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France : entrée de l’avortement dans la Constitution

Par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Photo : Really American/X

Une « standing ovation » a accueilli dans l’hémicycle géant du château de Versailles les résultats du vote des sénateurs et des députés en faveur de l’inscription de l’avortement dans la Constitution de la Ve République. Sur la place du Trocadéro, ce ne furent que hurlements de joie, cris, larmes, danses au rythme d’ABBA, pendant que les féministes pleuraient d’émotion et saluaient l’aboutissement de cinquante ans de « combat » depuis l’adoption de la loi Veil en décembre 1974. D’abord, le premier ministre Gabriel Attal l’a fait applaudir debout pendant près d’une minute par l’ensemble des parlementaires. A l’heure des résultats de vote : 780 votes « pour », seulement 72 contre et 50 abstentions, les illuminations de la Tour Eiffel ont commencé à scintiller et un panneau lumineux s’est affiché pour laisser défiler des messages en plusieurs langues : #MonCorpsMonChoix, #IVGConstitution. L’heure était à la liesse collective autour de cette « sacralisation » du permis de tuer, et le mot « historique » était sur toutes les lèvres en cette soirée en vérité hystérique. Comme un sabbat de sorcières ou une danse païenne rituelle célébrant le sacrifice humain…

Ces démonstrations d’euphorie n’ont pas de sens eu égard à l’objet de ce qui a été si largement approuvé : la « liberté garantie » de pouvoir subir une intervention médicale mettant fin à la vie portée par une femme — à la vie d’un des êtres qu’elle aurait le plus chéris au monde s’il avait pu voir le jour. On n’acclame pas en vociférant le droit, fût-il constitutionnel, de subir une extraction de molaire ou une ablation d’amygdale. Tout cela ne se comprend que si l’embryon est un être à part, un gêneur qu’on écarte parce qu’il vous met devant une responsabilité et un devoir rejetés, une manifestation de la bonté de l’existence et de la générosité de Dieu qui donne la vie, et la donne en abondance.

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Dignité et « droit de mourir »

Par Liam Gibson (Voice of the Family) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Seventyfour/Adobe Stock

La clique de l’euthanasie utilise systématiquement deux arguments pour promouvoir sa cause. Le premier affirme qu’il est cruel que la loi condamne les malades en phase terminale à des souffrances atroces alors qu’il est facile d’y mettre fin. Cette tactique a été couronnée de succès parce qu’elle exploite notre compassion pour la souffrance d’autrui tout en jouant sur la peur qu’un jour, nous fassions nous aussi face à une telle souffrance. Bien que cet appel émotionnel soit efficace pour promouvoir l’idée, lorsque l’aide à mourir est introduite, la douleur insurmontable n’est pas la principale raison pour laquelle les malades en phase terminale cherchent à mettre fin à leur vie.

L’Oregon a été le premier État américain à légaliser le suicide assisté, avec l’entrée en vigueur de la loi sur la mort dans la dignité (Death with Dignity Act) en 1998. Sur les 23 personnes qui ont reçu des prescriptions de médicaments létaux au cours de la première année d’application de cette loi, 15 sont décédées après les avoir pris, 6 sont mortes de maladies sous-jacentes et 2 étaient encore en vie au 1er janvier 1999. Cependant, la décision de demander un suicide assisté n’est pas principalement liée à une douleur insupportable, mais plutôt à la crainte d’une perte d’autonomie. [1]

Le nombre de personnes souhaitant mourir prématurément n’a cessé d’augmenter depuis lors et, en 2022, 431 personnes sont décédées en vertu de la loi sur la mort dans la dignité. [2] Les trois préoccupations les plus fréquemment exprimées concernant la fin de vie sont la diminution de la capacité à participer aux activités qui rendent la vie agréable (89 %), la perte d’autonomie (86 %) et la perte de dignité (62 %). Le fait de devenir un fardeau pour la famille, les amis et les soignants arrive en quatrième position (46,4 %), tandis que la crainte concernant un contrôle adéquat de la douleur arrive en sixième position, avec seulement 31,3 % des personnes interrogées qui citent cette raison pour justifier leur décision.

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Le Carême est une période propice pour prier pour la conversion des Juifs au nouvel Israël, l’Église du Christ


Photo : Rawpixel.com/Adobe Stock

Dom Prosper Guéranger

La Station est dans l’église de Saint-Clément, Pape et Martyr. De toutes les églises de Rome elle est celle qui a le plus conservé l’antique disposition des premières basiliques chrétiennes. Sous son autel repose le corps du saint Patron, avec les restes de saint Ignace d’Antioche et du consul saint Flavius Clémens.

COLLECTE

Daignez faire, ô Dieu tout-puissant ! que vos fidèles qui, pour mortifier leur chair, se privent dans leur nourriture, jeûnent aussi du péché, en pratiquant la justice. Par Jésus-Christ notre Seigneur. Amen.

ÉPÎTRE

Lecture du prophète Daniel 9,15-19

En ces jours-là, Daniel fit cette prière au Seigneur : Seigneur notre Dieu, qui avez tiré votre peuple de la terre d’Égypte par la force de votre bras, et qui en le faisant vous êtes acquis une gloire qui dure jusqu’aujourd’hui ; nous avons péché, nous avons commis l’iniquité, Seigneur, en enfreignant tous vos justes préceptes. Détournez, je vous en conjure, votre colère et votre fureur de Jérusalem, votre cité, et de votre montagne sainte. C’est à cause de nos péchés et des iniquités de nos pères, que Jérusalem et votre peuple sont en opprobre aujourd’hui à toutes les nations qui nous environnent. Maintenant donc, Seigneur notre Dieu, exaucez la prière de votre serviteur et ses supplications ; faites paraître votre face sur votre Sanctuaire abandonné : faites-le pour vous-même. Inclinez votre oreille, ô mon Dieu ! et écoutez ; ouvrez les yeux, et considérez notre désolation et cette ville qui est connue par votre Nom ; car ce n’est point par confiance en notre justice que nous humilions nos prières devant votre face, mais c’est en songeant à la multitude de vos miséricordes. Exaucez, Seigneur ; apaisez-vous. Seigneur : considérez et agissez. Pour l’amour de vous-même, ne différez pas, mon Dieu, parce que cette cité et ce peuple qui est à vous ont l’honneur de porter votre Nom, ô Seigneur notre Dieu !

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Mgr Strickland défend le caractère sacré de la vie et la conversion des États-Unis en « une nation sous l’autorité de Dieu » à la Conférence d’action politique conservatrice


Mgr Joseph Strickland.

Par L’équipe de LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : CPAC/Rumble

23 février 2024, National Harbor, Maryland (LifeSiteNews) — Mgr Joseph Strickland, l’ancien et très aimé évêque de Tyler au Texas, a prononcé des paroles puissantes sur le besoin d’humilité, le caractère sacré de la vie et l’objectif de réformer les États-Unis pour en faire « une nation sous l’autorité de Dieu » lors de la Conférence annuelle d’action politique conservatrice (CPAC) dans le Maryland.

S’exprimant lors du dîner Ronald Reagan de la CPAC, Mgr Strickland a commencé par affirmer que les États-Unis devaient se réformer pour atteindre l’idéal d’une « nation sous l’autorité de Dieu ».

« Nous devons vraiment prier et réfléchir à ce que cela signifie, et revenir à ces valeurs », a déclaré Mgr Strickland. « Car trop de personnes, en particulier dans le monde politique, encouragent une approche athée pour diriger cette nation. Cela ne durera pas. Cela n’amènera jamais la prospérité ».

Mgr Strickland a insisté sur le fait que la première étape pour redonner à l’Amérique la place qui lui revient sous l’autorité de Dieu est l’« humilité ».

« L’humilité », a commencé l’évêque. « Pensez à notre nation, à notre époque, à notre culture... l’humilité n’est pas populaire, (mais) l’humilité est la grandeur de Jésus-Christ ».

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L'entrée en vigueur de l'euthanasie pour personnes uniquement atteintes de maladie mentale reportée à 2027


Le Dr Paul Saba s'exprimant lors du rassemblement contre l'euthanasie, le 27 février 2024, sur la Colline du Parlement.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : CampaignLifeTV/YouTube

L’entrée en vigueur de l’euthanasie aux personnes uniquement atteintes de maladie mentale a été reportée jusqu’en 2027. Le projet de loi C-62, introduisant ce report, a été présenté à la Chambre des communes le 1er février 2024 par le gouvernement du Canada et a rapidement suivi les étapes parlementaires pour être adopté par le Sénat le 29 février et recevoir la sanction royale le même jour.

Ce report est un grand soulagement pour de nombreuses personnes, en effet, l’entrée en vigueur de cette extension devait avoir lieu le 17 mars 2024.

Ce report cependant n’est pas suffisant, il est même scandaleux que le gouvernement n’ait tout simplement pas abrogé cette extension, comptant sans doute sur le temps pour apaiser le tollé soulevé par l’idée de tuer des malades mentaux. Mais les motifs de s’opposer à cette pratique barbare resteront toujours les mêmes !

Plusieurs groupes pro-vie du Canada ont tenu une manifestation sur la Colline du Parlement le 27 février pour encourager le Sénat à adopter C-62 et pour appeler à l’abolition de l’euthanasie, non seulement des personnes atteintes de maladie mentale, mais de toutes personnes.

Le premier des orateurs, Alex Schadenberg de la Coalition pour la prévention de l’euthanasie, indiquait la nécessité d’empêcher définitivement l’extension de l’euthanasie aux personnes atteintes de maladie mentale. Il mentionnait que déjà des personnes vivant dans la pauvreté ou n’ayant pas accès aux soins dont ils ont besoin ont recours à l’euthanasie.

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Les scientifiques seraient désormais capables de cultiver des embryons humains synthétiques en laboratoire, sans ovule ni spermatozoïde

Par Joseph Mercola — (LifeSiteNews) Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : joyfotoliakid/Adobe Stock

L’histoire en un clin d’œil :

  • Des chercheurs ont réussi à créer des embryons synthétiques pour la première fois, sans s’arrêter à la question de savoir s’il fallait les créer.
  • Ces embryons existent sans avoir recours à des ovules, des spermatozoïdes, ni une quelconque reproduction sexuée.
  • Ils ont été conçus à partir de cellules souches [embryonnaires] et, bien qu’ils n’aient pas de cœur qui bat, de tube digestif ni de commencement de cerveau, ils possèdent des cellules primordiales qui sont les précurseurs de l’ovule et du spermatozoïde.
  • Les chercheurs ne sont légalement autorisés à cultiver des embryons humains que pendant 14 jours, mais les embryons humains synthétiques ne sont pas soumis à cette règle.
  • Bien que les implications pour la recherche soient passionnantes,* il y a des implications éthiques importantes, puisque les embryons synthétiques pourraient, en théorie, se développer en un être humain.

(Mercola) — Des chercheurs ont réussi à créer des embryons synthétiques pour la première fois, sans s’arrêter à la question de savoir s’il fallait les créer. Ces embryons existent sans que les chercheurs aient eu recours à des ovules, des spermatozoïdes, ni une quelconque reproduction sexuée. Ils ont été conçus à partir de cellules souches [embryonnaires] et offrent une fenêtre sur les premiers jours du développement humain.

Les scientifiques à l’origine des embryons synthétiques, dont Magdalena Żernicka-Goetz, de l’université de Cambridge et de l’Institut de technologie de Californie, espèrent étudier cette période de développement dite « boîte noire », car les chercheurs ne sont légalement autorisés à cultiver des embryons humains que jusqu’à 14 jours.

« Nous pouvons créer des modèles ressemblant à des embryons humains en reprogrammant des cellules [souches embryonnaires] », a déclaré Mme Żernicka-Goetz lors de la réunion 2023 de la Société internationale pour la recherche sur les cellules souches, qui s’est tenue à Boston. De plus, les embryons humains synthétiques ne sont pas soumis à la règle des 14 jours.

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À Son image et à Sa ressemblance

Par Liam Gibson (Voice of the Family) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Wikimedia Commons

Dans l’histoire de l’humanité, aucun concept ne peut être considéré comme ayant exercé une influence aussi profonde dans les domaines de la médecine, de la philosophie, du droit, de la théologie et de la politique que l’idée de dignité humaine. Aucun autre principe social directeur n’a été aussi largement invoqué tout en restant si vague et si mal défini qu’il peut donner lieu à des interprétations mutuellement exclusives. Bien que la dignité humaine soit au cœur des convictions du mouvement pro-vie, les partisans de l’euthanasie se sont approprié le terme en lançant des appels répétés en faveur du droit de mourir dans la dignité.

Ces contradictions apparentes ont valu au concept d’être attaqué par les laïcistes comme par les catholiques. D’un côté, des critiques tels que le psychologue Steven Pinker y voient une tentative à peine déguisée d’imposer la morale catholique à la société moderne. [1] De l’autre, l’éminent philosophe thomiste Alasdair MacIntyre l’a condamné comme « déroutant et peut-être dangereux ». [2]

Il n’est donc pas surprenant que la nouvelle selon laquelle le préfet du Dicastère pour la Doctrine de la Foi (DDF), le cardinal Victor Manuel Fernández, prépare un document sur la dignité humaine ait été accueillie avec un certain scepticisme. [3] Il convient donc d’examiner les principales menaces qui pèsent sur la dignité humaine dans les années à venir. Mais avant tout, il est essentiel de préciser ce que l’on entend par dignité humaine au sens catholique du terme.

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Le projet de loi C-367 pourrait faire emprisonner les chrétiens qui citent la bible


Yves-François Blanchet.

Par David Cooke (Coalition nationale pour la vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : CPAC/YouTube

Les chrétiens devraient-ils être arrêtés pour avoir cité des passages de la Bible en public ? Les pasteurs devraient-ils être accusés de « crime de haine » lorsqu’ils prêchent contre certains péchés ? Les églises devraient-elles être fermées si le gouvernement n’approuve pas leurs croyances ?

Vous pourriez penser qu’il s’agit là de questions ridicules. Après tout, nous sommes au Canada, le « vrai Nord, fort et libre » ! Notre devise nationale est « a mari usque ad mare », tirée du Psaume 72,8, qui dit que le Christ dominera « d’une mer à l’autre ». Nous ne sommes pas dans la Chine communiste !

Cependant, avec l’introduction du projet de loi C-367, toutes ces questions sont sur la table. J’appelle ce projet de loi le « Closet the Christians Bill » (Le projet de mise au placard des chrétiens), parce que c’est exactement ce qu’il a l’intention de faire — mettre les chrétiens dans le placard. Sous peine d’emprisonnement, il réduira au silence les croyants qui s’opposent à l’idéologie woke qui envahit notre pays.

Cette proposition répressive et christophobe du chef du Bloc Québécois, Yves-François Blanchet, est actuellement examinée par le Parlement et pourrait faire l’objet d’un vote sous peu. Si les libéraux de Trudeau appuient ce projet de loi, il sera très certainement adopté, portant un coup fatal à la liberté de religion et à la liberté d’expression dans ce pays.

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Le syndicat des écoles de l’Ontario menace les enseignants qui utiliseraient les termes « garçons et filles » et soutiendraient les droits parentaux

Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : freepik

21 février 2024, Kingston, Ontario (LifeSiteNews) — Un syndicat scolaire de Kingston a averti les enseignants qu’ils pouvaient être sanctionnés pour des opinions de « droite » telles que le soutien aux droits parentaux, selon un courriel qui a fait l’objet d’une fuite.

Dans un courriel de décembre obtenu par le média indépendant True North, la Fédération des enseignants des écoles secondaires de l’Ontario, section locale du Limestone District School Board (LDSB) de la région de Kingston, a informé le personnel qu’il pouvait être sanctionné pour avoir exprimé une série d’opinions, allant de la contradiction avec le discours LGBT à l’imposition de mesures disciplinaires à leurs élèves.

Le négociateur du district 27 de la Fédération des enseignants des écoles secondaires de l’Ontario, John Vince, a écrit : « Les membres ne savent peut-être pas que certains discours ou actions sur les lieux de travail du Limestone District School Board (LDSB) peuvent entraîner des mesures disciplinaires ».

« Dans d’autres juridictions, telles que les États-Unis ou le Royaume-Uni (dont les médias sont très consultés), certains de ces discours sont autorisés, mais ils ne le sont pas en Ontario, et les membres ne le savent peut-être pas », a-t-il poursuivi.

« Nous avons demandé au conseil d’administration d’informer le personnel des propos qui ne peuvent être tenus en Ontario ou au LDSB et il a indiqué qu’il y travaillait. En l’absence de cette formation, voici quelques exemples de propos ou d’actions qui, s’ils sont prononcés ou effectués sur un lieu de travail, peuvent entraîner des mesures disciplinaires », a ajouté M. Vince.

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Les préparatifs pour une Marche pour la Vie à Québec vont bon train

Notre souper à Montréal organisé dans le cadre de notre 35e anniversaire d'existence a été un franc succès. Vous pouvez lire un court compte rendu, ici.

Les préparatifs pour une première Marche pour la Vie à Québec ce 1er juin 2024 vont bon train. Le site Web officiel sera prêt bientôt. Pour l'instant, les infos pertinentes pourront être trouvées ici. Aussi, vous pouvez visionner la bande annonce pour cette même Marche et ensuite visionner l'entretien entre moi-même et Jean-François Denis de Théovox expliquant en quoi cette Marche est importante pour l'avenir du Québec et du Canada.


Cliquer pour visionner la vidéo -- Marche pour la vie - Québec

Également à noter : les 40 jours pour la vie à Montréal sont en cours, et ce, jusqu’au 24 mars. Mon collègue Brian Jenkins assure, avec l’aide de fidèles bénévoles, une présence de 12 heures par jour (de 7 h à 19 h), pour 40 jours de file devant un centre de « santé » où sont tués des enfants non nés. Venez prier à l’extérieur d’un centre d’avortement pour les enfants à naître et leur mère. ==> https://www.40joursmontreal.org/participer

Finalement, si vous êtes dans la grande région de Québec le 2 mars, il y aura le samedi 2 mars un colloque organisé par Campagne Québec-Vie ayant pour thème « Préparer la société chrétienne de demain ». Voir ci-dessous pour tous les détails !

Pour la Vie,


Georges Buscemi
Président de Campagne Québec-Vie

Colloque le samedi, 2 mars à Lévis — Préparer la société chrétienne de demain


Un colloque est organisé pour le samedi, 2 mars à Lévis, de 9 h 30 à 12 h 30. Trois intervenants montreront trois facettes d’une future société chrétienne qui protège la foi, la famille et la vie, de la conception à la mort naturelle : Le Dr Jean-Claude Dupuis, historien, présentera l’économiste catholique François-Albert Angers (1909-2003), Arpad Nagy, directeur des opérations politiques de CQV parlera de son voyage en Hongrie, ce pays de l’Europe centrale qui défend la culture chrétienne et la vie, de la conception à la mort naturelle. Finalement, Georges Buscemi, président de CQV parlera de la façon dont la première Marche pour la vie à Québec pourrait servir de bougie d’allumage pour une culture de vie ici au Québec et au Canada.

Où : Auditorium de l’école Sainte-Famille, 10425 bd Guillaume-Couture, Lévis, QC G6V 9R6.

Heure : 9 h 30, après la messe du 1er samedi du mois (qui débute à 8 h 15, avec chapelet à 7 h 20)

Café et collation seront servis. Vous êtes invité à donner ce que vous pouvez à l’entrée.

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