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Un exemple de désinformation d'avorteurs...

Sur le site du journal La Presse du 27 septembre 2012 :
 
(L'avorteuse Francine Léger, de la clinique Morgentaler)
 
 
 
 
Vingt-cinq ans après la décriminalisation de l'avortement, les tabous entourant cette pratique pourtant entièrement légale sont loin d'être tombés. Plus de trois Québécois sur quatre y sont favorables, mais certaines cliniques hésitent encore à diffuser leur adresse pour des questions de sécurité et de nombreux médecins refusent catégoriquement que la nature de leur travail soit rendue publique.
« Ils ont peur », affirme la Dre Francine Léger, qui pratique une journée par semaine à la clinique Morgentaler, à Montréal, devant laquelle manifestent des groupes antiavortement 120 jours par année. « Le fanatisme existe encore », dit en soupirant l'omnipraticienne.
La Dre Léger fait partie d'une poignée de médecins qui acceptent de parler aux médias. Les autres — ils seraient une centaine au Québec — ne veulent tout simplement pas qu'on sache qu'ils font des avortements.
 
Si la journaliste Gabriele Duchaine veut faire un travail plus objectif, elle peut consulter les services de police de la ville de Montréal. Elle pourra constater que ce qui inquiète les services de l'ordre, c'est bel et bien la violence des mouvements pro-choix qui ont à maintes reprises saccagé, intimidé et tenté de s'en prendre aux pro-vie. Les médecins proavortements aiment citer les quelques cas de déséquilibrés américains qui ont effectivement tué un médecin avorteur, pour faire un amalgame avec les pro-vie, qui jamais, jamais ne recommandent la violence. Ils oublient de dire que les pro-vie seuls sont fréquemment attaqués par des pro-choix hargneux, tels que la police québécoise les connaît. Et que les pro-choix ne reconnaissent pas la liberté de débattre, comme on l'a vu avec la motion M-312, ni ne leur reconnaît le droit de manifester.
Le sentiment de peur des avorteurs est compréhensible, il est intrinsèque au métier de tueur à gages. Même dans les pays où l’avortement est légalisé, un avorteur demeurera toujours avec ce doute à l’esprit : s’il y a un Dieu, est-ce que je paierai un jour pour tout le sang que j’ai versé?
Que les avorteuses Anne-Marie Messier et Francine Léger se rassurent. Nous sommes pro-vie et serons les premiers à leur venir en aide si quelqu’un voulait les agresser.
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