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Une fulgurante sortie du placard

Je ne suis plus, depuis plusieurs années, un téléspectateur de nos insignifiants et ridicules téléromans québécois toujours très populaires auprès de notre bon peuple décadent. Je ne supporte plus et refuse de regarder ces téléséries de plus en plus abrutissantes qui mettent au premier plan les nouvelles valeurs de notre Québec postmoderne.

Dans le cahier Arts et Culture (on est très cultivé au Québec !) du journal La Presse du 21 janvier 2014, le journaliste spécialiste de la question, Hugo Dumas, nous annonce avec tambours et trompettes que notre télévision québécoise en 2014 vit et carbure maintenant au bienfait du lesbianisme.

«Les lesbiennes sortent enfin du placard à la télévision. Plusieurs séries et téléromans mettent en scène des couples de femmes. Il était temps, affirme M. Dumas, que nos réseaux de télé se déniaisent».

Il paraît que c'est du jamais vu au Québec de voir autant de personnages lesbiens. Ils pullulent au petit écran. Ce serait un très grand pas en avant au niveau de notre culture collective. Même les chaînes de télé spécialisées pour les ados regorgent cette année de lesbiennes.

Évidemment, après la très grande visibilité des gais à la télévision et au cinéma québécois depuis quelques années, il fallait bien qu'au nom de l'égalité, les femmes lesbiennes finissent par envahir elles aussi le petit écran.

Comme ce sont les cotes d'écoute qui font la loi, nous savons très bien que les producteurs, affamés de fric, vont pousser de plus en plus loin les limites du «montrable» et de l'acceptable, même si beaucoup de ces émissions dites familiales passent à des heures de très grande écoute. De toute façon, TOUT est devenu normal, banal et acceptable au Québec. Les scènes explicites de sexualité et de nudité dans nos téléromans, téléséries et cinéma québécois sont toujours au rendez- vous et font le délice du bon peuple qui en redemande encore plus.

Ah oui ! Je dois avouer que je suis une personne quétaine et arriérée! Mais, il y a un prix à payer pour avoir accepté de se vautrer collectivement dans cet univers sexuel où tout est permis, tout est accepté et tout est montré et proposé comme du succulent bonbon. Que les vedettes de notre télévision et cinéma québécois soient homos ou hétéros dans leurs rôles, je m'en fous.

Mais qu'on se serve de la télé et du cinéma pour nous en mettre plein les yeux de toutes sortes de situations où la sexualité est ratatinée à une inacceptable jouissance animale, où toutes les perversions sexuelles sont présentées comme banales et normales, où la nudité fait salle comble, où les valeurs traditionnelles de la famille et de l'amour humain sont bafouées et ridiculisées, et où le mal nous est présenté comme le bien, alors là je ne marche plus dans cette machination diabolique qu'on appelle la nouvelle et belle culture du peuple québécois.

Notre société malade est profondément contaminée par cette atmosphère hyper sexualisée. Dans le journal La Presse du 21 janvier 2014, on apprend que le gouvernement du Québec tire la sonnette d'alarme. Il va bientôt se pencher sur l'hyper sexualisation de nos jeunes enfants, adolescents et adolescentes.

On considère que l'heure est grave, car tout l'espace public est actuellement truffé d'images réductrices de la femme et de messages à connotation sexuelle en quantité industrielle. Nous serions d'après le gouvernement du Québec, en face d'une société hyper sexualisée ; cela a pour conséquence de détruire jusqu'à la moelle la santé psychologique, physique et sexuelle de nos jeunes.

Cette hyper sexualisation, socialement acceptée, aurait des effets pervers à tous les niveaux de notre société. N'est-ce pas cela la décadence ?

Nous récoltons ce que nous avons semé !

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