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49 enfants sauvés aux 40 Jours pour la Vie!

Sur le site de Riposte Catholique du 3 octobre 2013 :

(Partout à travers le monde, les 40 Jours pour la Vie. Ici, en Floride)

 

Au huitième jour de la campagne d’automne des 40 Days for Life, la coordination de cette campagne peut annoncer que 49 enfants à naître ont déjà été sauvés de l’avortement grâce aux prières qui convertissement les cœurs et au travail des “conseillers de trottoir”. Chacun peut soutenir par la prière ce formidable mouvement américain de défense de la vie à naître, lancé par des catholiques et devenu “œcuménique” dans sa composition. (...)

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Des partenaires de même sexe se séparent et se partagent les jumeaux qu'ils se sont fait fabriquer...

Sur le site de 24hactu.com du 27 septembre 2013 (via Famille Chrétienne) :

 

(David Tutera et son ancien partenaire se sont partagés des jumeaux...)

 

(...)
 
David Tutera, une célébrité hollywoodienne de seconde zone et son mari Ryan Jurica ont annoncé en début d’année leur divorce après plus de dix ans de mariage, et alors que le couple attendait des jumeaux par « surogate » comme la loi californienne le leur permet. En clair, les deux hommes ont fertilisé deux ovules d’une femme tandis qu’une autre a loué son ventre pendant neuf mois pour le plaisir de ces petits Frankenstein.
 
Là où l’histoire se complique (ou se simplifie), c’est que chacun de ces messieurs est le père biologique de l’un des enfants (qui ont chacun in fine quatre parents) et qu’à l’heure du divorce personne ne souhaite se faire de cadeaux. Les deux anciens maris ont donc décidé à l’amiable d’un partage à la Salomon des nouveaux-nés.
David Tutera récupère donc « sa » fille Cielo tandis que le petit Cedric grandira avec son papa biologique Ryan Jurica. Ironique quand même quand on prône le mariage homosexuel et l’homoparentalité au nom d’une abolition des lois naturelles. Ces dernières reviennent au galop un peu facilement quand il s’agit de justifier l’injustifiable : séparer des jumeaux à la naissance.
(...)
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Récit d'un avortement forcé : un terrible témoignage

Sur le site de forum.doctissimo.fr du 2 octobre 2013, ce témoignage d'une femme qu'on a obligée à avorter:

 

 

 

 

Bonjour, c'est mon premier sujet sur le forum donc je me présente. Je m'appelle Claire, j'ai 18 ans.
 
Le 31 juillet je me suis aperçu que j'étais enceinte après un retard de règle. J'étais heureuse, mais mon copain ne l'accepter pas. Il a changer d'avis et nous étions content. Je l'avais annoncer à ma mère, elle le prenait bien au début puis 2 semaines après elle ma mis à la rue après une dispute. Elle à mis au courant une amie de la mère de mon copain, qui ma ensuite appeler pour me dire qu'elle venait me voir à la maternité ( J'étais parties au planning pour avoir de l'aide, mais il était fermer donc je aller à la maternité ). Elle est arrivée, ma demander ce que je compter faire. Evidamment je lui est dit que je ne savais pas, vue que je savais qu'elle aller me faire tout un serment sur le fait d'avoir un enfant à mon âge. Elle ma dit de téléphoner à mon copain pour savoir ce qu'il voulait vraiment et il ma dit qu'il ne voulait plus du bébé. J'étais détruite, je lui en voulais terriblement !
Arriver dans la maternité on ma fait une echographie vaginal ( Je n'étais qu'à 6SA ) pour vérifier si il y avait bien une grossesse. Les parents de mon copain étant en vacance, mon copain a du les mettre au courant pour que je viennes chez lui. Le décisions était clair : TU AVORTES Je n'osais rien leurs dire, à leur retour j'ai laisser faire les choses. J'ai fais semblant de vouloir avorter pour ne pas être à la rue, et la mère de mon copain ne me laisser pas mon mot à dire. A chaque rendez vous elle voulait être dans la pièce. La personne qui s'occuper de moi a voulu que je fasse un avortement par aspiration moins 'tromatissant' qu'une fausse couche. J'ai laisser faire les demarches, ma belle mère regarder sans cesse les papiers, me disant de les remplir ect. Je l'ai fait, en me disant dans ma tête ' Ne t'inquiète pas, tu les prendras pas ses putains de cachets et tout ira bien pour le bébé'. Je me disputer avec mon copain assez régulièrement pour le garder, en vin.. Arriver la veille, 22h00 sa mère m'appelle pour mes cachets. J'ai fait semblant de les prendre et je me suis vite retourner pour monter en haut et les recrachet. Mon copain ma vite rattraper et j'ai cracher les cachets par terre. Ils m'ont remit les cachets dans un verre, je pleurer. Elle me sortait tout un serment 'ON ne peut pas le garder, on a pas les moyens, regardes t'as pas de situations, t'as rien' alors que s'était faux. J'ai de l'argents de côtés et ma mère aillant reprit de mes nouvelles voulait que je gardes le bébé. Je ne pouvais pas partir de chez mon copain comme il habite assez loin de chez moi et je n'ai pas de voiture et plus d'argent pour payer le train. Le matin je suis aller au planning. Au moment de reprendre les cachets je n'ai rien dit comme mon copain était dans la pièce avec moi et que j'avais peur qu'il aie le dire à sa mère. Que on me vire du planning car je ne voulais pas avorter...
 
On ma enmener au bloc, je pleurer et les medecins on dit que s'était juste l'appréhension. J'ai fait signe que non et ils m'ont endormi. Je me suis réveiller, j'ai senti du sang couler et j'ai vérifier ( désolé du moment grade ) j'ai commencer à pleurer en demandant qu'on me rende mon bébé, la femme me disait de me calmer car j'augmenter ma tension. J'ai essayer de me lever mais j'étais trop sonner et je n'avais pas de force. Quand ils ont vue que je n'arrêter pas d'appeler mon bébé et d'hurler dans la salle de réveille ils m'ont remit dans ma chambre et m'ont envoyer la psy ( celle qui s'occuper de moi pour les papiers ect ) et elle ma dit qu'elle avait bien vue que je ne voulais pas avorter, elle ma demander pourquoi je n'avais rien dit..
 
Cela fait 1 mois que j'ai avorter, je me sens détruite, je m'en veux, j'en veux à mon copain et à sa mère. Mon copain veut refaire un bébé en Juillet, mais moi je ne veux pas attendre. Le miens me manque tellement, je me sens si vide, si détruite. Je sais que je suis jeune, mais j'ai assez d'argent pour élever un enfant. Mon copain commence à travailler en Juillet prochain..
 
J'envie d'enlever mon sterilet ( Suite à l'avortement on m'en a mis un ) pour essayer de faire un bébé, sans le dire à mon copain. Je sais que c'est dégueulasse de faire ça, mais lui ce qu'il ma fait et tout autant dégueulasse...Bien sur j'ai pensé à mon petit bout, mais peut-être que mon copain restera si il fait enfin face à sa mère...
 
J'ai besoins d'avis, je ne sais plus quoi faire. Je pètes les plombs sans mon petit bout...
 
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Des médecins «pro-choix» témoignent de la souffrance psychologique des femmes ayant avorté

Sur le site du journal Libération du 9 mars 2012, cet article des gynécologues Israël Nisand et Brigitte Letombe, et de la psychanaliste Sophie Marinopoulos  :

 

(Sophie Marinopoulos, Israël Nisand)

 

 

 

(...)
 
Défenseurs dès la première heure de l’accès à l’interruption volontaire de grossesse et de la qualité de sa réalisation dans les hôpitaux, nous ne pouvons pas laisser dire que les femmes qui y ont recours ne sont pas marquées, d’une façon ou d’une autre, par cette expérience. Nous voyons chaque jour dans nos consultations des femmes qui nous disent leur souffrance psychologique et leur mal-être parfois de nombreuses années après, alors qu’elles auraient pu «cocher» lors d’un sondage que «tout allait bien». La souffrance ne se coche pas, elle se parle ! Sauf à ne considérer les femmes que dans le registre physique, sauf à omettre leur vie psychique, on ne peut pas écrire que l’accouchement présente un plus grand risque que l’IVG.
 
Cette posture, qui date de la médicalisation de l’IVG en France, revient à dire que l’avortement n’a aucune conséquence dans la vie d’une femme. Certes elles ne meurent plus ; certes les cases à cocher ne montrent plus de complications, mais tous les cliniciens qui rencontrent des femmes savent qu’il s’agit là d’un vrai négationnisme : il s’agit de dénier le fait qu’une IVG peut marquer douloureusement une vie. Nous n’avons jamais rencontré de femmes pour qui l’avortement a constitué «un événement fondateur de leur vie d’adulte» et nous ne voyons pas quelle étude statistique permet d’affirmer cette énormité.
(...)
A une époque où tout se mesure, tout s’évalue, et où tout doit être rentable, nous proposons de ne plus ignorer les difficultés psychiques des femmes qui ont subi une IVG et de tout faire pour prévenir cet événement d’autant plus indésirable qu’il se produit tôt dans la vie des femmes, épargnant toujours les garçons si peu initiés à leur vraie responsabilité.

Des femmes meurent toujours dans des cliniques d'avortement, mais il ne faut pas trop demander à des médecins qui pratiquent l'avortement. C'est déjà bien qu'ils reconnaissent les souffrances indicibles des femmes ayant avorté...

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Les Belges se prononcent pour autoriser l'euthanasie des enfants et des personnes démentes

Sur le site du journal La Presse du 2 octobre 2013 :

 

(Quelles seront les prochaines étapes?)

 

 

Trois quarts des Belges sont favorables à une extension de la loi autorisant l'euthanasie aux mineurs et aux personnes souffrant de démence de type Alzheimer, révèle un sondage publié mercredi.
 
La loi belge de 2002 autorisant l'euthanasie dans certaines conditions ne s'applique actuellement qu'aux personnes de plus de 18 ans et disposant de toutes leurs facultés mentales. Le royaume a enregistré, en 2012, 1432 euthanasies, ce qui représente 2 % des décès.
 
Lundi, un Belge âgé de 44 ans a été euthanasié après une opération de changement de sexe qui avait échoué, son médecin ayant estimé que ses souffrances psychiques étaient devenues «insupportables». Cette affaire a mis en avant les cas de souffrance psychologique, qui ont débouché sur 52 euthanasies d'adultes l'an dernier.
 
Mais des cas dramatiques d'enfants gravement malades ou de personnes souffrant de démence ont poussé des parlementaires à examiner la possibilité d'étendre la loi aux mineurs «capables de discernement» et aux personnes atteintes de démence.
 
Une majorité de partis s'est même dégagée en faveur d'une telle modification, mais l'adoption du texte est freinée par l'opposition des formations chrétiennes-démocrates et centristes membres de la coalition gouvernementale. Il n'est pas certain qu'il sera voté avant la fin de la législature au printemps prochain.
 
(...)
 
Concernant les enfants, la question posée diffère du texte en préparation au Parlement, puisqu'elle évoquait le cas de mineurs qui ne «seraient plus en état de donner leur consentement», par exemple parce qu'étant plongés dans le coma.
 
(...)
 
Soixante-dix-neuf sondés sur cent sont également favorables (43 % «tout à fait» et 36 % «plutôt») à autoriser l'euthanasie pour les adultes souffrant de démence de type Alzheimer qui ne seraient plus en état de la réclamer.
 
(...)
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Un avorteur remet ses instruments de «travail» au pape...

Sur le site de Belgicatho du 30 septembre 2013  (via le Salon Beige)  :

 

(Le Dr Antionio Oriente, ancien avorteur, maintenant défenseur des enfants à naître)

 

 

Il s'est approché du pape avec une petite mallette dont l'aspect était un peu inquiétant. A l'intérieur, il y avait une demi-douzaine d'instruments chirurgicaux, outils et pinces de diverses formes et tailles – que lui, le Docteur Antonio Oriente de Messina, ancien gynécologue avorteur, voulait remettre à tout prix à Bergoglio. Ce bagage qui lui avait déjà occasionné un grand nombre de problèmes lors de l'embarquement dans l'avion à Palerme, a été le protagoniste dans la Salle Clémentine du Vatican d'un épisode imprévu de valeur symbolique inhabituelle. A l'intérieur se trouvaient les instruments avec lesquels, jusqu'en 1986, le Docteur Orient avait brisé des vies avant qu'elles n'éclosent. Avant sa conversion, avant d'embrasser avec conviction et courage la route de la vie, ces instruments ont été entreposés pendant près de trente ans comme un signe concret du mal qu'ils avaient provoqué, d'un passé contre lequel il se bat maintenant. Il a voulu les laisser au Pape et, grâce à une bonne dose d'audace et de chance, il y a réussi, grâce aussi à l""intercession" de quelques prêtres et d'un membre du service d'ordre.
 
(...) Oriente est vice-président de l'Association nationale des gynécologues et obstétriciens catholiques italiens et sa rencontre avec le pape a eu lieu le 20 septembre dernier, lors de l'audience avec des délégués des gynécologues catholiques de diverses associations. Bergoglio, dans son discours aux participants, a dénoncé la "mentalité généralisée du profit, la "culture du rejet" qui asservit aujourd'hui tant de coeurs et d'intelligences et qui incite à éliminer des êtres humains, en particulier s'ils sont physiquement ou socialement plus faibles". Puis il avait confié aux médecins catholiques la mission d'être « témoins et propagateurs de la "culture de la vie" ».
 
(...)
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Selon l'organisme Toujours Vivant, l'euthanasie est discriminatoire

Sur le site de newswire.ca du 1er octobre 2013 :

(...) TVNDY dira que le projet de loi 52, qui permettrait aux « personnes en fin de la vie » d'être euthanasiées sur demande, est discriminatoire contre les personnes en situation de handicap.
 
(...)
 
« Le projet de loi 52 ne touchera que les personnes avec déficiences, qu'elles aient une maladie en phase terminale ou non."
 
Madame Hasbrouck dit que lorsque les personnes handicapées n'ont pas accès à un logement, à l'emploi, aux soins de santé et au vote, leurs droits à l'égalité sont violés et ils se voient refuser une gamme complète de choix de vie. « Comment est-ce que quelqu'un peut faire un choix « libre et éclairé » de mourir quand ils n'a pas de choix où et comment vivre ?»
 
Toujours Vivant-Not Dead Yet est un projet du Conseil des Canadiens avec déficiences lancé en janvier 2013 pour unifier, informer et donner la parole aux personnes en situation de handicap qui s'opposent à l'euthanasie et au suicide assisté. TVNDY est un organisme progressiste, non religieux qui concentre les efforts du comité d'éthique de fin de vie du CCD.
 
SOURCE Toujours Vivant - Not Dead Yet
 
 Renseignements :
Christian Debray (450-370-8195)
Amy E. Hasbrouck (450-921-3057)
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Cris hystériques du Femen à l'Assemblée Nationale à Québec

Sur le site du journal La Presse du 1er octobre 2013 :

(Manipulée, des adolescentes en mal de sensations fortes...)

 

 

(Québec) L'interrogatoire économique des libéraux à la période de questions a été perturbé par des femens. Deux jeunes femmes ont enlevé leur chandail et se sont mis à crier: «crucifix, décalisse!». Ces mots étaient aussi écrits en noir en majuscules sur leur torse. Elles ont scandé leur slogan pendant quelques secondes, avant que les constables spéciaux ne les maîtrisent.
 
Une troisième jeune femme assise à leurs côtés les a ensuite imités. 
 
Leurs cris ont retenti pendant une vingtaine de secondes avant qu'on ne les sorte du salon bleu. À l'extérieur du salon, dans le corridor, elles ont continué de crier pendant que plusieurs agents essayaient de leur faire enfiler un veston et de les maîtriser.
(...) 
Le groupe s'y décrit ainsi: «FEMEN se conçoit à cinquante pour cent comme une organisation féministe, et à cinquante pour cent comme un groupe d'actionnistes. Le but est de toujours créer des actions inédites tant par leur contenu que par leur forme. C'est toujours un mélange subversif de politique, de sexe, de scandale, d'agression et d'art que l'on peut appeler féminisme pop. Il s'agit de raviver à la fois la scène politique et la scène artistique.»

La christianophobie est bien présente au Québec. On le voit avec ces églises vandalisées, le peu de cas que font nos médias des chrétiens persécutés à travers le monde, les railleries sur les ondes radio (Dutrisac) et à la télévision. Comme il est courageux d'attaquer des gens qui ont pour précepte d'aimer leurs ennemis et de vouloir du bien à ceux qui les haissent...

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L'euthanasie sans consentement du patient fait partie de la routine en Hollande...

Sur le site de Nouvelles de France du 28 septembre 2013 :

(Une progression constante du nombre d'euthanasie en Hollande)

 

(...)
 
Sur les près de 4 200 cas déclarés l’année dernière, 13 ont concerné des patients souffrant de maladies mentales et 49 des personnes âgées atteintes de démence. En fait, dans 40-60 % des cas, « l’euthanasie » serait réalisée sur des patients qui n’ont pas demandé à mourir. Officiellement, les Pays-Bas n’autorisent l’euthanasie que pour les patients souffrant d’une maladie incurable et de douleurs difficilement supportables et qui réclament en toute conscience une euthanasie. L’euthanasie des mineurs est elle aussi autorisée, mais l’accord des parents est indispensable jusqu’à 16 ans. Certains services pédiatriques pratiquent même l’euthanasie sur les nouveau-nés. Pour faciliter l’accès à l’euthanasie, des équipes mobiles ont aussi été créées afin de fournir ce type de prestations au domicile des malades. L’association néerlandaise pour l’euthanasie volontaire NVVE a même créé une « clinique » spéciale pour tuer les patients souhaitant se suicider mais à qui l’euthanasie a été refusée.
 
Mais outre les cas déclarés, de nombreux cas de sédation terminale ne sont rien d’autre qu’une euthanasie lente puisqu’il s’agit de priver le patient de nourriture et de boissons jusqu’à ce que mort s’ensuive tout en lui appliquant des drogues à forte dose pour limiter les souffrances endurées. Ce type d’euthanasie est considérée en Hollande comme une forme de soins palliatifs sans obligation de déclaration et elle concernerait environ 10 000 personnes chaque année. Toutes ces personnes ne sont pas conscientes quand la décision de mettre fin à leurs jours est prise par les médecins et leur famille, ou parfois même sans leur famille.
 
Dès les années 90, le docteur Zbigniew Zylicz, médecin polonais installé en Hollande où il a été le pionnier des centres de soins palliatifs, sonnait l’alarme face à la dérive en cours. Il accusait les médecins néerlandais de ne plus savoir comment soulager les souffrances autrement que par l’euthanasie lorsqu’ils ont à soigner des patients en phase terminale. Dans son livre Seduced by Death. Doctors, Patients and Assisted Suicide publié en 1997, le docteur Herbert Hendin dénonçait le fait que les douleurs incontrôlables étaient citées par les médecins comme la cause principale dans seulement 30 % des euthanasies pratiquées. Dans 70 % des cas, les médecins tuaient leurs patients pour d’autres raisons allant d’une mauvaise qualité de vie à la survie du patient malgré l’interruption de tous les traitements. Le docteur Zylicz, cité ici, a découvert en interrogeant une famille demandant l’euthanasie d’un père en phase terminale mais que l’hôpital avait décidé de laisser sortir pour qu’il puisse finir ses jours chez lui, que les enfants ne voulaient surtout pas que le vieillard s’aperçoive que ses meubles avaient déjà été déménagés… Une autre fois, le docteur Zylicz, cité ici, avait ajusté le traitement d’une femme en phase terminale d’un cancer du sein pour la soulager de ses douleurs. Malgré le refus par cette femme de toute idée d’euthanasie, quand le docteur Zylicz est revenu prendre son service le lendemain il s’est aperçu qu’un autre médecin avait mis fin à la vie de sa patiente sans son consentement. Le médecin tueur a expliqué au docteur Zylicz qu’il avait agi de la sorte « parce que [la patiente] ne mourait pas assez vite et qu’il avait besoin de son lit pour un autre patient ».
 
(...)
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À voir, l'intervention du Dr Beauchamp et de Maître Racicot à la consultation publique sur le projet de loi 52 (euthanasie)

Sur le site de pour une école libre du 29 septembre 2013, on peut trouver une indication des plages les plus marquantes de cette vidéo, à voir absolument :

//player.vimeo.com/video/75496173

Audition de Vivre dans la Dignité à l'Assemblée nationale from Scolaris Legisperitus on Vimeo.

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