Cela me semble simplement un moyen "d'assouplir" de "vielles lois dépassées" qui protègent des êtres humains sans défense.
Le juge de seconde instance, Ricardo Cardozo de Mello Tucanduva, a accepté le recours de la femme enceinte, estimant que l'article 128 du Code pénal sur l'avortement devait être interprété avec «souplesse» car il n'a subi aucun changement depuis 70 ans, selon Folha.
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