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Des questions sur la « diversité des genres » et les relations « diverses » figureront dans le recensement canadien de 2026

Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : tippapatt/Adobe Stock

22 avril 2024, Ottawa, Ontario (LifeSiteNews) — Le prochain recensement fédéral du Canada semble mener plus loin la charge contre le modèle familial traditionnel. Statistique Canada a confirmé qu’il inclura une toute première série de nouvelles questions relatives à la « diversité de genre », y compris des questions sur les « relations de couple » en dehors du mariage ou même des unions de fait.

Selon Statistique Canada, la réécriture de la « dynamique familiale » sera l’un des changements les plus importants du recensement de 2026.

Il convient de noter que Statistique Canada avait précédemment mis en place des questions sur le « sexe à la naissance » et la soi-disant « orientation » sexuelle. L’objectif était de « combler les lacunes en matière d’information sur les Canadiens de sexe différent ».

Les changements ont été révélés dans un rapport intitulé « Rapport de consultation sur le contenu du recensement de la population de 2026 : Ce que nous avons entendu de la part des Canadiens ». Le rapport indique que Statistique Canada « explore continuellement de nouveaux ensembles de données et évalue leur pertinence pour compléter ou remplacer le contenu du Recensement de la population ».

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L’ONU attaque la maternité au foyer en la qualifiant d’« inégalité entre les sexes » et préconise la création de garderies socialistes

Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik

22 avril 2024 (LifeSiteNews) — Les mères au foyer, et les mères en général, sont victimes de « l’inégalité des sexes » et de « violence sexiste » en raison de leur dévouement à leurs enfants, a déclaré une commission d’extrême gauche des Nations Unies.

La 68e session de la Commission de la condition de la femme de l’ONU se serait fortement concentrée sur le « travail de soins non rémunéré », selon la journaliste Kimberly Ells, qui écrit sur Mercator.

« J’ai passé une semaine à écouter un défilé sans fin d’événements axés presque exclusivement sur l’éradication de la pauvreté par l’élimination du “travail de soins non rémunéré” », a écrit Mme Ells.

« Qu’est-ce que le “travail de soins non rémunéré”, demanderez-vous ? Il s’agit du travail effectué à domicile sans rémunération monétaire spécifique. La plupart des gens appelleraient ce type de travail le simple fait d’être en vie », écrit-elle. « On pourrait aussi dire que c’est diriger son propre château ».

L’Agenda 2023 des Nations unies pour les objectifs de développement durable mentionne le « travail de soins non rémunéré » comme un problème à résoudre.

« Mais les forces qui ont convergé vers les Nations unies ce printemps l’ont qualifié d’atrocité », a-t-elle ajouté. « Le fait d’être un “travailleur non rémunéré” — surtout si l’on est une femme — a été considéré comme un affront à la décence humaine », a-t-elle ajouté. « Et parce qu’en moyenne, les femmes du monde entier font plus de travail à la maison que les hommes, les cercles des Nations unies appellent cela “l’inégalité des sexes”, “l’injustice des sexes” et même “la violence fondée sur le sexe” ».

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Le mouvement des écoles catholiques indépendantes offre aux parents ontariens une alternative

Par LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : puhimec/Adobe Stock

22 avril 2024 — Un groupe de personnes investies dans l’éducation catholique développe un réseau pour aider le mouvement des écoles catholiques indépendantes en Ontario.

Le Consortium des écoles catholiques indépendantes de l’Ontario (Consortium of Independent Ontario Catholic Schools — CIOCS) est un réseau d’écoles dont l’objectif principal est de favoriser la collaboration et la communion entre les écoles membres tout en soutenant des valeurs, une mission et un engagement communs envers l’éducation catholique.

John Pacheco, l’un des directeurs du Consortium, a expliqué l’une des motivations du groupe.

« On parle beaucoup aujourd’hui d’identité, et nous croyons que l’identité de chaque enfant doit s’enraciner et se conformer à l’image de Jésus-Christ, à l’image immuable duquel nous avons été créés », a-t-il déclaré.

« D’un point de vue pratique, nous cherchons à développer une structure de soutien pour aider nos écoles membres actuelles et futures dans divers domaines. L’un des principaux objectifs du CIOCS est de trouver des moyens de réduire les coûts afin de mettre l’enseignement privé catholique à la portée des parents ».

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La ville de Muenster au Texas devient la 69e « ville sanctuaire pour les enfants à naître » aux États-Unis

Par Mark Lee Dickson (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik

Le lundi 8 avril, le conseil municipal de Muenster, Texas (1 556 habitants), situé à environ 80 miles de Fort Worth, a adopté une « Ordonnance interdisant l’avortement, déclarant Muenster “Havre de paix pour les enfants à naître” » par un vote unanime (5-0). Ce vote fait de la ville de Muenster la 52e ville de l’État du Texas, la 69e ville du pays et la 76e subdivision politique du pays à adopter un règlement interdisant l’avortement.

L’ordonnance de Muenster met en place six dispositions dont l’application relève exclusivement de l’action civile privée. Ces dispositions (1) interdisent de pratiquer des avortements volontaires et d’aider ou d’encourager des avortements volontaires dans les limites de la ville de Muenster, (2) interdisent les avortements volontaires sur les résidents de Muenster — quel que soit le lieu de l’avortement, (3) interdisent le trafic d’avortements, (4) interdisent les médicaments provoquant l’avortement, (5) interdisent aux organisations criminelles d’exercer leurs activités dans les limites de la ville de Muenster, et (6) interdisent le transport et l’élimination des restes d’enfants à naître, tués lors d’un avortement volontaire, par des fournisseurs d’avortement, en dehors de l’État du Texas.

Étant donné que l’ordonnance de Muenster interdit le trafic d’avortements en déclarant illégal « le fait pour toute personne de transporter sciemment un individu dans le but de fournir ou d’obtenir un avortement volontaire, quel que soit l’endroit où l’avortement volontaire aura lieu », cela signifie qu’il est désormais illégal pour quiconque d’utiliser le tronçon de l’autoroute 82 et toutes les autres routes de la ville de Muenster à des fins de trafic d’avortements. Cela signifie également que les entreprises texanes ne peuvent pas utiliser le tronçon de l’autoroute 82 situé dans la ville de Muenster pour transférer les restes d’enfants à naître des avorteurs d’autres États vers des installations de gestion des déchets situées dans l’État du Texas.

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Le Sénat de Louisiane adopte à l’unanimité un projet de loi pour contrer l’avortement forcé par pilule

Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : KFPZZZ/Adobe Stock

18 avril 2024, Bâton-Rouge, Louisiane (LifeSiteNews) — Le Sénat de Louisiane a adopté à l’unanimité mardi une loi visant à criminaliser le fait de donner à une femme enceinte des médicaments provoquant l’avortement à son insu ou sans son consentement — loi motivée par l’épreuve personnelle de la propre sœur du principal auteur de la loi.

L’avortement est généralement illégal dans l’État du Bayou, mais le SB 276 créerait un nouveau délit d’« avortement criminel forcé par des moyens frauduleux », défini comme « l’utilisation ou la tentative d’utilisation, en connaissance de cause et intentionnellement, d’un médicament provoquant l’avortement sur une femme enceinte, à son insu ou sans son consentement, dans le but de provoquer un avortement ». Les contrevenants seraient passibles d’une peine minimale de 10 ans de prison et d’une amende minimale de 50 000 dollars.

Selon le Shreveport Times, le projet de loi a été présenté par le sénateur républicain Thomas Pressly, motivé par l’épreuve vécue par sa sœur, Catherine Pressly Herring. En février, son mari de l’époque, Mason Herring, a plaidé coupable d’avoir versé des pilules abortives dans l’eau qu’elle buvait, ce qui l’a rendue gravement malade. Sa petite fille, Josephine, a été sauvée grâce au processus de neutralisation de la pilule abortive, mais elle souffre toujours de complications liées à sa naissance prématurée.

La situation s’est produite au Texas, où Mason Herring n’a été condamné qu’à une peine de six mois de prison, ce que Catherine et son frère espèrent empêcher de se reproduire en Louisiane.

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Une députée finlandaise en procès pour la troisième fois pour avoir partagé des versets de la Bible sur l’homosexualité


Päivi Räsänen.

LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : ADF International

19 avril 2024, Helsinki (Alliance Defending Freedom) — L’ancienne ministre et députée finlandaise Päivi Räsänen sera jugée une troisième fois pour son tweet sur un verset de la Bible, comme l’a confirmé aujourd’hui la Cour suprême de Finlande.

Le procureur général a porté la cause en appel, bien que la grand-mère chrétienne de 11 enfants ait été acquittée à l’unanimité des accusations d’« incitation à la haine » devant le tribunal de district d’Helsinki et la Cour d’appel. La Cour suprême a accepté d’examiner ce recours à une date qui sera fixée ultérieurement.

Mme Räsänen, qui a été ministre de l’Intérieur de la Finlande, est accusée d’avoir partagé ses opinions religieuses sur le mariage et l’éthique sexuelle, dans un tweet publié en 2019 et dans une brochure imprimée en 2004 qu’elle a rédigée pour son église et qui est centrée sur le texte biblique : « Homme et femme, il les créa ».

Le procureur n’a pas fait appel d’un troisième chef d’accusation fondé sur son apparition lors d’une émission de radio, ce qui rend définitif l’acquittement de la Cour d’appel pour ce chef d’accusation. Seuls les deux autres chefs d’accusation font l’objet de ce dernier appel.

La cause de la députée sera à nouveau entendue en même temps que celle de l’évêque luthérien Juhana Pohjola, accusé d’avoir publié le pamphlet de Mme Räsänen il y a vingt ans.

Leurs causes ont attiré l’attention des médias du monde entier, les experts en droits de l’homme s’inquiétant de la menace qui pèse sur la liberté d’expression en Finlande.

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Le gouverneur de l'Idaho signe des lois définissant le sexe comme masculin ou féminin et interdisant le « langage de genre » dans l'administration et les écoles


Brad Little, gouverneur d'Idaho.

Par Louis Knuffke — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Lt Governor Brad Little/Flickr

11 avril 2024, Bosie, Idaho (LifeSiteNews) — Le gouverneur de l'Idaho, Brad Little, a signé cette semaine deux projets de loi visant à contrer directement l'idéologie transgenre au sein de l'État. Le premier est une loi sur les pronoms obligeant les employés du gouvernement et les enseignants des écoles publiques à utiliser les pronoms qui correspondent au sexe biologique d'une personne. Le second est une définition légale du sexe qui reconnaît que « chez les êtres humains, il y a deux et seulement deux sexes : l’homme et la femme ».

Le lundi 8 avril, Little a signé la loi HB 538, qui interdit le langage obligatoire dit « de genre », protégeant ainsi les fonctionnaires et les enseignants des écoles publiques en particulier de toute mesure défavorable pour avoir utilisé les pronoms d'une personne en accord avec son sexe biologique.

La nouvelle loi stipule que « la législature constate qu'en dépit de la position claire de la Cour suprême des États-Unis selon laquelle le discours forcé est contraire à la Constitution, les acteurs gouvernementaux de l'État de l'Idaho et des États-Unis dans leur ensemble ne protègent pas vigoureusement la population contre ce discours forcé ».

Les acteurs gouvernementaux de l'État exercent des pressions croissantes pour obliger les fonctionnaires, ainsi que les élèves des écoles publiques, à communiquer avec certains titres et pronoms personnels préférés que beaucoup de ces employés et élèves préfèrent ne pas utiliser. Plus précisément, il s'agit d'imposer l'utilisation de titres et de pronoms personnels préférés qui ne correspondent pas au sexe biologique de la personne souhaitant être désignée par ces titres personnels préférés.

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La « mort cérébrale » est un sophisme utilisé pour soutenir l’industrie du prélèvement d’organes

Par Heidi Klessig, M.D. — Traduit par Campagne Québec-Vie – Photo : Freepik

16 avril 2024 (LifeSiteNews) — En 1968, sans aucun test, étude ou preuve, les médecins ont commencé à déclarer certaines personnes comateuses « en état de mort cérébrale ». Ce diagnostic a toujours été controversé, car depuis sa création, le concept de mort cérébrale ne repose sur aucune base factuelle claire. En 2023, « en raison du manque de preuves de haute qualité sur le sujet », l’American Academy of Neurology (AAN) a en fait eu recours à un vote à la majorité, et non à la méthode scientifique, pour déterminer sa nouvelle directive sur le diagnostic de mort cérébrale.

Le Dr D. Alan Shewmon, neurologue de renommée mondiale et ancien partisan de la mort cérébrale en tant que mort, n’a pas été invité à voter. Il s’oppose désormais au dogme de la mort cérébrale pour des raisons scientifiques et a récemment publié un article sur le fait que la nouvelle directive de l’AAN a été rédigée sans aucun débat sur le concept fondamental qui sous-tend la mort cérébrale :

Nous, les cliniciens, ne sommes généralement pas très au fait de la philosophie. Nous nous contentons généralement de cocher les éléments d’un algorithme de diagnostic promulgué par un comité de consensus et de passer au patient suivant. Que la vie humaine soit mieux comprise en termes de thermodynamique et d’émergence biologique, ou en termes d’esprit cartésien, ou en termes de travail vital — c’est une question sur laquelle les neurologues n’ont pas le monopole de l’expertise.

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La Cour de justice de l’Ontario déclare que les participants doivent indiquer leurs « pronoms préférés »

Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : vecstock/Freepik

18 avril 2024, Toronto (LifeSiteNews) — Prêtant allégeance à l’idéologie du genre, la Cour de justice de l’Ontario exige maintenant que tous les participants au tribunal indiquent leurs « pronoms préférés » avant le début de chaque cause.

Le 11 avril, Sharon Nicklas, juge en chef de la Cour de justice de l’Ontario, a annoncé que tous les avocats, clients et témoins présents dans la salle d’audience devaient indiquer leurs « pronoms préférés » au début de chaque cause — une décision qui s’aligne sur l’idéologie radicale du genre puisqu’elle implique qu’un homme doit être appelé « Mme » et « elle » s’il en fait la demande.

« Au début de toute audience en personne, virtuelle ou hybride, lorsque les avocats se présentent, présentent leur client, un témoin ou une autre personne, ils doivent fournir au juge ou au juge de paix le nom de chaque personne, son titre (par exemple, M., Mme, Mx, l’avocat “X”) et les pronoms à utiliser lors de l’audience », a écrit Mme Nicklas.

« Si l’avocat ne fournit pas ces informations dans son introduction, il peut être invité par un greffier à le faire », a-t-elle poursuivi.

« Au début de chaque session du tribunal, la Division des services judiciaires a demandé aux greffiers d’annoncer que les parties comparaissant devant le tribunal sont invitées à fournir leur titre et leurs pronoms au tribunal », a-t-elle conclu.

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Le gouvernement français menace un prêtre pour avoir appelé sur Instagram à lutter contre les tentations homosexuelles


Le Père Mattieu Raffray.

Par Jeanne Smits — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :

16 avril 2024, Paris (LifeSiteNews) — Trois semaines après avoir été menacé de poursuites pénales en raison d’une vidéo qu’il a postée sur internet sur le thème de la maîtrise de soi, Matthieu Raffray, un prêtre français membre de l’Institut traditionnel du Bon Pasteur, n’a toujours pas reçu de nouvelles des autorités judiciaires en France. La menace est venue de la ministre française responsable de « l’égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations », Aurore Bergé, suite aux propos du prêtre catholique sur nos « faiblesses », parmi lesquelles il a cité l’homosexualité. Le père Raffray, qui s’est entretenu avec LifeSite dimanche, a déclaré qu’il maintenait ses propos et qu’il les assumait « pleinement ».

La courte vidéo, dans laquelle le père Raffray parle de la résistance aux différentes tentations, a été postée le 15 mars sur Instagram. Elle parle de la capacité de l’homme à lutter contre des faiblesses personnelles telles que la « gourmandise », la « colère » et les « tendances homosexuelles », mentionnant tous les « vices » (tendances à commettre des péchés particuliers) et les « péchés » qui « peuvent se retrouver dans l’humanité », en suivant les catégories morales de l’Église catholique. Il a ajouté que le diable essaiera toujours de faire croire aux pécheurs qu’ils n’ont pas la capacité de s’abstenir d’actes pécheurs, les incitant à abandonner le combat spirituel.

La vidéo Instagram avait un thème religieux clair, souligné par le fait que le père Raffray portait une soutane et un col clérical tout en parlant en tant que prêtre d’une variété de péchés.

Il n’a utilisé les mots « homosexuel » et « tendance à l’homosexualité » qu’incidemment, tout en décrivant d’autres types de faiblesses, mais cela a suffi à déclencher un rapport sur Instagram, peut-être par un spectateur militant homosexuel. Il est intéressant de noter que la vidéo n’a pas été supprimée par Instagram, ce qui signifie qu’elle a été considérée comme n’ayant pas enfreint le code d’utilisation du média social.

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