C'est bien connu. Quand on a ni talent, ni génie, et que l'on veut faire sa place dans le monde artistique, il reste le scandale.
La pièce de Castellucci ne ferait pas la première page des journaux à travers le monde si elle ne contenait pas une image du Christ que l'on attaquera de différentes façons.
L'auteur se dit catholique et se défend d'avoir voulu offenser quiconque. Il joue le rôle du naïf qui ne comprend pas la polémique, mais dont le portefeuille grossit à vue d'oeil proportionnellement à l'ampleur du débat.
Il y a différentes façons de réagir. Peut-être la meilleure serait-elle de ne pas faire débat, mais plutôt de faire réparation, de prier, organiser des veillées de prières non médiatisée et de supprimer la polémique si juteuse et rentable pour ces parasites du monde artisitque.
Il y a des moments ou le Christ fait silence devant les crachats, la bêtise et la violence humaine, et prie pour ses ennemis.
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