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Une infirmière raconte : Les bébés qui survivent sont abandonnés dans une cuvette où ils meurent en luttant pour respirer

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Note de Campagne Québec-Vie : L’intérêt du présent article est qu’il montre l’horreur de l’avortement et l’abandon dans lequel on laisse les bébés ayant survécus à l’avortement, sans aucuns soins. Cet article montre également que les sages-femmes peuvent perdre leur travail si elles refusent de participer à un avortement.

Par Becky Yeh (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie

Dans un rapport établi par l’American Center for Law (Centre américain pour la loi), une infirmière décrit les horribles épisodes, quand les bébés survivent aux avortements. Dans le document intitulé « Avortement tardif et infanticide néonatal en Europe », Mme Siv Bertilsson décrit comment ces bébés luttent pour respirer pendant 5 à 10 minutes.

Depuis qu’il n’y a plus de réglementation sur ce que devrait faire l’équipe médicale quand un bébé survit à l’avortement, ces enfants sont abandonnés dans une cuvette ou une bassine. Bertilsson décrit le traitement de ces enfants comme étant « inhumain ».

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« J’ai d’horribles souvenirs du temps où j’étais au service de gynécologie où je participais à des avortements tardifs, la plupart autour de 16 semaines, où le fœtus se débattait et essayait de respirer pendant 5 à 15 minutes. Parce qu’il n’y a pas de loi ou de règle sur ce qu’on devrait faire avec un fœtus qui lutte pour vivre, vous laissez le fœtus mourir dans une cuvette ronde ou dans une bassine. Horriblement inhumain, à mon avis. »

Bertilsson fait remarquer que les cas décrit ci-dessus « ne sont pas des évènements inaccoutumés ». Elle affirme que les enfants de 16 à 17 semaines qui survivent à l’avortement, lutteront pour leur vie pendant un certain temps.

« Et ceci n’est pas un évènement inaccoutumé. Approximativement 25% des 16 à 17 semaines survivent pendant un certain temps. Maintenant je suis remise à ça. J’avais décidé que jamais de ma vie je ne m’impliquerais dans cette corvée. Je suis maintenant forcée d’arrêter de travailler comme sage-femme ? »

Bertilsson décrit son combat comme sage-femme, sachant qu’il y a des lois qui protège les animaux de la cruauté, mais pas de réglementations exigeant des soins médicaux et la protection pour les survivants de l’avortement.

« Comment devrais-je agir ? Et si je suis forcée à me résoudre à faire ceci de nouveau, que devrais-je faire avec le fœtus quand il est vivant ? Je lis dans le Animal Welfare Act (Loi sur la protection des animaux) comment tuer les chatons, les chiots ou d’autres sortes d’animaux, et il y a des règles claires pour la façon dont l’euthanasie devrait être faite, d’une façon qui ne cause ni anxiété chez l’animal ni ne lui cause de douleur… »



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