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Le Conseil scolaire catholique de Toronto rejette une motion en faveur du drapeau pro-vie

Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Jess/Flickr/Wikimedia Commons

24 avril 2024 (LifeSiteNews) — Trahissant la foi, le Toronto Catholic District School Board (TCDSB) a voté hier soir contre la motion du conseiller Michael Del Grande demandant que des drapeaux pro-vie fussent arborés sur tous les bâtiments du district au mois de mai. En 2021, le même conseil avait voté en faveur du déploiement des drapeaux de la « fierté » homosexuelle dans toutes les écoles.

Le vote contre la motion pro-vie de M. Del Grande a eu lieu lors d’une réunion ordinaire du conseil mardi soir, où les partisans de sa motion étaient nombreux.

Del Grande, conseiller scolaire de Scarborough – Agincourt, déclare à LifeSiteNews après la réunion que « toute personne qui l’a observée a pu voir l’incohérence entre mes points et les leurs ».

« L’ironie de la soirée a été que [la conseillère Angela] Kennedy s’est levée pour reconnaître l’holocauste arménien et son déni par la Turquie, mais quand il s’est agi de l’holocauste des enfants à naître, elle a été dans le déni, tout comme la Turquie », ajoute-t-il.

La motion de Del Grande a été rejetée par 8 voix contre 2. Garry Tanuan, conseiller de Scarborough, a été le seul conseiller avec Mme Del Grande à voter en faveur de la motion.

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Voici comment l’adoption et la trisomie 21 ont donné naissance à une mission au sein d’une famille


Krinstin Czernek.

Par Tori Shaw (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : IHeartRadio/YouTube

Kirstin Czernek, 37 ans, et son mari, Tomas, ont commencé à bâtir leur famille il y a six ans en adoptant un enfant placé en famille d’accueil.

Après que Mia, aujourd’hui âgée de huit ans, ait été placée chez eux en tant que famille d’accueil, ils ont appris que la mère de Mia était de nouveau enceinte. Kai, qui a maintenant six ans, est né six semaines plus tard. Les Czernek les ont adoptés tous deux, le frère et la sœur.

Lorsque Kai a eu un an, Kirstin a découvert qu’elle était enceinte. Les médecins ont informé le couple que leur bébé avait 100 % de chances de naître avec la trisomie 21 et qu’il souffrirait d’une maladie cardiaque nécessitant une intervention chirurgicale après la naissance.

Kirstin a déclaré à People : « C’était quelque chose qui ne m’avait jamais traversé l’esprit. J’étais jeune, j’avais 29 ans. Je n’y pensais même pas ». Pendant le reste de sa grossesse, elle s’est autorisée à « faire son deuil de l’enfant que je pensais avoir ».

Dès la naissance d’Aria, aujourd’hui âgée de cinq ans, tout a changé pour la famille Czernek.

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Pourquoi poser des questions de ce genre?

Désirez-vous que l’on vous demande quelle est votre « orientation de genre » ? Voulez-vous avoir la possibilité de cocher une case pour des relations « diverses » (autres qu’entre un homme et une femme) ? Ne vous inquiétez pas, Justin Trudeau, notre premier ministre bien-aimé, y a pensé : le prochain recensement canadien en 2026 contiendra ce genre de question. Par contre, si vous ne le voulez pas, Justin ne vous a pas demandé votre avis, ces questions seront présentes dans le recensement que vous le vouliez ou non... On peut bien se demander par ailleurs à quoi cela peut servir au gouvernement de poser de telles questions. Dans la même veine, la Cour de Justice de l’Ontario a décrété que les participants à tout procès devaient préalablement et dorénavant donner leurs « pronoms préférés ». Encore un signe de zèle politique, en effet, si quelqu’un tient absolument à ce que tout le monde sache (et malheureusement emploie) les pronoms de son choix, rien ne l’empêcherait de le faire savoir. Pourquoi donc obliger tout le monde à donner ses « pronoms préférés » (comme si c’était une question de préférence) ? Aura-t-on seulement la possibilité de dire : « Votre honneur, nul n’est besoin que je fournisse les pronoms qui conviennent à ma personne, je suis certain que tous ici présents seront capables de les deviner, je ne tiendrai d’ailleurs pas grief à quiconque se tromperait » ?

Loin des folies de ce monde, nous avons reçu une charmante lettre d’une lectrice et bienfaitrice de CQV. Forte de son expérience familiale (15 enfants !), elle nous confie que la chose la plus belle qui puisse arriver à une femme est de mettre un enfant au monde.

C’est d’ailleurs pour défendre cette idée que nous allons marcher lors de la première Marche pour la Vie à Québec le 1er juin 2024, nous allons marcher parce que l’une des choses les plus belles en ce monde est de donner la vie et que l’une des plus laides est de l’enlever.

La Marche pour la Vie débutera devant l’Assemblée nationale du Québec, près de la Fontaine de Tourny :

  • 11 h Rassemblement
  • 12 h Discours
  • 13 h Marche
  • 15 h Témoignages
  • 16 h Fin

Consultez tous les détails sur la Marche pour la Vie à Québec ici.

N’oubliez pas d’annoncer votre venue à la marche sur la page Facebook de notre événement et d’y inviter vos amis.

Pour la Vie,
Augustin Hamilton

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Des questions sur la « diversité des genres » et les relations « diverses » figureront dans le recensement canadien de 2026

Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : tippapatt/Adobe Stock

22 avril 2024, Ottawa, Ontario (LifeSiteNews) — Le prochain recensement fédéral du Canada semble mener plus loin la charge contre le modèle familial traditionnel. Statistique Canada a confirmé qu’il inclura une toute première série de nouvelles questions relatives à la « diversité de genre », y compris des questions sur les « relations de couple » en dehors du mariage ou même des unions de fait.

Selon Statistique Canada, la réécriture de la « dynamique familiale » sera l’un des changements les plus importants du recensement de 2026.

Il convient de noter que Statistique Canada avait précédemment mis en place des questions sur le « sexe à la naissance » et la soi-disant « orientation » sexuelle. L’objectif était de « combler les lacunes en matière d’information sur les Canadiens de sexe différent ».

Les changements ont été révélés dans un rapport intitulé « Rapport de consultation sur le contenu du recensement de la population de 2026 : Ce que nous avons entendu de la part des Canadiens ». Le rapport indique que Statistique Canada « explore continuellement de nouveaux ensembles de données et évalue leur pertinence pour compléter ou remplacer le contenu du Recensement de la population ».

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L’ONU attaque la maternité au foyer en la qualifiant d’« inégalité entre les sexes » et préconise la création de garderies socialistes

Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik

22 avril 2024 (LifeSiteNews) — Les mères au foyer, et les mères en général, sont victimes de « l’inégalité des sexes » et de « violence sexiste » en raison de leur dévouement à leurs enfants, a déclaré une commission d’extrême gauche des Nations Unies.

La 68e session de la Commission de la condition de la femme de l’ONU se serait fortement concentrée sur le « travail de soins non rémunéré », selon la journaliste Kimberly Ells, qui écrit sur Mercator.

« J’ai passé une semaine à écouter un défilé sans fin d’événements axés presque exclusivement sur l’éradication de la pauvreté par l’élimination du “travail de soins non rémunéré” », a écrit Mme Ells.

« Qu’est-ce que le “travail de soins non rémunéré”, demanderez-vous ? Il s’agit du travail effectué à domicile sans rémunération monétaire spécifique. La plupart des gens appelleraient ce type de travail le simple fait d’être en vie », écrit-elle. « On pourrait aussi dire que c’est diriger son propre château ».

L’Agenda 2023 des Nations unies pour les objectifs de développement durable mentionne le « travail de soins non rémunéré » comme un problème à résoudre.

« Mais les forces qui ont convergé vers les Nations unies ce printemps l’ont qualifié d’atrocité », a-t-elle ajouté. « Le fait d’être un “travailleur non rémunéré” — surtout si l’on est une femme — a été considéré comme un affront à la décence humaine », a-t-elle ajouté. « Et parce qu’en moyenne, les femmes du monde entier font plus de travail à la maison que les hommes, les cercles des Nations unies appellent cela “l’inégalité des sexes”, “l’injustice des sexes” et même “la violence fondée sur le sexe” ».

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Le mouvement des écoles catholiques indépendantes offre aux parents ontariens une alternative

Par LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : puhimec/Adobe Stock

22 avril 2024 — Un groupe de personnes investies dans l’éducation catholique développe un réseau pour aider le mouvement des écoles catholiques indépendantes en Ontario.

Le Consortium des écoles catholiques indépendantes de l’Ontario (Consortium of Independent Ontario Catholic Schools — CIOCS) est un réseau d’écoles dont l’objectif principal est de favoriser la collaboration et la communion entre les écoles membres tout en soutenant des valeurs, une mission et un engagement communs envers l’éducation catholique.

John Pacheco, l’un des directeurs du Consortium, a expliqué l’une des motivations du groupe.

« On parle beaucoup aujourd’hui d’identité, et nous croyons que l’identité de chaque enfant doit s’enraciner et se conformer à l’image de Jésus-Christ, à l’image immuable duquel nous avons été créés », a-t-il déclaré.

« D’un point de vue pratique, nous cherchons à développer une structure de soutien pour aider nos écoles membres actuelles et futures dans divers domaines. L’un des principaux objectifs du CIOCS est de trouver des moyens de réduire les coûts afin de mettre l’enseignement privé catholique à la portée des parents ».

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La ville de Muenster au Texas devient la 69e « ville sanctuaire pour les enfants à naître » aux États-Unis

Par Mark Lee Dickson (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik

Le lundi 8 avril, le conseil municipal de Muenster, Texas (1 556 habitants), situé à environ 80 miles de Fort Worth, a adopté une « Ordonnance interdisant l’avortement, déclarant Muenster “Havre de paix pour les enfants à naître” » par un vote unanime (5-0). Ce vote fait de la ville de Muenster la 52e ville de l’État du Texas, la 69e ville du pays et la 76e subdivision politique du pays à adopter un règlement interdisant l’avortement.

L’ordonnance de Muenster met en place six dispositions dont l’application relève exclusivement de l’action civile privée. Ces dispositions (1) interdisent de pratiquer des avortements volontaires et d’aider ou d’encourager des avortements volontaires dans les limites de la ville de Muenster, (2) interdisent les avortements volontaires sur les résidents de Muenster — quel que soit le lieu de l’avortement, (3) interdisent le trafic d’avortements, (4) interdisent les médicaments provoquant l’avortement, (5) interdisent aux organisations criminelles d’exercer leurs activités dans les limites de la ville de Muenster, et (6) interdisent le transport et l’élimination des restes d’enfants à naître, tués lors d’un avortement volontaire, par des fournisseurs d’avortement, en dehors de l’État du Texas.

Étant donné que l’ordonnance de Muenster interdit le trafic d’avortements en déclarant illégal « le fait pour toute personne de transporter sciemment un individu dans le but de fournir ou d’obtenir un avortement volontaire, quel que soit l’endroit où l’avortement volontaire aura lieu », cela signifie qu’il est désormais illégal pour quiconque d’utiliser le tronçon de l’autoroute 82 et toutes les autres routes de la ville de Muenster à des fins de trafic d’avortements. Cela signifie également que les entreprises texanes ne peuvent pas utiliser le tronçon de l’autoroute 82 situé dans la ville de Muenster pour transférer les restes d’enfants à naître des avorteurs d’autres États vers des installations de gestion des déchets situées dans l’État du Texas.

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Le Sénat de Louisiane adopte à l’unanimité un projet de loi pour contrer l’avortement forcé par pilule

Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : KFPZZZ/Adobe Stock

18 avril 2024, Bâton-Rouge, Louisiane (LifeSiteNews) — Le Sénat de Louisiane a adopté à l’unanimité mardi une loi visant à criminaliser le fait de donner à une femme enceinte des médicaments provoquant l’avortement à son insu ou sans son consentement — loi motivée par l’épreuve personnelle de la propre sœur du principal auteur de la loi.

L’avortement est généralement illégal dans l’État du Bayou, mais le SB 276 créerait un nouveau délit d’« avortement criminel forcé par des moyens frauduleux », défini comme « l’utilisation ou la tentative d’utilisation, en connaissance de cause et intentionnellement, d’un médicament provoquant l’avortement sur une femme enceinte, à son insu ou sans son consentement, dans le but de provoquer un avortement ». Les contrevenants seraient passibles d’une peine minimale de 10 ans de prison et d’une amende minimale de 50 000 dollars.

Selon le Shreveport Times, le projet de loi a été présenté par le sénateur républicain Thomas Pressly, motivé par l’épreuve vécue par sa sœur, Catherine Pressly Herring. En février, son mari de l’époque, Mason Herring, a plaidé coupable d’avoir versé des pilules abortives dans l’eau qu’elle buvait, ce qui l’a rendue gravement malade. Sa petite fille, Josephine, a été sauvée grâce au processus de neutralisation de la pilule abortive, mais elle souffre toujours de complications liées à sa naissance prématurée.

La situation s’est produite au Texas, où Mason Herring n’a été condamné qu’à une peine de six mois de prison, ce que Catherine et son frère espèrent empêcher de se reproduire en Louisiane.

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Une députée finlandaise en procès pour la troisième fois pour avoir partagé des versets de la Bible sur l’homosexualité


Päivi Räsänen.

LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : ADF International

19 avril 2024, Helsinki (Alliance Defending Freedom) — L’ancienne ministre et députée finlandaise Päivi Räsänen sera jugée une troisième fois pour son tweet sur un verset de la Bible, comme l’a confirmé aujourd’hui la Cour suprême de Finlande.

Le procureur général a porté la cause en appel, bien que la grand-mère chrétienne de 11 enfants ait été acquittée à l’unanimité des accusations d’« incitation à la haine » devant le tribunal de district d’Helsinki et la Cour d’appel. La Cour suprême a accepté d’examiner ce recours à une date qui sera fixée ultérieurement.

Mme Räsänen, qui a été ministre de l’Intérieur de la Finlande, est accusée d’avoir partagé ses opinions religieuses sur le mariage et l’éthique sexuelle, dans un tweet publié en 2019 et dans une brochure imprimée en 2004 qu’elle a rédigée pour son église et qui est centrée sur le texte biblique : « Homme et femme, il les créa ».

Le procureur n’a pas fait appel d’un troisième chef d’accusation fondé sur son apparition lors d’une émission de radio, ce qui rend définitif l’acquittement de la Cour d’appel pour ce chef d’accusation. Seuls les deux autres chefs d’accusation font l’objet de ce dernier appel.

La cause de la députée sera à nouveau entendue en même temps que celle de l’évêque luthérien Juhana Pohjola, accusé d’avoir publié le pamphlet de Mme Räsänen il y a vingt ans.

Leurs causes ont attiré l’attention des médias du monde entier, les experts en droits de l’homme s’inquiétant de la menace qui pèse sur la liberté d’expression en Finlande.

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Le gouverneur de l'Idaho signe des lois définissant le sexe comme masculin ou féminin et interdisant le « langage de genre » dans l'administration et les écoles


Brad Little, gouverneur d'Idaho.

Par Louis Knuffke — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Lt Governor Brad Little/Flickr

11 avril 2024, Bosie, Idaho (LifeSiteNews) — Le gouverneur de l'Idaho, Brad Little, a signé cette semaine deux projets de loi visant à contrer directement l'idéologie transgenre au sein de l'État. Le premier est une loi sur les pronoms obligeant les employés du gouvernement et les enseignants des écoles publiques à utiliser les pronoms qui correspondent au sexe biologique d'une personne. Le second est une définition légale du sexe qui reconnaît que « chez les êtres humains, il y a deux et seulement deux sexes : l’homme et la femme ».

Le lundi 8 avril, Little a signé la loi HB 538, qui interdit le langage obligatoire dit « de genre », protégeant ainsi les fonctionnaires et les enseignants des écoles publiques en particulier de toute mesure défavorable pour avoir utilisé les pronoms d'une personne en accord avec son sexe biologique.

La nouvelle loi stipule que « la législature constate qu'en dépit de la position claire de la Cour suprême des États-Unis selon laquelle le discours forcé est contraire à la Constitution, les acteurs gouvernementaux de l'État de l'Idaho et des États-Unis dans leur ensemble ne protègent pas vigoureusement la population contre ce discours forcé ».

Les acteurs gouvernementaux de l'État exercent des pressions croissantes pour obliger les fonctionnaires, ainsi que les élèves des écoles publiques, à communiquer avec certains titres et pronoms personnels préférés que beaucoup de ces employés et élèves préfèrent ne pas utiliser. Plus précisément, il s'agit d'imposer l'utilisation de titres et de pronoms personnels préférés qui ne correspondent pas au sexe biologique de la personne souhaitant être désignée par ces titres personnels préférés.

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