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"Avorter" les bébés déjà nés, la nouvelle étape demandée par des chercheurs en "bioéthique"

En un sens, ils ont une certaine logique. Ne voyant pas de différences entre un enfant à naître et un jeune enfant, ils ne voient pas pourquoi l'on pourrait tuer l'un et épargner l'autre. Si les "raisons" de tuer sont valables pour l'enfant à naître, elles devraient également l'être pour les jeunes enfants. Le site Genethique.org du 29 février 2012 nous apporte cette nouvelle:

Deux chercheurs en bioéthique, Francesca Minerva de l'Université de Melbourne et Alberto Giubilini de l'Université de Milan ont co-signé un article du Journal of Medical Ethics où ils plaident pour le droit de supprimer des nouveau-nés de la même manière que l'on peut avorter : "Nous affirmons que le droit de tuer un nouveau-né devrait être éthiquement permis dans toutes les mêmes circonstances que l'est l'avortement. Ces circonstances incluent les cas où les nouveau-nés [...] peuvent être un risque pour le bien-être de sa famille". Les chercheurs distinguent ensuite cet "avortement post-natal" de l'euthanasie, affirmant que l'euthanasie est l'acte de faire mourir quelqu'un dans son propre intérêt, tandis que l' "avortement post-natal" est celui de tuer dans l'intérêt des personnes impliquées et non dans celui du bébé lui-même.

Pour ces deux auteurs utilitaristes, "si des critères de coût social, psychologique ou économique pour des parents potentiels sont d'assez bonnes raisons pour avorter même si le fœtus est en bonne santé, [...] les mêmes raisons doivent pouvoir justifier l'avortement post-natal"

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