière tortueuse afin d’obtenir, précisément, ses organes pour la recherche. Le prélèvement de ses organes a été la cause directe de sa mort, avant laquelle elle était une enfant vivante, hors de l’utérus [19].

Les vaccins ont été fabriqués en détruisant des vies de la manière la plus brutale qui soit et l’utilisation de ces vaccins nuit gravement à de nombreuses personnes qui les ont reçus, même si les dommages ne sont pas forcément reconnus comme tels.

... Selon Plotkin, l’injection d’ADN intact est théoriquement problématique, c’est pourquoi ils le fragmentent. Mais, de l’ADN humain intact a récemment été découvert dans un vaccin par Corvelva, un laboratoire indépendant qui a analysé le contenu des vaccins.

Les essais cliniques des vaccins recherchent principalement des effets indésirables locaux et transitoires prédéfinis, de sorte que les participants aux essais ne sont suivis que pendant quelques jours ou quelques mois. Les effets à long terme des vaccins ne font pas partie des essais cliniques. La section 13 de la notice de chaque vaccin indique que le vaccin n’a pas été étudié pour déterminer s’il peut provoquer des mutations génétiques, un cancer ou une altération de la fertilité. Ils ne sont pas tenus de le faire. Cependant, les scientifiques le savent depuis longtemps :

  • La fragmentation de l’ADN est une première étape nécessaire à l’insertion d’un ADN étranger dans les cellules.
  • Grâce à un processus appelé mutagenèse insertionnelle, l’ADN étranger peut être incorporé dans l’ADN d’un hôte et provoquer des mutations génétiques, des cancers et d’autres problèmes de santé.
  • La recombinaison homologue, un autre type de mutation impliquant des fragments d’ADN, peut provoquer des maladies graves.
  • Les rétrovirus présents dans l’ADN humain étranger peuvent être dangereux lorsqu’ils sont incorporés dans l’ADN d’un hôte humain.
  • Les cellules souches embryonnaires dans lesquelles les vaccins sont cultivés sont naturellement tumorigènes. La FDA a étudié les vaccins à virus vivants en raison de leur potentiel cancérigène.

Les scientifiques qui étudient les vaccins ont pu identifier, dans différents pays, des augmentations de cas d’autisme qui coïncident avec l’introduction de vaccins à virus vivants cultivés dans des substrats de cellules humaines. Cela s’ajoute aux problèmes déjà connus découlant de l’injection d’ADN humain étranger dans un hôte humain. Bien que l’effet de l’injection d’ADN de fœtus féminins à des hommes et d’ADN de fœtus masculins à des femmes n’ait pas fait l’objet d’études directes, une nouvelle étude montre que les personnes autistes sont plus susceptibles d’être transgenres et des recherches ont examiné l’effet des anomalies chromosomiques sur les zones du cerveau liées au comportement sexuel. Cette question est particulièrement importante à la lumière de l’augmentation considérable du transgenrisme et de la dysphorie (confusion) de genre signalée dans de nombreux pays... [20].

On trouve également des cellules de fœtus avortés dans certains médicaments [21].

Nous pouvons être assez confiants que de la même manière que les cellules de fœtus avortés sont utilisées pour le développement de nombreux vaccins infantiles et des vaccins COVID-19, elles sont utilisées dans la production du prochain vaccin contre le virus de Marburg, qui sera utilisé pour la prochaine pandémie du virus de Marburg. En mars 2019, un communiqué de presse du HHS a annoncé le développement d’un vaccin contre le virus de Marburg, déclarant qu’il s’agissait d’une menace de biodéfense et de santé publique [22-23]. Gavi, l’Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination, fondée, en partie, par la Fondation Bill et Melinda Gates [24], a suggéré, en avril 2021, que le virus de Marburg pourrait être la prochaine pandémie [25]. D’autres commencent également maintenant à « tirer la sonnette d’alarme ». [26].

Le virus de Marburg, qui provient des chauves-souris [27], est la cause d’une maladie hémorragique rare que l’on trouve principalement dans les pays africains. Depuis sa découverte en 1967 jusqu’à aujourd’hui, on a recensé 474 cas et 373 décès. 355 de ces décès sont survenus au cours des deux grandes épidémies du virus, qui ont eu lieu entre 1998-2000 et 2004-2005. Entre 2007 et 2021, il y a eu 29 cas et 16 décès (18 cas et 9 décès sont survenus en 2017) [28].

Tout comme la vitamine C a été utilisée par certains hôpitaux pour traiter le COVID-19 [29-30], même si les agences de santé ont affirmé que le COVID-19 n’a aucun traitement [31], Dr Suzanne Humphries, dans une conférence sur la vitamine C, a expliqué que la vitamine C peut traiter avec succès Ebola et les maladies hémorragiques [32], même s’il est affirmé qu’il n’existe aucun traitement pour le virus Ebola ou de Marburg. [33]

Project Veritas a révélé le trafic de parties de bébés avortés par Planned Parenthood [34-35] (le père de Bill Gates était à la tête de Planned Parenthood [36]), mais les fœtus avortés sont déjà une marchandise utilisée pour la recherche médicale [37-38-39-40] dans les cosmétiques, et même par l’industrie alimentaire pour effectuer des tests de goût lors du développement de nouveaux produits alimentaires [41].

 


NOTES :

[1] « Le Conseil national de recherches du Canada et Cansino Biologics Inc. annoncent une collaboration pour faire progresser le vaccin contre le COVID-19 », Biospace, 2021.

[2] « Cellules HEK 293 – Wikipédia », En.Wikipedia.Org, 2021.

[3] Rédacteur en chef adjoint. « Exclusive : Pfizer’S Nervousness About Its COVID Vaccine’S Origins Conceals A Horror Story » [Exclusif : La nervosité de Pfizer à propos des origines de son vaccin COVID cache une histoire d’horreur], The Gateway Pundit, 2021.

[4] Tostanoski, Lisa H. et al. « Ad26 Vaccine Protects Against SARS-Cov-2 Severe Clinical Disease In Hamsters ». Nature Medicine, vol 26, no 11, 2020, p. 1694-1700. Springer Science And Business Media LLC, doi:10.1038/s41591-020-1070-6

[5] « Lignées cellulaires PER.C6 — Creative Biolabs ». Gmp-Creativebiolabs.Com, 2021.

« La lignée cellulaire PER.C6 est dérivée de cellules rétiniennes embryonnaires humaines, provenant à l’origine du tissu rétinien d’un fœtus de 18 semaines avorté en 1985, puis développée et préparée comme lignée cellulaire par transfection avec la région E1 définie de l’adénovirus de type 5, suivie d’une sélection des transfectants présentant un phénotype immortel. Au début, cette lignée cellulaire était principalement utilisée pour la production de vecteurs adénoviraux humains destinés au développement de vaccins et à la thérapie génique. Grâce à une optimisation ultérieure, PER.C6 est devenue une lignée cellulaire hôte excellente pour la production industrielle à grande échelle de protéines thérapeutiques, notamment les IgG humaines. »

[6] Ibid.

[7] Ibid.

[8] Deisher, Theresa A., PhD. « Témoignage soumis par le Dr Theresa A. Deisher ». Bioethicsarchive.Georgetown. Edu, 2021.

[9] Liste des excipients du CDC Pinkbook.

« Institute For Vaccine Safety - Components : Excipients ». Vaccinesafety.Edu, 2021,

[10] « Cellules fœtales, ADN et protéines dans les vaccins - Theresa Deisher, PhD ». Youtube.Com, 2021, https://www.youtube.com/watch?v=2RNb4cXIPrU

« Theresa Deisher sur l’ADN de fœtus humains avortés dans les vaccins », Brighteon.Com, 2021.

[11] Observatoire de la bioéthique. « Des vaccins produits à partir de fœtus avortés sont utilisés ». Observatoire de la bioéthique — Institut des sciences de la vie — UCV, 2020.

[12] Wadman, Meredith. « Henrietta Lacks n’était pas la seule femme qui a contribué sans le savoir à l’histoire de la médecine », Slate Magazine, 2017 ; « L’éthique de la souche cellulaire Walvax-2 », Ethicalresearch.Net, 2021.

[13] « Vaccins, avortement et tissu fœtal ». Ohio Right To Life, 2021, https://www.ohiolife.org/vaccines_abortion_fetal_tissue

Il existe d’autres options approuvées par les États-Unis à certains de ces vaccins, qui sont également répertoriées ici.

[14] Voir note 8.

[15] Court CV de Plotkin — VaxConsult. https://www.vaxconsult.com/app/download/1194394/SHORT%2BCV.pdf

[16] « Le Dr Stanley Plotkin, parrain des vaccins, admet sous serment les véritables ingrédients horribles des vaccins », Bitchute, 2021, https://www.bitchute.com/video/WFwwoFYbLFd3/

[17] « ADN humain dans les vaccins — Origines et sécurité ». Rodef Shalom 613, 2020, https://www.rodefshalom613.org/2020/08/human-dna-in-vaccines-origins-and-safety/

[18] Les tissus fœtaux et des parties du corps de bébés avortés sont utilisés pour de nombreux types de recherche, et pas seulement pour les vaccins. Vous trouverez ci-dessous un extrait de Fetal Body Parts Used for Research : Is it ethical to experiment on aborted humans ? (https://investigatemagazine.co.nz/2451/fetal-body-parts-used-for-reseach/) du journaliste d’investigation Ian Wishart, sur la façon dont les parties de fœtus sont acquises à partir d’avortements et sur les preuves que certains fœtus sont disséqués alors qu’ils sont encore vivants. Les scientifiques qui utilisent ces parties du corps croient que c’est pour le bien de tous. Pourtant, l’auteur affirme : « C’est une idée moderne et relativiste que l’on peut sacrifier quelques personnes pour le bien du plus grand nombre. En effet, c’est l’une des justifications utilisées par Hitler pour attiser la haine contre les minorités juives, gitanes et homosexuelles. Au XXIe siècle, l’argument est plus subtil : si l’on peut trouver un remède à des maladies invalidantes en prélevant des organes de fœtus lors d’avortements, ou en cultivant des embryons humains en laboratoire pour le prélèvement de cellules souches, alors la mort de ces enfants est justifiable en raison du plus grand bien perçu par l’ensemble de la communauté. » Lors des procès pour crimes de guerre de Nuremberg, des preuves ont été présentées concernant d’horribles expériences scientifiques réalisées sur des prisonniers dans les camps de concentration. Les médecins nazis jugés ont tenté de justifier ces expériences en affirmant que les sujets étaient de toute façon destinés à mourir et que les connaissances acquises profiteraient au reste de l’humanité. [Les scientifiques qui travaillent avec des cellules fœtales provenant de bébés avortés affirment que les bébés allaient de toute façon être avortés en raison du choix de la mère. RS 613] « Human DNA in Vaccines – Origins and Safety ». Rodefshalom613.Org, 2021, https://www.rodefshalom613.org/wp-content/uploads/2020/06/Human-DNA-in-Vaccines-Origins-and-safety-6-15-20.pdf

[19] Voir note 3.

[20] Ibid.

[21] U.S. Aborted Fetal Products. Cogforlife.Org, 2021, https://cogforlife.org/wp-content/uploads/fetalproductsall.pdf

[22] « HHS' BARDA funds its first Marburg virus vaccine development », Phe.Gov, 2021, https://www.phe.gov/Preparedness/news/Pages/marburg-vaccine-05Mar19.aspx

[23] Le NIH travaillait déjà sur un vaccin contre le virus de Marburg en 2010. « Un vaccin expérimental contre le virus de Marburg, soutenu par les NIH, prévient la maladie deux jours après l’infection ». National Institutes Of Health (NIH), 2015, https://www.nih.gov/news-events/news-releases/nih-supported-experimental-marburg-vaccine-prevents-disease-two-days-after-infection

[24] "À propos de notre alliance". Gavi.Org, 2021, https://www.gavi.org/our-alliance/about

[25] Priya, Joi. « La prochaine pandémie : Marburg ? ». Gavi.Org, 2021, https://www.gavi.org/vaccineswork/next-pandemic/marburg

[26] Citroner, George. « Le virus de Marburg pourrait-il déclencher une autre épidémie ? What We Know ». Healthline, 2021, https://www.healthline.com/health-news/could-the-marburg-virus-start-another-outbreak-what-we-know

[27] Guito, Jonathan C. et al. "Asymptomatic Infection of Marburg Virus Reservoir Bats Is Explained By A Strategy Of Immunoprotective Disease Tolerance". Current Biology, vol 31, no. 2, 2021, pp. 257-270.e5. Elsevier BV, doi:10.1016/j.cub.2020.10.015

[28] "Virus de Marburg - Wikipédia". En.Wikipedia.Org, 2021, https://en.wikipedia.org/wiki/Marburg_virus#cite_note-9

[29] Mccall, Rosie. « Les hôpitaux de New York utilisent la vitamine C pour traiter certains patients atteints du coronavirus ». Newsweek, 2020, https://www.newsweek.com/new-york-hospitals-vitamin-c-coronavirus-patients-1494407

[30] Hoang, Ba X. et al. « Possible Application of High-Dose Vitamin C In the Prevention and Therapy Of Coronavirus Infection ». Journal Of Global Antimicrobial Resistance, vol 23, 2020, pp. 256-262. Elsevier BV, doi:10.1016/j.jgar.2020.09.025

[31] "Emergency Use Authorization for Vaccines Explained". Administration américaine des denrées alimentaires et des médicaments, 2020, https://www.fda.gov/vaccines-blood-biologics/vaccines/emergency-use-authorization-vaccines-explained

[32] Humphries, Suzanne. « Conférence sur la vitamine C ». Youtube.Com, 2021, https://youtu.be/y0LLX0sgwAU?t=3724

[33] Lett, D. « Wanted : Manufacturer for Ebola and Marburg Vaccines ». Journal de l’Association médicale canadienne, vol 173, n° 5, 2005, p. 472-472. CMA Joule Inc, doi:10.1503/cmaj.050938

[34] « Verdict de culpabilité contre David Daleiden : l’industrie de l’avortement fait jouer ses muscles ». Projectveritas.Com, 2019, https://www.projectveritas.com/news/guilty-verdict-against-david-daleiden-as-abortion-industry-flexes-its-muscle

[35] The Center for Medical Process, "Intact Fetuses : Just a Matter of Line Items" for Planned Parenthood TX Mega-Center", Youtube.Com, 2021, https://www.youtube.com/watch?v=egGUEvY7CEg&t=0s

[36] « Bill Gates : mon père était à la tête de Planned Parenthood », Youtube.Com, 2021, https://www.youtube.com/watch?v=H2OkIua8iEU

[37] Voir note 17.

[38] Kent J. The fetal tissue economy : from the abortion clinic to the stem cell laboratory. Soc Sci Med. 2008 Dec;67(11):1747-56. doi: 10.1016/j.socscimed.2008.09.027. Epub 2008 Oct 22

[39] Pfeffer N. "How work reconfigures an 'unwanted' pregnancy into 'the right tool for the job' in stem cell research". Sociol Health Illn. 2009 Jan;31 (1) : 98-111. doi: 10,111 1/j.1467-9566.2008.01117.x. Epub 2008 Dec 16.

[40] Ma B, He LF, Zhang YL, Chen M, Wang LL, Yang HW, Yan T, Sun MX, Zheng CY. Caractéristiques et propriétés de propagation virale d’une nouvelle lignée cellulaire diploïde humaine, Walvax-2, et sa pertinence en tant que substrat cellulaire candidat pour la production de vaccins. Hum Vaccin Immunother. 2015 ; 11 (4) : 998-1009. doi: 10.1080/21645515.2015.1009811.

[41] Voir la note 15.



Laissez un commentaire