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En plus des 40 jours pour la vie qui ont sauvé déjà 132 bébés, il y a des manifestations pro-vie à Québec et Montréal

Sur le site du Journal de Québec du 7 octobre 2013 :

 

 

 

 

 

 

Pro-Vie Québec a tenu sa manifestation annuelle anti-avortement dimanche, devant le Centre hospitalier de l’Université Laval.

Les représentants de l’organisme étaient présents avec des affiches contenant des messages «pro-vie», tels que «L’avortement tue les enfants» et «La vie : le premier droit inaliénable». Pro-Vie Québec se réunit chaque premier dimanche d’octobre à cet endroit pour militer contre l’avortement. (...)

Une manifestation semblable se déroulait également à Montréal, intitulée la Chaîne de la Vie.

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Détails sur une usine à bébés indienne...

Sur le site de sud-ouest.fr du 5 octobre 2013 :

 

 

Autorisée depuis 2002 en Inde, la gestation pour autrui est devenue une gigantesque industrie et attire de plus en plus de convoitises.

La gestation pour autrui et le recours aux mères porteuses sont encore beaucoup discutés en France, mais certains pays du monde sont déjà passés à la vitesse supérieure. En Inde, une immense clinique est en train de sortir de terre à Anand, dans la province du Gurajat, sous l'impulsion de Nayna Patel, une femme médecin, spécialiste de la fécondation in vitro, formée à Singapour, en Angleterre et en Corée du Sud. L'établissement abritera des centaines de mères porteuses qui aideront des couples occidentaux infertiles à concevoir un enfant.
 
Selon BBC news, le marché indien de la gestation pour autrui est estimé à plus d'un milliard de dollars par an, dans un pays où un tiers de la population vit avec moins de 0,6 dollar par jour. Pour porter un enfant, une femme pourra espérer toucher jusqu'à 8000 dollars.

(...)

 
Le médecin reçoit énormément de demandes, et a établi des critères de sélection stricts. "Les femmes doivent avoir moins de 45 ans, être en bonne santé et avoir déjà eu au moins un enfant, pour éviter qu'elles ne s'attachent au bébé" explique-t-elle dans un reportage de la National Geographic Channel.
 

Nayna Patel demande tout de même 28 000 dollars aux parents souhaitant concevoir un enfant, une marge plus que confortable mais toujours inférieure aux tarifs pratiqués aux Etats-Unis.
 
(...)

 
Depuis le début du projet, Nayna Patel aurait déjà accompagné la naissance de plus de 500 bébés. Les couples viennent de partout : Angleterre, Allemagne, Canada, et beaucoup des Etats-Unis, occultant les dérives du système par le bonheur d'être enfin parents.
 
(...)

 
Mais voir de riches étrangers payer des Indiennes pauvres pour avoir un enfant soulève des questions éthiques chez beaucoup d'Indiens. Interrogée par l'Express, l'association pour le droit des femmes All India Democratic Women's s'inquiète de "la pratique même de la gestation pour autrui dans un pays où les femmes n'ont pas de ressources financières".
 
Après l'interdiction du recours aux mères porteuses pour les célibataires et couples gays en début d'année, le gouvernement indien pourrait de nouveau opérer des régulations dans les mois à venir.
 

 

 

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Une aveugle se suicide en Hollande, avec la bénédiction de la loi...

Sur le blog de Jeanne Smits du 7 octobre 2013 :

 

 

 

 

 

Le quotidien néerlandais Trouw rapporte cette double information : l'an dernier, aux Pays-Bas, une femme de 70 ans a bénéficié d'une assistance au suicide parce qu'elle était devenue aveugle et ne le supportait pas, et – deuxième fait remarquable – l'acte vient d'être évalué comme conforme à la loi. Exceptionnellement, les cinq commissions régionales d'évaluation se sont toutes penchées sur le cas jugé inhabituel. Elles l'ont toutes approuvé.
 

La victime était malvoyante de naissance. Ces dernières années sa vision avait été réduite à néant et elle manifestait depuis huit ans le désir de mourir, aggravé par la mort de son mari et par le fait qu'elle vivait seule. Elle ne souffrait d'aucune autre maladie ou affection. Elle avait fait plusieurs tentatives de suicide et avait essayé de cesser de boire et de manger, sans parvenir à « tenir bon » assez longtemps pour mourir.
 

(...) « Ainsi elle était très soignée et elle trouvait cela épouvantable de ne pas pouvoir voir les éventuelles taches sur ses vêtements. Acheter des vêtements, une activité qui lui avait procuré tant de plaisir, était devenu une corvée insupportable. » 

Vous avez bien lu : c'est pour des questions d'apparence que cette femme s'est fait supprimer. Et une incroyable dose d'amour-propre : elle ne voulait pas être en maison de soins et elle refusait d'avoir un chien guide d'aveugle  « Je veux bien sortir le chien, disait-elle ; je ne veux pas qu'il me sorte. »
 

Etait-elle dépressive ? Un psychiatre l'a entendue et, bien qu'elle pleurait tous les jours, a décidé que non.
 

Et ce sont d'autre médecins : Mme Bruin et les responsables de la clinique de fin de vie, qui ont décidé qu'en effet sa souffrance – psychique en l'occurrence – était insupportable et sans perspectives, la condition nécessaire mais aussi suffisante pour qu'une personne en mesure d'exprimer sa volonté puisse réclamer une euthanasie ou une assistance au suicide. Dans cette décision « médicale » il y a aussi une part de subjectivité… Il n'a pas été question d'une interprétation plus large de la loi, assure Steven Pleiter, directeur de la clinique.
 

La patiente s'est donc suicidée l'an dernier, en présence de ses enfants et de Lia Bruin qui n'avait jamais assisté à une « fin de vie volontaire ». C'est elle qui lui a tendu le cocktail lytique. Bruin raconte qu'elle n'a jamais vu personne boire avec autant d'avidité une mixture aussi infecte.
 

Commentaire de la clinique de fin de vie : on a peut-être évité un suicide inhumain.

Tous les suicides sont inhumains...

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Encore des avortements forcés en Chine...

Sur le site de 7sur7.be du 4 octobre 2013 :

 

(Liu Xinwen)

 

Un couple de Chinois témoigne du calvaire vécu vendredi dernier. Pour faire respecter la politique de l'enfant unique, la police a forcé une future mère enceinte de six mois à avorter.
Ce couple de jeunes Chinois a vécu un enfer vendredi dernier. Sur le coup de 4 heures du matin, 16 fonctionnaires de police ont débarqué chez eux pour forcer la jeune femme de 33 ans, enceinte de six mois, a avorté. La police a défoncé la porte de l'habitation du couple et Liu Xinwen a été transportée de force dans un hôpital de Frangzi dans la ville de Weifang. Elle y a reçu une dose de médicament destiné à tuer le bébé in utéro. Le bébé, un garçon, est mort le lendemain dans le ventre de la jeune femme. Il a fallu un jour de plus pour qu'il en sorte. 
 
Six jours après le drame, le couple a confié à Sky News "Je n'ai pas pu voir mon bébé. Mais je serais encore plus bouleversée si je l'avais vu."
 
Le couple, déja parent d'un garçon de dix ans, a été victime de la brutale politique de l'enfant unique en Chine. La loi est conçue pour maintenir la population du pays sous contrôle. Reste que si un couple conçoit un deuxième enfant, il est puni par des sanctions financières et non pas par un avortement forcé. Mais dans certaines provinces de Chine, certains responsables locaux font de l'excès de zèle. "Ils n'ont aucun humanité", confie la mère blessée. 
 
Le papa a pleuré en cachette quand il a appris que son enfant était mort. "Je ne voulais pas que ma femme me voit en larmes. Elle était si triste. Elle pleure jour et nuit. J'ai perdu mon enfant. Je suis sans voix, les mots ne peuvent pas décrire mes sentiments."
 
(...)

Pas un pays occidental ne dit mot...

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Excellente nouvelle : Ottawa ne financera pas l'élimination des enfants à naître à l'étranger

Sur le site du Journal Métro du 4 octobre 2013 :

 

 

(Pas d'argent canadien pour te détruire à l'étranger!)

 

 

OTTAWA – Le Canada ne financera pas l’avortement à l’étranger, même en cas de viol.
 
La semaine dernière, Ottawa a signé une déclaration internationale pour dénoncer le viol en temps de guerre. En même temps, le Canada faisait une sortie pour dénoncer les mariages forcés. Mais le ministre du Développement international, Christian Paradis, affirme que ces prises de position ne se traduiront pas en financement de services d’avortement pour les femmes victimes de viols ou de mariages forcés.
 
Le ministre Paradis prononçait un discours, vendredi matin, sur l’initiative de Muskoka, engagement pris au G8 de 2010 pour financer des projets améliorant la santé des mères, des nouveau-nés et des enfants dans les pays en développement.
 
Lors de l’annonce de cette initiative à laquelle Ottawa consacre 3 milliards $, le gouvernement Harper avait assuré qu’aucun de ces dollars ne servira à fournir des services d’avortement.
 
Aujourd’hui, M. Paradis se rapporte donc à cette initiative.
 
«Ça va probablement suivre la même logique que Muskoka. Je pense qu’on était clair sur ça», a-t-il expliqué après avoir dit que «non», Ottawa ne financerait pas des avortements pour les victimes de viols et de mariages forcés.
 
(...)
 
Selon lui, le Canada trouvera d’autres moyens pour aider les victimes de viol.
 
«Il y a sûrement d’autres mesures qui peuvent être prises et c’est là qu’il y a du travail en cours. Et on va évaluer, voir où est-ce qu’on peut venir en aide», a assuré le ministre.
 
(...)
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Brevet pour des bébés préparés sur mesure...

Sur le site de genethique.org du 4 octobre 2013 :

 

 

 

 

 

Le 24 septembre 2013, la société américaine 23andMe est parvenue "à faire breveter une méthode proposant aux parents de choisir certains traits spécifiques chez leurs enfants à naître" dans le cadre d'une procréation médicalement assistée. La méthode est la suivante: sélectionner des gamètes de donneurs en ayant recours à des calculs génétiques réalisés par ordinateur. 
 
A la suite de l'obtention de ce brevet, quatre auteurs européens (*) ont réagit en publiant un commentaire dans la revue Genetics in Medicine: "il est clair que sélectionner des enfants de la manière préconisée par la méthode brevetée par la société 23andMe est hautement discutable sur le plan éthique". Car concrètement, la méthode permet de sélectionner chez l'enfant, sa taille, son sexe, sa couleur des yeux, son développement musculaire, certains traits de sa personnalité ou encore le risque qu'il développe une dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA) ou certains types de cancers.
 
(...)
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L'euthanasie des mineurs sans leur consentement?

Sur le site de Pour une école libre du 3 octobre 2013 :

 

 

 

 

 

 

Sur la scène internationale, la Belgique a l’image d’un pays où l’on donne facilement la mort à ceux qui le demandent. L’euthanasie d’un transsexuel ne supportant pas son corps vient de défrayer la chronique. C’est dans ce contexte qu’est tombée hier une enquête montrant que les Belges sont massivement pour étendre le droit à l’euthanasie aux mineurs. Y compris sans leur consentement. Selon ce sondage commandé par la radio-télévision pu­blique fran­co­phone RTBF près de 90% des Belges sont « favorables » ou « plutôt favorables » à autoriser l’euthanasie pour les personnes souffrant de démences comme l’alzheimer. Et 75% pour les « mineurs incapables de donner leur consentement ». Par exemple des enfants ou ados plongés dans un coma prolongé ou un état végétatif. Le résultat a surpris y compris en Belgique. Car le pays s’apprête à « compléter » sa loi sur l’euthanasie datant de 2002. Les élus envisageaient d’inclure les mineurs « capables de discernement » et soutenus par leurs « représentants légaux » dans la loi. En envisageant les cas d’enfants atteints de cancers en phase terminale ou de très grands prématurés n’ayant plus aucune chance de survie. Mais ils n’avaient pas imaginé entrer en matière sur des mineurs dans l’incapacité de s’exprimer. D’autant que la loi belge est déjà une des plus libérales de la planète. Elle permet l’euthanasie active tandis que la Suisse n’autorise « que » le suicide assisté. Et admet que, si elle est «constante, insupportable et inapaisable» la « souffrance psychologique » est une raison suffisante pour une injection létale.  (...)

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Le gouvernement socialiste français veut censurer les informations sur l'avortement...

Sur le site de Valeurs Actuelles du 27 septembre 2013 :

(Najat Vallaud-Belkacem, ministre des « Droits des femmes »)

 

IVG. Najat Vallaud-Belkacem (photo) est en guerre : dans une lettre de saisine adressée le 5 avril dernier au Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes, la ministre des Droits des femmes s’inquiète du fait que des « sites Internet d’information biaisée voire hostile à la pratique de l’IVG » existent. 
 
(...) Pour mieux museler ses opposants, le PS préconise en réponse, dans un amendement déposé par des sénateurs socialistes, et adopté en première lecture, l’étendue du délit d’entrave à l’IVG : le seul acte d’« informer » est désormais passible de la même peine correctionnelle — deux ans de prison — que celui d’exercer des « pressions morales et psychologiques ».

Le gouvernement socialiste français est dictatorial. Ce n'est pas une exagération. Si un telle loi est concrétisée, combien de défenseurs des enfants à naître pourraient être mis en prison?

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Pourquoi se soucier du suicide si l'on permet l'euthanasie pour des « souffrances insupportables »....

Sur le site du journal La Croix du 2 octobre 2013 :

 

(Un article de Dominique Quino, du journal La Croix)

 

 

 

(...)
 
Encore une fois, c’est un cas particulier, tragique, une histoire personnelle douloureuse qui alimente le débat, ou plutôt le non-débat. Une personne de 44 ans souhaitant changer de sexe, dont l’opération s’est mal passée, a reçu une aide à mourir, ses souffrances psychiques étant jugées « insupportables ». Une majorité de Belges – plus des trois quarts – se déclarent favorables à l’euthanasie pour des personnes souffrant psychologiquement, pour des mineurs très malades « en âge de discernement » (qu’est-ce à dire ?) et pour des personnes en état de démence (Alzheimer par exemple), incapables d’exprimer leur volonté.
 
Pourquoi donc s’alarmer du nombre des suicides chez les jeunes ou les vieillards, s’ils sont reconnus comme un droit qu’il faudrait accompagner ? À quoi bon se battre pour mieux prendre en charge la fin de vie – par le soin et le soutien moral – si l’euthanasie est posée comme une alternative ? Comment respecter la dignité de personnes que la maladie ou le handicap prive de leur discernement, s’il devient légal de décider que la mort, pour eux, est une solution ? La loi belge ne devrait pas être modifiée avant la fin de la législature, mais dans les esprits, le pas est franchi. Alors que la France doit réexaminer sa loi sur la fin de vie, comment ne pas s’inquiéter d’une telle évolution, d’une telle banalisation, une fois qu’a été levé l’interdit de donner la mort ?

Et au Québec, qui prend la Belgique pour modèle?

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La charte des « valeurs québécoises » ne règlera rien, selon l'éditorialiste André Pratte

Sur le site du journal La Presse du 3 octobre 2013 :

(Dalida Awada, représentante de l'Islam modéré, ou marginale ne représentant pas la communauté arabo-musulmane du Québec?)

 

 

Les partisans de la «charte des valeurs québécoises» espèrent qu'une fois affirmées les balises aux accommodements raisonnables et exclus les signes ostentatoires de la fonction publique, le «problème» de la cohabitation de la majorité avec les minorités religieuses sera réglé. Ils se trompent lourdement.
 
(...)
 
Chez ceux-là, très nombreux dans toutes les démocraties occidentales, la vue de tout signe religieux, surtout le voile, provoque l'inconfort, l'irritation, voire la colère.
 
Cette partie de la population sera satisfaite seulement lorsque les signes religieux auront été bannis de l'espace public.( ...)
 
Dans un avis publié la semaine dernière, la Commission nationale consultative des droits de l'homme rappelle que «la séparation des églises et de l'État ne doit pas être comprise comme visant à l'éviction hors de l'espace public de toute manifestation d'une conviction religieuse». L'organisme met en garde le gouvernement français contre la tentation d'étendre encore l'interdiction des signes religieux: «Il faut se prévenir de toute construction d'une "nouvelle laïcité" plus restrictive qui risque d'enfermer toute expression de la liberté religieuse dans la stricte sphère intime, ce qui serait attentatoire aux libertés fondamentales.»
 
(...) Les accommodements religieux continueront de susciter périodiquement la controverse. Cela étant, comme on ne saurait aller plus loin sur la voie de la violation des droits fondamentaux que ce qui a été proposé cet automne, l'information, le dialogue et la patience restent de loin les approches les plus prometteuses pour aborder ces questions délicates.
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