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Un professeur menace de mauvaise note une étudiante pro-vie : "Vous avez tort !"

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Par Kristi Burton Brown de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie

Rebecca Gonsalves était en 8e année lorsqu’elle regarda le film Silent Screan (Cri silencieux) sur Youtube et fait par l’ex avorteur, le Dr. Bernard Nathanson.

Je me souviens d’avoir vite sangloté et d’avoir pensé :  Et si c’était mon neveu ?  C’est à cette époque que j’appris que mon frère plus âgé s’apprêtait à devenir père alors que c’était une grossesse non planifiée, mon frère choisit la vie et eut un fils ; et les deux m’inspirent beaucoup dans le mouvement pro-vie.  Mon neveu est le plus grand cadeau que ma famille pouvait avoir et honnêtement, je ne peux imaginer ma vie sans mon neveu.  Je pense qu’il m’inspire à être pro-vie afin que d’autres familles puissent aussi expérimenter ce cadeau de la vie : et ce, même si c’est une grossesse difficile ou inquiétante, il reste que la venue au monde d’un être nouveau est le plus beau cadeau de la vie pour le monde.

Rebecca est maintenant étudiante collégiale et elle a dû récemment prendre son courage à deux mains afin de prendre position face à un prof qui lui ordonnait de ne pas lui remettre le travail de fin de session parce que c’était un projet pro-vie.   Par la suite, le directeur régional pour Étudiants Pro-Vie d’Amérique publia l’histoire de cette étudiante :

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Ce que je montre sur mes photos de ce projet : Je suis plus que ce que vous voyez….Je suis de la génération pro-vie…Je suis une féministe pro-vie….Et on ne me réduira pas au silence !

J’étais alors dans une classe de film et photographie et comme projet de fin de session, on nous avait demandé de créer un montage photo de soi exprimant l’idée de ce qui nous passionne.  Mais on doit tout d’abord bien sûr faire approuver l’idée par le prof, j’eus besoin d’aller le voir pour lui dire que j’éprouvais quelques difficultés à trouver l’idée de mon projet.  Il me dit de travailler sur ce qui me passionne et alors je lui fis part que ce qui me passionne c’est abolir les avortements parce que je suis très pro-vie mais, il refusa cette idée puisqu’il est en opposition avec et me trouve être dans le tort.   Et pourtant, c’est bien sur un sujet qui nous passionne que l’on doit créer ce projet et être pro-vie me passionne.  Mais lui de me répondre qu’il s’en fout et que si je lui remets un travail pro-vie que je n’aurais pas de bonne note ; alors je lui répondis que c’est discriminatoire.  Peu importe comment mon projet s’appellerait puisque c’est pro-vie bien c’est non recevable pour lui.  Alors j’allai rencontrer tout de go le directeur pour lui raconter ce qui venait de se passer.  Il me présenta des excuses et me rassura  en me disant que ça ne resterait pas comme ça, mais qu’il y aurait des répercussions majeures ; il me demanda de faire mon projet pro-vie et qu’il s’assurerait qu’il n’y aurait pas de discrimination contre mon travail.  Ce qui me motiva car je ne compromettrai jamais mes croyances pour une bonne note, puisque la bataille pro-vie est bien plus grande que cette note.

Rebecca relate ici sur ce qui lui donna la force de maintenir sa position en dépit des menaces.

Ce projet est un travail d’expression personnelle créatif et, mon professeur nous demande de le faire sur ce qui nous définit. Bien, être pro-vie me définit parce que je veux passer le reste de ma vie et vivre ma carrière dans le mouvement pro-vie.  C’était donc tout naturel pour moi de choisir ce sujet pour mon projet de fin de session.  Je fus estomaquée de voir qu’on ne pouvait accepter mon travail parce le prof ne partage pas ma vision, n’approuve pas mes opinions.  Jusque là, je ne m’étais jamais trouvée dans une situation discriminatoire et sur le coup j’ai pensé changer de sujet ; sauf que je sentis un fort malaise dans cette situation.  Il reste que le mouvement pro-vie dépasse tellement plus n’importe quelle note imaginable.  Je ne peux me compromettre en ce que je crois profondément, je crois ce que je crois et ce n’est pas un prof qui va changer ce que je crois.  Pour me montrer mais aussi au prof que je suis forte, bien je restai avec l’idée première du projet pro-vie.  Je ne reculerai pas devant lui ni devant qui que ce soit d’autre et encore moins juste pour une bonne note.

Même si ce n’est pas le cas, on devrait tous avoir son courage.  Cette étudiante illustre bien et justement comment on peut changer le monde afin d’instaurer dans la société la valeur de la vie, elle y réussit avec amour, en présentant la vérité et avec une passion et un courage qui refuse d’abandonner.  Mère Thérésa est une femme qui l’inspire beaucoup parce qu’à la face du monde, elle a mené un dur combat pour la vie et surtout dans sa manière de gagner les cœurs.

Elle s’est battue pour le mouvement d’une manière si douce, si bienveillante et si forte à la fois, que c’est comme elle que je veux œuvrer au sein du mouvement pro-vie.   Une phrase que cette sainte disait souvent et qui me motive est : C’est pauvre de décider qu’un enfant meure pour nous permettre de vivre comme on veut.  Cela m’inspire puisque les enfants sont le plus beau cadeau que la vie nous donne.  Je pense même que plusieurs personnes choisiraient la vie pour leur bébé si elles pouvaient se projeter dans l’avenir et voir tout le bonheur que cet enfant leur apportera.  Une autre parole qui m’inspire et me motive est de Martin Luther King Jr. : C’est toujours le bon moment de faire le bien, de faire quelque chose de bon.  Ça me motive à aller de l’avant dans le mouvement, mais aussi dans mon projet et de continuer de croire que de lutter contre les avortements est toujours la bonne chose à faire.

Rebecca désire partager quelques conseils aux étudiants, peu importe leur âge, et surtout s’ils font face à de l’opposition quand ils se battent pour les droits humains.

Je dirais à tous de ne jamais se cacher ni d’avoir honte de ce qu’ils croient.  Être pro-vie est des plus honorable et c’est une bataille nécessaire pour notre génération.  Car sans le droit à la vie de quel autre droit pourrait-on vivre avec plaisir ?  Si un prof ou qui que ce soit à l’école vous décourage, demeurez forts et allez chercher de l’aide si vous en avez besoin.  Moi j’ai eu à aller au directeur dans ma situation et j’ai eu aide et support.  Je pense que la meilleure chose à faire dans ce genre de situation est de faire preuve d’intelligence.  Alors ne soyez pas agressifs et ne proférez pas de menaces mais soyez respectueux et restez convaincus en ce que vous avez foi.  Souvenez-vous toujours que votre conviction d’être pro-vie vous appartient et personne ne peut vous l’enlever.

Rebecca changera le monde parce qu’elle ne se contente pas de croire en la beauté de la vie, elle démontre ses convictions en se battant autant seule qu’avec d’autres et ce, contre la violation du droit humain à la vie dans les avortements.  Alors que ce soit d’en parler à des étudiants sur le campus, de dire la vérité sur la Planification Parentale, de rester sur ses positions pro-vie même si le prof n’approuve pas.  Rebecca est en train de se mouler et de devenir une belle et brave guerrière qui se bat pour la vie, elle le démontre de manière active comme tant d’autres le font car vraiment les bébés sont le plus beau des cadeaux que la vie peut nous offrir.



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