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Avant l’avortement qu’elle ne voulait plus, elle essaya de partir… elle fut maintenue jusqu’à la fin de l’avortement


Catherine Glenn Foster, présidente d'Americans for Life.

Par LifeSiteNews — traduit par Campagne Québec-Vie :

11 mars 2020 (Society for the Protection of Unborn Children) — Une femme qui avait été retenue par quatre personnes dans une lutte traumatisante, alors qu’elle tentait d’échapper à l’avortement, est devenue une militante pro-vie qui consacre sa vie à la lutte contre l’avortement.

Catherine Glenn Foster a subi un avortement traumatisant à l’âge de 19 ans. Mme Foster a maintenant 38 ans et est présidente et directrice générale de l’Americans United for Life, une association juridique pro-vie.

« Je luttais physiquement pour me lever de la table »

Mme Foster avait réalisé qu’elle était enceinte alors qu’elle étudiait à l’université. Elle n’en communiqua pas la nouvelle à ses parents et planifia un avortement.

Mme Foster dit : « Je n’aurais pas pu dire, c’est un enfant qui est en moi et c’est mal d’aller de l’avant avec ça. Rien de tout cela n’était clair, car j’étais en pleine crise, mais je savais très, très profondément en moi que c’était mal et que je ne devais pas être là. Je devrais quitter cette pièce immédiatement ».

Mme Foster affirme que lorsqu’elle a essayé de partir, le personnel lui a dit qu’elle n’était pas autorisée à partir.

Elle dit : « J’ai essayé, j’essayais physiquement de me lever de la table. Je me suis retrouvée avec quatre personnes qui me maintenaient, une après chaque bras, une après chaque jambe ».

Mme Foster raconte qu’elle cria, mais le médecin entrant dans la pièce commença l’avortement malgré sa lutte.

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Elle dit : « Ils m’ont gardé suffisamment immobile pour que cela puisse se faire de façon relativement sûre, je suppose. Et puis c’était juste fini ».

L’espoir après l’avortement

Mme Foster poursuivit ses études de droit et décida de consacrer son travail à la prévention de l’avortement et à protéger les femmes et filles des traumatismes qu’elle avait subis.

De telles histoires ne sont pas rares dans le mouvement pro-vie. Nombre de personnalités les plus importantes du mouvement pro-vie ont vécu des expériences similaires d’avortement et ont consacré leur vie à protéger d’autres personnes contre de tels préjudices.

Abby Johnson, qui a vécu sa propre expérience d’avortement, avait été une ancienne directrice d’une clinique d’avortement de Planned Parenthood, avant de devenir une voix puissante dans le mouvement pro-vie et d’établir un groupe de défense pro-vie qui aide les travailleurs de l’avortement à quitter cette industrie.

De même, Sara Geromin avait été fortement impliquée dans les manifestations de promotion de l’avortement au Brésil avec le groupe radical FEMEN. Après avoir subi un avortement, Sara Geromin souffrit de graves complications et faillit mourir d’une hémorragie. En 2015, elle donna naissance à un enfant. Cela changea tout pour elle. Elle avait été tellement affectée par cette expérience qu’elle écrivit un livre pour s’opposer à l’avortement. Elle y souligne : « Je ne veux pas que [les autres] vivent la même chose que moi. »



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