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La double euthanasie de l’ancien premier ministre des Pays-Bas, Dries van Agt, et de sa femme


Dries van Agt.

Par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Photo : Veer0318/Wikimedia Commons

L’ancien premier ministre néerlandais Dries van Agt a été euthanasié le 5 février conjointement avec son épouse Eugénie, trois jours après son 93e anniversaire qu’il semble avoir fêté avec ses amis. La nouvelle de sa mort a été diffusée seulement après leur enterrement dans l’intimité, au moyen d’un avis de décès précisant qu’ils étaient morts « la main dans la main », et depuis lors la presse mondiale se penche sur l’événement présenté comme une sorte de couronnement enviable de leurs plus de soixante-dix ans de vie commune, puisqu’ils s’étaient mariés en 1958 après s’être connus à l’université catholique de Nimègue. Car ce Brabançon était catholique, en effet, et avait même à l’occasion plaidé pour le retour de la messe « d’avant le concile », tout en se montrant de moins en moins attaché aux « dogmes » et de moins en moins conservateur. Lui qui s’était fait connaître pour sa tentative manquée de faire fermer une clinique d’avortement s’est révélé au fil de sa vie de plus en plus progressiste. Jusqu’à obtenir une sorte d’euthanasie « complice »…

En attirant délibérément l’attention sur ce fait, l’homme politique et la seule femme de sa vie ont assumé le fait de promouvoir ce type de mort choisie à deux. La double euthanasie reste exceptionnelle aux Pays-Bas, ne représentant qu’un tout petit pourcentage des morts médicalement administrées ; les derniers chiffres connus évoquent 29 morts de couple (soit 58 personnes) en 2022, sur un total de 9 000 euthanasies. C’est un nombre qui augmente doucement mais sûrement : en 2021, 16 couples ont obtenu d’être éliminés ainsi, en 2020, ils étaient 13.

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Un député du NPD affirme que « les droits parentaux n’existent pas au Canada »


Randall Garrison.

Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : X

12 février 2024 (LifeSiteNews) — Si vous êtes un parent vivant au Canada, veuillez prendre un moment pour regarder cette vidéo :

Pour résumer : un journaliste hors caméra demande à Randall Garrison, le député du Nouveau Parti démocratique d’Esquimalt-Saanich-Sooke, s’il est préoccupé par les droits parentaux au Canada dans une série de questions sur les récentes politiques de droits parentaux de la première ministre d’Alberta Danielle Smith : « Considérez-vous qu’il s’agit d’une question de droits parentaux ? ».

La réponse de Garrison a été admirablement précise : « Eh bien, j’aimerais dire tout d’abord que les droits parentaux n’existent pas au Canada — il y a des responsabilités parentales. Dans le droit canadien de la famille, la responsabilité première est de soutenir et d’affirmer ses enfants. Les enfants ont des droits au Canada, et ce type de politique restreint les droits des enfants au Canada. »

Il y a plusieurs choses importantes à noter à propos de cette déclaration. Tout d’abord, qui est Garrison pour dire ce que signifie « soutenir et affirmer » ? Ce qu’il pense est clair : si un garçon dit qu’il est une fille ou qu’une fille dit qu’elle est un garçon, il est important d’« affirmer » leur croyance déclarée plutôt que la réalité de leur sexe naturel. Je suis d’accord pour dire que les parents doivent affirmer et soutenir leurs enfants, mais dans ce contexte, ce que Garrison suggère est exactement le contraire de l’affirmation d’un enfant.

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La plus haute juridiction équatorienne autorise l’euthanasie volontaire et avolontaire


Paola Roldán.

Par Jeanne Smits — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube

9 février 2024 (LifeSiteNews) — Le 5 février, la Cour constitutionnelle de l’Équateur a accédé à la demande de Paola Roldán, 42 ans, atteinte de sclérose latérale amyotrophique, d’être euthanasiée en raison des douleurs intenses qu’elle ressent. Sept juges sur neuf ont cédé à la pression d’une situation extrême, dans un pays où il n’existe aucune disposition légale en matière de soins palliatifs.

La patiente et son équipe juridique avaient clairement indiqué qu’ils ne se battaient pas seulement pour un cas et une décision individuels, mais qu’ils espéraient obtenir une décision qui « aiderait » d’autres personnes dans des situations similaires. Il est possible qu’ils aient obtenu plus que ce qu’ils souhaitaient. En vertu de l’arrêt de la Cour, non seulement l’euthanasie « volontaire », mais aussi ce qu’elle appelle l’euthanasie « avolontaire », seront légalement exemptées des peines d’emprisonnement de 10 à 13 ans prévues à l’article 144 du code pénal équatorien, qui définit divers types d’homicides volontaires (et non de meurtres au premier degré).

« L’euthanasie active avolontaire », selon l’arrêt, est fondée sur la volonté du patient. Toutefois, il précise sa signification en disant que « dans l’euthanasie active avolontaire, la volonté du patient ne peut être connue parce qu’il lui est impossible de l’exprimer, par exemple dans les cas où les personnes sont dans un état végétatif [ou] un coma permanent et, [donc] au lieu de cela, la personne consciente est un représentant du patient ».

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Le député Chris Smith avertit que le traité de l’OMS sur les pandémies constitue la plus grande menace pour la liberté dans l’histoire de l’humanité


Chris Smith.

Par Jean-Louis Knuffke — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : LifeSiteNews

6 février 2024 Washington, D.C. (LifeSiteNews) — Des membres du Congrès américain ont averti lundi que le projet de traité sur les pandémies de l’Organisation mondiale de la santé, qui céderait un important pouvoir de gouvernance sur les nations à des mondialistes autoproclamés dans le cas d’une « urgence sanitaire » nouvellement déclarée, s’annonce comme la plus grande menace dans l’histoire de l’humanité pour la liberté, la souveraineté nationale et le caractère sacré de la vie.

Dans ce que les experts juridiques ont qualifié de « coup de force » calqué sur le régime communiste totalitaire chinois, avec un petit comité d’élites mondialistes de gauche s’appropriant le contrôle de toutes les fonctions de base d’une société libre, le traité de l’OMS sur les pandémies serait un accord juridiquement contraignant dont les législateurs ont souligné qu’il répondait à la définition d’un traité, si bien qu’il serait inconstitutionnel pour le président de le signer sans l’avis et le consentement du Sénat des États-Unis.

En cas de nouvelle « crise sanitaire » ou de « pandémie mondiale », le traité proposé céderait à l’OMS certains pouvoirs sur les pays membres en ce qui concerne la « crise ».

Les critères d’une telle « crise sanitaire » ont été considérablement élargis pour inclure potentiellement la « santé » de la planète, ainsi que toute crise résultant de restrictions appliquées à des « soins » considérés comme « essentiels » par l’OMS, tels que l’avortement et les opérations chirurgicales dites « transgenres ».

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Une mère poursuit le district scolaire de New York qui avait commencé à traiter secrètement sa fille comme un garçon

LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Rawpixel

6 février 2024, Syracuse, New York (Alliance Defending Freedom) — Le 31 janvier, les avocats d’Alliance Defending Freedom (ADF) ont intenté une action en justice contre un district scolaire de New York après que des fonctionnaires aient commencé à traiter une collégienne comme un garçon à l’insu de sa mère et sans son consentement.

Jennifer Vitsaxaki, que les avocats de l’ADF représentent dans le procès, a retiré sa fille du Skaneateles Central School District à la fin de l’année scolaire 2020-2021 après avoir appris que les employés de l’école, agissant en vertu de la politique du district, avaient commencé à traiter sa fille comme un garçon.

Sans en informer Mme Vitsaxaki ni demander son consentement, les employés ont commencé à se référer à sa fille avec un nom masculin et des pronoms de la troisième personne du pluriel* incompatibles avec le sexe de sa fille. En procédant à la transition sociale de la fille de Mme Vitsaxaki sans son consentement et en dissimulant des informations vitales sur la santé et le bien-être de sa fille, le district a violé les droits parentaux fondamentaux de Mme Vitsaxaki et ses convictions religieuses profondes. La Constitution américaine protège son droit en tant que parent de prendre des décisions concernant l’éducation, l’instruction et les soins de santé de ses enfants.

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Poilievre s’oppose enfin aux « bloqueurs de puberté » pour mineurs


Pierre Poilievre.

Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : CPAC/YouTube

8 février 2024, Ottawa, Ontario (LifeSiteNews) — Après avoir semblé esquiver la question pendant une semaine, le chef du Parti conservateur Pierre Poilievre a finalement exprimé son soutien à l’interdiction de l’Alberta concernant la « transition » des enfants.

Le 7 février, Poilievre a déclaré aux journalistes sur la Colline du Parlement qu’il s’opposait à l’utilisation de « bloqueurs de puberté » pour les enfants, une semaine après que l’Alberta ait introduit une législation protégeant les enfants des pires conséquences de l’idéologie transgenre.

« Je pense que nous devrions protéger les enfants et leur capacité à prendre des décisions d’adultes lorsqu’ils seront adultes », a déclaré M. Poilievre.

« Pour être clair, vous êtes contre les bloqueurs de puberté pour les enfants de moins de 18 ans ? » a insisté un journaliste.

« Oui », a répondu Poilievre.

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Une étude canadienne montre que l’on encourage le don-d’organes-euthanasie

Par Wesley J. Smith (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : WavebreakmediaMicro/Adobe Stock

(National Review) Quelques bonnes nouvelles : au Canada, la légalisation de l’euthanasie pour les malades mentaux a encore été repoussée, non pas parce que les autorités pensent que c’est éthiquement tordu, profondément négligent et moralement mauvais — tout cela est vrai — mais parce qu’il n’y a pas assez de professionnels de la santé mentale pour décider quels patients peuvent être tués. Comme on dit, c’est un port dans la tempête.

Entre-temps, la tendance à utiliser, comme source d’organes, les personnes suicidaires qui demandent la piqûre mortelle, se poursuit. L’organisation de dons d’organes* de l’Ontario contacte déjà les patients dont le médecin prévoit la mort pour leur demander leur foie, leurs reins et leur rate. Et il en est de même au Québec.

D’après une étude du Journal de l’Association médicale canadienne :

Avant 2018, les médecins étaient découragés de mentionner la possibilité d’un don, mais depuis 2018, les médecins qui proposent l’Aide médicale à mourir (AMM) sont encouragés à discuter du don d’organes avec les patients éligibles une fois la décision prise de mener à bien l’AMM. Si le patient exprime son intérêt, le médecin l’oriente vers Transplant Québec.

Au moment de l’orientation, les renseignements sur le patient sont transmis au personnel de Transplant Québec, qui coordonne une première évaluation de l’admissibilité médicale... En supposant qu’il n’y a pas de contre-indications médicales, le coordonnateur de Transplant Québec explique au fournisseur et au patient les principes de base du don après l’AMM. Les deux changements les plus notables au processus d’AMM lorsque le don est possible sont l’ajout de tests d’admissibilité des organes (études de laboratoire et d’imagerie) et le fait que le processus d’AMM doit avoir lieu à l’hôpital parce que les organes ne seront plus perfusés après un arrêt circulatoire, ce qui nécessite une récupération immédiate des organes afin d’éviter les dommages ischémiques. Ces modifications sont expliquées au patient, qui dispose d’au moins 24 heures pour réfléchir au processus avant d’être recontacté par Transplant Québec. Le patient est également informé que l’acceptation ou non du don n’a aucune incidence sur l’accès aux services d’AMM.

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Le président pro-vie du Salvador, Nayib Bukele, réélu haut la main


Nayib Bukele, président du Salvador.

Par Stephen Kokx — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Casa Presidencial El Salvador/Flickr/Wikimedia Commons

6 février 2024 (LifeSiteNews) — Nayib Bukele, le président nationaliste et pro-vie du Salvador, a été réélu haut la main dimanche, réussissant à repousser des années d’attaques médiatiques qui le qualifiaient de dictateur.

« Nous, le peuple du Salvador, décidons de la manière dont nous voulons nous gouverner », a déclaré M. Bukele aux puissances occidentales lors de son discours de victoire. « Nous voulons être vos amis, vos alliés, vos partenaires. Mais nous ne serons pas vos laquais ».

M. Bukele, 42 ans, est devenu président de ce pays d’Amérique centrale de 6,5 millions d’habitants pour la première fois en 2019, après avoir remporté 53 % des suffrages. Bien que la constitution du pays, datant de 1983, interdise la réélection, il a été autorisé à briguer un nouveau mandat de cinq ans après que des juges, élus à la suite de la large victoire électorale de son parti en 2021, aient déterminé que cela était autorisé.

Bukele aurait recueilli cette fois-ci plus de 83 % des voix, bien que 30 % du total n’ait pas encore été comptabilisé. Son concurrent le plus proche semble avoir obtenu moins de 8 % des voix. On estime que son parti, Nuevas Ideas, remportera un nombre étonnant de 58 sièges sur 60 à l’Assemblée législative monocamérale du pays.

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Après avoir envisagé l'avortement à cause d’un diagnostic prénatal alarmant, elle a choisi la vie plutôt que la peur


Karen Connor et sa fille.

Par Lisa Bast (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Karen Connor

Karen Connor a toujours été une militante pro-vie, même à 19 ans, lorsqu'elle a lutté contre la peur et l'incertitude d'une grossesse non planifiée.

Connor a déclaré à Live Action News : « Je voulais avoir mon bébé, tout en réalisant que j'aurais des difficultés en tant que mère célibataire. L'avortement n'a jamais été une option ».

Mais 18 ans plus tard, les convictions pro-vie de Connor allaient à nouveau être mises à l'épreuve de manière inattendue.

Son aînée, une fille, avait 16 ans lorsque le deuxième enfant de Connor est né. Une autre grossesse a suivi peu après, et Connor a appris qu'elle portait des jumeaux. « À ce moment-là, j'avais 37 ans et les médecins voulaient faire des tests génétiques », explique-t-elle. « J'ai accepté afin d'être prête au cas où il y aurait un problème ».

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SPACECAST: L’AVORTEMENT

J'ai été invité au Spacecast de Radio X pour discuter de l'avortement. Merci à Jean-Francis Blais et Camille Bergeron pour l'accueil ! Cliquez ici ou sur l'image pour écouter l'entretien.

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