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À lire! Lise D'Amico : le courage de parler au nom des personnes dépendantes de l'État, contre l'euthanasie

À lire en entier sur le site du Journal de Montréal du 15 juin 2014 :

(Photo : Simon Leblanc sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

À 48 ans et avec un déficit moteur cérébral diagnostiqué à sa naissance, Lisa D’Amico connaît bien le système de santé, puisqu’elle y a grandi. C’est pour ça qu’elle se bat contre l’aide médicale à mourir.

«À mon âge je n’ai jamais pris de décision libre et éclairée», déplore Mme D’Amico.

(...)

«Quand j’étais mineure, les soins pédiatriques que je recevais étaient très envahissants, raconte-t-elle. Plus tard, quand j’avais été admise dans un centre de réadaptation, j’avais dû signer un formulaire de consentement, mais on m’avait expliqué que je devais accepter tout ou rien. Le consentement, c’est de dire la même chose que le personnel soignant.»

Quand on souffrira trop parce que le gouvernement ne veut pas payer pour le soulagement optimum du contrôle de la douleur que sont les soins palliatifs, la demande d'euthanasie sera considérée comme libre et éclairée, avec le plein consentement...

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