M'INSCRIRE
DONNER

Joignez-vous au mouvement

CQV défend la personne humaine, de la conception à la mort naturelle.

ou

×

La vérité sort de la bouche des enfants : pas de communion pour les politiciens pro-avortement

Sur les site du Salon Beige du 30 avril 2014 :

(Photo :  UK in Holy See sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

 

Le cardinal nigérian Francis Arinze, préfet émérite de la Congrégation pour la culte divin et la discipline des sacrements (2002-2008), vient d’accorder un entretien au site pro-vie américain LifeSiteNews animé par des catholiques. On lui a posé la question si l’on pouvait ou pas accepter à la table de communion des hommes politiques catholiques favorables à l’avortement. Réponse du cardinal :

« Vous avez vraiment besoin d’un cardinal pour répondre à ça ? Est-ce vraiment une question si difficile ? ». (...)

Les enfants n'ont pas eu de difficulté non plus à répondre à la question...

Laissez un commentaire

Un avortement, cause de la séparation du boxeur Floyd Mayweather et de sa fiancée Shantel

Les conséquences d'un avortement sont souvent terribles et multiples. Sur le site de news.yahoo.com du 1er mai 2014

(Photo : wikimédia.org, sans copyright)

 

 

 

Money, comme on le surnomme, a annoncé le motif de la rupture en postant, sur Facebook et Instagram, une photo du sonagramme de Shantel Christine Jackson. En légende, il a écrit : "La vraie raison pour laquelle Shantel Christine Jackson et moi avons rompu, c'est parce qu'elle a avorté, et que je suis contre le meurtre de bébés. Elle a tué nos jumeaux."

L'avortement tue des enfants et s'attaque et vient souvent ravager les relations amoureuses...

Laissez un commentaire

« L'holocauste des enfants à naître » : témoignage dans l'Acadie Nouvelle

Sur le site de l'Acadie Nouvelle du 30 avril 2014, un témoignage à lire en entier, dont voici un extrait :

(Photo : brainpicker sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

Depuis l’annonce que la clinique d’avortement de Fredericton prévoit fermer ses portes en juillet, on ne se gêne pas pour défendre le droit à «l’avortement». Que dire de notre génération, qui ne protège pas la vie humaine de ses plus petits membres, les enfants non nés?


Bravo si la clinique Morgentaler peut fermer! J’ai une bonne raison de m’exprimer ainsi, car il y a plus de 40 ans, j’ai vécu cette expérience horrible qu’est l’avortement. (...)

Combien de femmes auront la tristesse un jour de s'avouer combien elles se sont fait mal en laissant leur enfant disparaître...

Laissez un commentaire

Danger au Parti Libéral sur l'euthanasie. Votre député a besoin d'aide...

(Photo : François Thivierge sur wikimédia.org, licence creative commons)

Nous avons mentionné à plusieurs reprises que le chef du Parti libéral du Québec Philippe Couillard veut ramener le projet de loi 52 sur l’euthanasie tel quel. Comme il y a eu dissolution de l’assemblée parlementaire, tous les projets de loi du Parti Québécois ont été déclarés caducs et l’unanimité parlementaire est nécessaire pour ramener ce projet de loi à l’Assemblée. Philippe Couillard pourrait imposer la ligne de parti pour le retour du projet de loi, puis laisser le libre vote sur le projet de loi lui-même, sachant que les votes du Parti Québécois et de la CAQ permettront probablement de le faire accepter.

Nous lançons de nouveau un appel à nos lecteurs. Contactez votre député, de quelque parti que ce soit, pour l’inciter à refuser le retour du projet de loi 52.
Le moindre contretemps à l’adoption de ce projet de loi sauve des vies. Il faut retarder à tout jamais l’adoption d’une loi permettant l’euthanasie.

Laissez un commentaire

Petite conversation sur l'avortement

(Photo : Juanedc sur flickr.com, licence creative commons)

J'aimerais avoir vos réactions sur ce constat :

Le nombre de services pour des actes d'interruptions volontaires de grossesse et les montants facturés par les médecins pour la région de Chaudière-Appalaches pour la période de 2008 à 2012.

>> en 2008 : 831 services --montant 102,672$
>> en 2012 : 677 services --montant 101,348$

>> Comment prenez-vous cette nouvelle?

Réponse:

        Comme disait mon professeur de philosophie préféré:
        «Ça dépend»!

Ça dépend de ce qui est tué par un avortement.

Si une grossesse n'est qu'un tas de cellules désorganisé, comme un cancer, alors on se fiche du montant que ça coûte. Moi, ma pauvre soeur aînée est décédée d'un cancer du cerveau il y a quelques années. Si ma famille avait pu payer 101 348$ pour une opération pour lui sauver la vie (ou même 102 672$), nous aurions tous joyeusement fait tous les sacrifices nécessaires pour lui payer cette opération.

D'un autre côté, si une grossesse est un bébé (il y a des gens comme ça qui prétendent que les bébés n'arrivent pas par les cigognes, mais bien par
les femmes enceintes), alors tuer une personne humaine innocente est un crime, et on se fiche bien du montant que ça coûte aussi. Aucune personne humaine innocente ne devrait se faire assassiner.

Alors, qu'y a-t-il à l'intérieur d'une femme enceinte?
Allez demander à la Cour suprême du Canada: elle dit que même un bébé qui respire et gigote, mais dont le pied gauche est encore dans le vagin de sa mère, n'est pas (je répète: «n'est pas»!) une personne humaine, et donc on peut le tuer si on veut !

En ce moment au Canada, n'importe qui peut tuer n'importe quel enfant à naître pour n'importe quelle raison, de la conception jusqu'à temps que tout l'enfant ait quitté le canal de la naissance.

>> Est ce que le bilan est satisfaisant pour vous ?

Voir la réponse ci-haut.

>> Devrait-il avoir encore moins d'avortements ?

Combien d'enfants devraient mourir de faim en Afrique?
Combien de chrétiens devraient être massacrés en Syrie?
Combien de Québécois devraient mourir dans des accidents d'auto à cause de conducteurs en état d'ébriété?

La réponse à toutes ces questions: ZÉRO.

Même chose pour les avortements. Chaque avortement est un crime abominable. Chaque avortement est de trop.

>> Si oui, de quelle façon pourrait-on s'y prendre.

Première Étape: Arrêter la censure faite par les médias.

Si les Canadiens savaient quelle est la loi sur l'avortement en ce moment au Canada, et si les Canadiens voyaient des photos de ce qui sort d'une femme enceinte après un avortement, et si les Canadiens voyaient les statistiques sur qui se fait avorter (pas des petites filles de 13 ans violées par leur père, mais bien des femmes adultes et pas pauvres du tout), l'opinion publique changerait rapidement.

Au plaisir,

Stefan Jetchick, pour www.proviequebec.ca

Laissez un commentaire

Excellent texte de Brigitte Bédard sur le slogan « C'est mon Corps »

Sur le site du Magazine La Vie est Belle du 28 avril 2014 , un texte à lire en entier, dont voici un extrait :

 

(Photo :  :::mediActivista::: sur flickr.com, licence creative commons)

(...)Ces femmes qui donnent LEUR corps en gestation pour autrui sont assurément les proches parentes et les petites filles de celles qui scandent depuis des dizaines d’années que « Mon corps, c’est mon corps » !
Ce qui veut dire que je peux faire ce qui me plaît avec MON corps.

Mon corps m’appartient!

Vous n’avez pas encore compris?

Attendez. Je répète.

« C’EST MON CORPS! »

Ce qui veut dire que je peux faire de la gestation pour autrui si ça me chante, et n’avoir aucun lien avec le bébé, si ça me chante aussi, ou bien décider arbitrairement de l’avorter, si je ressens, intérieurement, que ce n’est vraiment pas une bonne idée finalement, et que, psychologiquement, je ne pourrais pas assumer ça. C’est aussi ce que certaines « travailleuses du sexe » nous lancent à la figure quand elles disent que c’est LEUR corps, et qu’elles sont adultes et qu’elles sont consentantes. Ou bien, est-ce parfois leurs clients qui nous tiennent ce discours? On ne le sait plus!

(...)

 

Laissez un commentaire

La manipulation de la campagne pour « l'homoparentalité » de la Banque Nationale ?

(La Banque Nationale et les Caisses Populaires Desjardins veulent « éduquer » le bon peuple ignorant et peu évolué sur les « bienfaits » de l' « homoparentalité »)

(Photo : Vlastula sur flickr.com, licence creative commons)

Sur le site du Journal de Montréal du 30 avril 2014, un article de Denise Bombardier dont voici un extrait :

Enfin, voilà qu’apparaissent des panneaux publicitaires sur les autobus commandités par la Banque Nationale pour sensibiliser la population à l’homophobie lors de la journée du 17 mai prochain. Et que voit-on sur ces panneaux? «J’ai deux papas. J’ai deux mamans.» Plusieurs y verront un lien avec le débat lancé par Joël Legendre. Serions-nous en train de nous faire manipuler par des éléments radicaux du mouvement contre l’homophobie, dont Legendre se fait le porte-parole en valorisant la mère porteuse «gentille et généreuse»? La question peut être légitime.

Laissez un commentaire

Le 2 mai, messe pour la Vie à la cathédrale de Montréal célébrée par Mgr Lépine

Sur le site du diocèse de Montréal :

(Photo : Peter Potrowl sur wikimedia.org, licence creative commons)

Le 2 mai prochain, Mgr Christian Lépine présidera la messe annuelle pour la vie en la cathédrale Marie-Reine-du-Monde, à 19h30.

Tous et toutes y sont cordialement invités!

"Regardons Dieu comme le Dieu de la vie, regardons sa loi, le message de l'Évangile comme une voie de liberté et de vie. Disons oui à l'amour et non à l'égoïsme, disons oui à la vie et non à la mort". - Extrait de l'homélie du pape François prononcée pour la journée "Evangelium Vitae" du 16 juin 2013

Liens intéressants :

Homélie de Mgr Lépine en 2013
Message de Mgr Lépine : Fragilité et valeur de la vie
Dossier Vie et Liberté

Laissez un commentaire

Nathalie Petrowski questionne sérieusement la place de la mère chez les Joël Legendre et Bombardier

Sur le site du journal La Presse du 30 avril 2014 :

(Photo : Marie-Lan Nguyen sur wikimédia.org, licence creative commons)

 

(Sur le dos du bébé : Made in Papa + Maman)

 

 

(...)Ils n'ont rien inventé et ne font que recourir à une industrie florissante où le lien privilégié et intime entre une mère et son enfant est rompu et où la mère est compartimentée et découpée en tranches et en fonctions: celle qui fournit l'ovule, celle qui produit l'embryon, celle qui porte et qui expulse. (...)

Quant à la fameuse amie mère porteuse qui a permis à Joël et à Junior de réaliser leur «ardent désir», on sait qu'elle sera considérée comme une matante spéciale, mais surtout pas comme une mère. (...) la dame a signé une lettre d'entente stipulant que si jamais il arrivait quoi que ce soit à Joël ou à Junior, elle ne voulait rien savoir des jumelles. (...)

En d'autres mots, applaudissons chaleureusement cette totale et absolue déresponsabilisation d'une femme qui, même en cas de catastrophe ou de mort, refusera de s'occuper des jumelles qu'elle a portées pendant neuf mois. Avec des exemples d'altruisme comme celui-là, pas de doute: l'humanité a beaucoup d'avenir...

Il est incroyable que l'on doive aujourd'hui défendre l'importance pour un enfant d'avoir une maman!

Laissez un commentaire

Le pro-vie de paille : Réponse à l'article féministe « pro-choix » sur Urbania

Un article paru sur le site du magazine Urbania est très révélateur. Tout en citant des paroles de pro-vie tout à fait approprié sur le manque de cohérence des pro- « choix » qui appelle bébé ou amas de cellules l’enfant à naître, selon le désir de la mère, indépendamment de ce qu’il est, l’auteur affuble sans gêne les pro-vie de différents comportements loufoques et fantasmatiques, tout droit sortis de son imagination fertile.

L’auteure affirme que la conception pro-vie des pro-choix est :

L’avorteuse de paille » est antinaissance. Elle n’aime pas les bébés et n’en veut surtout pas. Elle aime l’avortement. Elle aime qu’on le pratique le plus souvent possible, de façon récréative, ou « de confort ». Il est donc inconcevable que quelqu’un se positionnant pour le libre choix des femmes sur leur corps puisse un jour désirer devenir parent. L’avorteuse de paille est une dérivée de la féministe de paille, l’hystérique du mouvement du même nom : cette féministe de paille déteste les hommes, les tient en haine; elle est castrante, autoritaire, et, surtout, ne milite non pas pour l’égalité entre les sexes mais pour la domination féminine – ou du matriarcat institutionnalisé, comme le racontent les trolls privilégiés sur Internet.

Bravo pour l’imagination, mais ce n’est pas tout…

Il s’agit d’un sophisme, d’un gros épouvantail épeurant qui vise à décrédibiliser le mouvement féministe en brandissant le spectre de la castration. Si l’on ne peut vaincre le féminisme, on peut l’affaiblir en créant de toutes pièces une version fallacieuse de celui-ci. En inventant la misandre castratrice, on invente un personnage fictif, dont le discours est facilement critiquable, puis, on prétend que ce personnage est représentatif du mouvement que l’on souhaite démolir. C’est un peu la même chose avec l’avorteuse de paille. Afin de décrédibiliser le mouvement pro-choix, on invente un personnage sanguinaire, haïssant tout ce qui a trait à la naissance et à l’enfance, et on l’attribue à l’ensemble de ceux et celles qui militent pour le choix de chacune de disposer librement de son corps. »

On invente un personnage fictif, dont le discours est facilement critiquable, puis, on prétend que ce personnage est représentatif du mouvement que l’on souhaite démolir.

Merci de l’information. Nous on ne connaît pas ce procédé malhonnête, mais l’explication et l’illustration que vous en donnez est convaincante. Vraiment, votre caricature des pro-vie s'inventant des personnages maléfiques à combattre doit certainement faire peur à toute personne qui n’a jamais rencontré un pro-vie…

L’auteure continue :

Il faudrait rappeler à certains que “pro-choix”, ça veut précisément dire avoir le choix d’avoir un bébé, ou non. Nous ne sommes pas proavortement, nous sommes pro-choix. Les attaques mesquines et malsaines de certains médias et de leurs suiveux lambda ne sont rien d'autre qu'une tentative de contrôler ce choix, le choix d'UNE femme, et, ultimement, le choix DES femmes. »

Il faudrait rappeler à l’auteure que « pro-choix » signifie offrir un choix. Les seuls qui offrent une alternative à l’avortement, ce sont les pro-vie près des cliniques qui sont là pour aider matériellement et psychologiquement la femme qui veut avorter parce qu’elle affirme la plupart du temps « n’avoir pas le choix ». Les pro-vie offrent d’autres alternatives que l’élimination de l’enfant. Ils sont sur place et disponible pour référer les femmes aux centres d’aide aux femmes enceintes en difficultés. Les lobbys « pro-choix » n’ont qu’une action. Parler pour l’accès à l’avortement et aucune aide à offrir pour soutenir la femme qui aimerait pouvoir laisser la vie à son enfant. Voilà pour le « choix »

L’auteure continue :

« Je considère le mouvement anti-avortement comme étant fondamentalement antiféministe, puisque cela vise à empêcher les femmes à disposer de leur corps comme elles l'entendent. C'est un mouvement de contrôle sur les corps et les vies des femmes qui ne doit pas être confondu avec un amour de la vie - c'est un amour de la naissance, tout au plus, et encore là : de nombreux pro-lifers sont également opposés aux soins prénataux gratuits et accessibles.

Lorsque des “pro-vie” (entre guillemets de trois kilomètres) s’attaquent ainsi à la grossesse de Chelsea Clinton – ou de quiconque se déclare pro-choix, ils s’attaquent à leur droit d’avoir un enfant si elles (et ILS, ne l’oubliont pas) le désirent. »

Il faudrait que l’auteur explique encore ici ce qu’elle imagine lorsqu’elle parle de pro-vie opposé aux soins prénataux. Parle-t-elle des test servant à dépister les enfants atteints de trisomie 21 pour les éliminer? Comment pourrait-elle alors parler de « soins prénataux »…? L’auteur a raison de dire que nous nous attaquons au « droit » d’avoir un enfant selon le désir… Pour nous l’enfant est une personne à accueillir, et cette personne a des droits qui surpassent les « désirs » des parents. Le droit à ne pas être tué, par exemple, une fois qu’il est conçu.

Nous pourrions plutôt dire « Nous considérons le mouvement “pro-choix” comme étant fondamentalement anti-scientifique, puisqu’il vise à faire taire les données scientifiques sur l’enfant à naître pour défendre une idéologie féministe poussée à son extrémité. L’individualité de l’enfant à naître est déniée, son humanité refusée, parce qu’il gêne… C’est ainsi que les féministes “pro-choix” ne veulent reconnaître l’humanité de l’enfant que s’il est totalement sorti du sein de sa mère. C’est le type de dépendance à sa mère qui décide s’il est humain ou pas. À l’accouchement, un bébé qui a encore un pied dans le ventre de sa mère n’est toujours pas un humain et n’a aucun droit, alors qu’un prématuré à 21 semaines, parce qu’il dépend maintenant d’un incubateur, est lui considéré comme un humain.»

Pour s’attacher à un tel manque de cohérence, il faut être complètement obnubilé par une idéologie au point d’en perdre le jugement. Et il est effectivement très difficile de faire constater par une féministe pro-choix, les simples faits scientifiques…

L’auteure parle maintenant de CQV :

Et y’a la campagne Québec-Vie fait bon train. Cette organisation – ainsi que d’autres pro-vie – font pression auprès des divers paliers de gouvernement afin de restreindre l’accès à l’avortement, parfois avec succès, parfois non. Mais ils ne s’arrêtent pas là. Ça n’est pas qu’au sud profond de la Bible Belt qu’on peut connaître le bonheur de se faire agresser verbalement et de se faire intimider physiquement par des lunatiques à prière lorsqu’on désire avoir recours à l’avortement : chaque année, Québec-Vie organise un gros 40 jours de vigile – des prières et des moyens de pressions divers – aux portes de cliniques de planning familial choisies.

Difficile de trouver une aussi belle caricature illustrant le procédé décrit dans l’article :

on invente un personnage fictif, dont le discours est facilement critiquable, puis, on prétend que ce personnage est représentatif du mouvement que l’on souhaite démolir.

Si l’auteure de l’article avait assisté une seule fois au 40 jours pour la vie, elle aurait constaté que les participants se trouvent de l’autre côté de la rue, séparés par un boulevard St-Joseph très passant, de la clinique, et qu’ils ne peuvent donc pas parler aux personnes qui viennent pour se faire avorter. Il est vrai que nous avons l’occasion d’offrir notre aide verbalement en plus de nos pancartes proposant notre aide, à celles qui traverse la rue pour venir nous demander cette aide… C’est ainsi qu’à chaque 40 jours pour la Vie, des femmes prennent la décision de garder leur enfant, parce qu’elles ont rencontré des gens avec le cœur sur la main, prêts à leur venir en aide concrètement, ce qu’elle n’avait jamais trouvé dans le mouvement idéologique “pro-choix” préoccupé surtout de défendre une idéologie féministe, n’ayant pas le temps de s’occuper de couches…

Enfin l’auteur signe son article :

Je milite pour la justice sociale, l'égalité et le féminisme - des synonymes à mes yeux. Ayant suivi une formation en arts visuels, je poursuis mes démarches en recherche sociologique et j’écris présentement un livre sur l'itinérance qui sera publié prochainement chez VLB.

J’anime le tumblr LES ANTIFÉMINISTES – http://lesantifeministes.tumblr.com/
Pour me suivre : c’est Sarah Labarre sur Facebook et @leKiwiDelamour sur Twitter.

Nous, nous travaillons à offrir l’aide aux femmes enceintes en difficultés, pendant et APRÈS la grossesse, pour qu’elles trouvent le soutien nécessaire pour envisager la grossesse et l’éducation de leur enfant avec sérénité, ou qu’elles le confient ou donnent en adoption à un couple aimant en attente d’un enfant.

Nous, nous ne perdons pas de temps à inventer “un personnage fictif, dont le discours est facilement critiquable, puis, on prétend que ce personnage est représentatif du mouvement que l’on souhaite démolir.», comme l’illustre l’article de l’auteur…

Nous ne défendons pas une idéologie. Seulement une mère et son enfant.

Nous, nous nous retroussons les manches et nous aidons.

Laissez un commentaire