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Un ex gai : ‘L’homosexualité n’est qu’une fragilité humaine parmi d’autres’

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Avec le recul sur son passé, Bailey se rend compte qu’il a été retiré de ce qu’on peut appeler la « confusion sexuelle des comportements homosexuels » pour un éclairage sexuel dans son mental et son coeur.

Par Pete Baklinski de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie

Dean Bailey, 50 ans, n’a pas peur de dire à tous qu’il est la preuve vivante que ‘l’orientation sexuelle peut en fait être changée. Mais il préfère dire ‘restaurée’ plutôt que ‘changée’.

Bailey se rappelle comment déjà très jeune, il se sentait différent des autres garçons de son âge. Il ne se sentait pas dans peau, se trouvait gauche et pas à sa place. Il se souvient que son père alcoolique et amateur de pornographie ne lui a jamais porté attention ni égard. Bailey croit que ceci lui servit un motif pour se tourner vers d’autres mâles cherchant l’égard qu’il n’a jamais reçu de son père.

Bailey se rappelle que quand il était en 3è année, un nouveau garçon extraverti fit son entrée à l’école : il a tout entrepris alors pour devenir l’ami de celui-ci. Ce fut durant une nuit qu’il a passée dans la maison du garçon qu’il a été initié au jeu sexuel incluant exhibitionnisme et copulation orale. L’expérience non seulement lui a volé l’innocence de son enfance mais a éveillé en lui une curiosité sexuelle.

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Dès lors, Bailey est devenu préoccupé par les images d’hommes nus et des risques sexuels plus osés avec différents garçons. Comme il a grandi, ses actes sexuels impliquant d’autres garçons sont devenus source de réconfort pour lui en lui faisant croire qu’il était aimé et accepté mais aussi bien ces actes lui procuraient un bien être passager, autant il se sentait constamment vide et brisé à l’intérieur.  Très vite il est devenu dépendant des activités sexuelles.

Quand une écolière a refusé de sortir avec lui à l’adolescence, ça lui a suffi pour croire qu’il n’était pas normal.  Alors, quelques années après, une nuit sexuelle maladroitement passée avec une femme a semblé lui confirmer qu’il n’avait pas ce qu’il faut pour être un homme. Bailey était maintenant un jeune militaire. Malgré qu’il se soit marié entre-temps, il a continué à rechercher l’intimité des hommes et à expérimenter avec passion des attirances aux gens du même sexe que lui. Une rencontre intime non sexuelle avec un ami militaire qu’il admirait beaucoup, a fini par les conduire à des comportements homosexuels déclarés.

La rencontre a sérieusement affecté la relation dont jouissait Bailey avec sa femme auparavant puisque celle-ci ne pouvait plus désormais faire confiance à l’homme qu’elle a épousé.

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Dean Bailey, jeune militaire. 

Ayant expérimenté des actes homosexuels, Bailey se bat présentement en secret, avec des désirs homosexuels intenses qui ne pourraient être satisfaits autrement que par la chair, ou tel qu’il lui semble.  Les sentiments d’insécurité n’ont fait qu’intensifier ces tendances.

Ses expériences homosexuelles d’avant, l’ont conduit à chercher des réponses à ses insécurités au travers de rencontres homosexuelles ultérieures. Une descente aux enfers s’en est suivie comme Bailey essayait de satisfaire ses désirs, mais que plus il leur donnait satisfaction, plus il les voyait seulement grandir. Avec le recul, Bailey se rend maintenant compte à quel point il était devenu accroc aux actes homosexuels.

Bailey reconnaît que Dieu a agi avec puissance dans sa vie pour le sauver de lui-même, pour changer sa vie pour le mieux et l’amener finalement à se libérer des attirances homosexuelles. Dieu l’a conduit à travers un cheminement de confiance qui finalement l’a amené au cœur de Jésus-Christ. Là Bailey a connu l’amour, la reconnaissance et l’estime qu’il a toujours désirés.

Pour faire simple, dit Bailey, il s’est senti en amour avec Jésus. Il l’a connu par la prière et par la lecture de la Bible. Tout ce que Bailey voulait alors était de devenir plus comme Jésus, plus comme Christ. À mesure qu’il commençait à agir de plus en plus sur ce désir, Bailey a noté qu’une transformation s’opérait dans ses désirs sexuels. Les désirs homosexuels ont commencé par diminuer. Pour la première fois de sa vie, Bailey a commencé à se voir différemment, cette fois-ci à travers le regard d’un Sauveur qui, tel qu’il l’a réalisé alors, l’aime inconditionnellement.

Avec le recul, Bailey dit que maintenant, il voit qu’il a été extirpé de ce qu’il appelle la « confusion sexuelle des comportements homosexuels » pour une clarté sexuelle mentale et affective. Il a laissé derrière ce qu’il appelle l’ «atmosphère d’auto-tromperie, une image très négative de lui-même » pour une compréhension inébranlable de sa valeur et de sa dignité en tant qu’enfant bien-aimé de Dieu.

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Dean Bailey avec sa femme et ses filles Amber et Amanda. 

Bailey a écrit sur son cheminement complet dans son livre de 2011 intitulé «Au delà des zones grises». La plupart des livres sont disponibles en ligne sur son site web. Il parle publiquement de son combat contre l’homosexualité, racontant au public que l’homosexualité est une «dépendance et une addiction sexuelle», non une condition qui doit être socialement acceptée et célébrée. «C’est tout simplement une des nombreuses preuves de rupture de notre condition spirituelle humaine», dit-il aux gens.

Dans une entrevue avec LifeSiteNews au Texas où il vit avec sa femme Della et ses deux filles, collégiennes, Amber et Amanda, Bailey a parlé de ce qu’il a gagné en quittant l’homosexualité, le rôle que Dieu a joué pour sa délivrance sexuelle, de ses opinions sur la compréhension chrétienne de l’homosexualité et pourquoi des histoires comme la sienne, sont rejetées par l’opinion publique majoritaire.

Une version condensée de l’entrevue est ici:

LifeSiteNews: Qu’arrive-t-il  à quelqu’un quand il abandonne son identité de gai? Est-ce que ça en vaut la peine pour perdre ses amis, souffrir et changer complètement de direction?

Bailey: Quand on arrête de croire que ce sont les comportements homosexuels qui définissent une personne, on doit alors entreprendre de redécouvrir ce qui en fait définit son statut en tant que personne. On doit apprendre à embrasser et donner à ses idéaux humains supérieurs une plus grande valeur et signification en leur caractère propre et existence, plus qu’aux addictions homosexuelles qu’on a laissé dominer sa pensée et son raisonnement, dans le passé.

Tout cela en vaut-il la peine? Je répondrais « Oui, bien sûr! » Mais tout le monde ne serait pas d’accord avec moi.

Les activistes gais, par exemple, insistent avec véhémence que ce cheminement que j’ai entrepris est dangereux. Ils ont même manigancé pour faire passer en Californie et à New-Jersey, un projet de loi qui proscrit l’accompagnement de personnes voulant de l’aide pour se libérer de leurs comportements et addictions homosexuels.

J’admets librement que cette liberté que j’ai trouvée est un voyage qui pourrait durer une vie plutôt qu’une simple transition de juste quelques années courtes. « On ne s’est retrouvé du jour au lendemain dans ce pétrin et on ne devrait pas non plus s’attendre à s’en sortir de cette façon », dirais-je aux gens.

Je reconnais également que ce cheminement va causer des conflits internes, douleurs et des fois des malaises émotionnels, même quand on le choisit comme une voie, mais je crois qu’au bout, la restauration sexuelle est finalement un véritable choix de santé et non un choix dangereux. Rien d’une valeur extraordinaire n’est facile à obtenir après tout, alors c’est en connaissance de cause que j’appelle ce cheminement, une « restauration » plutôt qu’un changement ou une conversion.

Il n’y a aucun moyen de comprendre ou de prédire ce que ça coûte personnellement, les efforts et les sacrifices mis par tout individu jusqu’à ce que cette personne choisisse personnellement, par sa propre volonté, d’embarquer pour ce voyage. On ne devrait pas s’attendre que la Société fasse des accommodations pour ceux qui refusent par conséquent de faire ce cheminement et qui restent piégés dans le cercle vicieux de leurs propres comportements anormaux, ni qu’on interdise par la loi, aux parents responsables de rechercher une aide professionnelle à leurs enfants qui en auraient besoin et le désireraient désespérément.  La réalité de tout cet enjeu est que l’homosexualité est un mode de comportement dangereux et non une identité ou un « droit » de la personne.

On se demande souvent pourquoi les activistes gais essaient d’interdire les mesures de soins professionnels et l’accompagnement dans la quête d’une liberté vis-à-vis de comportements homosexuels indésirables, si vraiment ils adhèrent à la « tolérance » qu’ils prêchent? De quoi ont-ils peur en réalité? Je vous dirai que ce qu’ils redoutent le plus, c’est la rupture et la destruction des liens intérieurs qui forment le fondement de leur propre identité « gaie » et tout ce que le mouvement du « Droit des gais » a construit par-dessus. C’est pourquoi les activistes gais soutiendront que cette forme de comportement homosexuel anormal est «ce qu’ils sont». C’est le seul moyen pour eux de se rassurer dans leur erreur.

LifeSiteNews: À quoi une personne qui a laissé son style de vie gai, doit s’attendre dans les prochaines années? Qu’avez-vous gagné le plus?

Bailey: Je me vois différemment. Je vois les gens différemment et je vois le monde qui m’entoure tout à fait d’une manière différente. Ça ne veut pas dire que tout dans ma vie est maintenant rose et sans souci. Ça ne veut pas non plus dire que je ne ressens pas ces pointes de solitude et de dépression propres aux humains de temps à autre.

Je vois plutôt mes insécurités comme des faiblesses remarquables qu’on peut tout à fait comprendre et vaincre avec le temps, à la lumière de ma propre et véritable reconnaissance de mes faiblesses humaines personnelles. Maintenant je comprends que le comportement homosexuel n’est pas une réponse valable à la douleur que je peux ressentir en moi pendant les moments durs ou les bas.

Toute personne humaine passe à travers des défis et la douleur mais l’idéologie homosexuelle semble en déduire que ce défi particulier fait qu’une personne est différente de toutes les autres en quelque sorte, de presque la même manière qu’une personne souffrant de désordre bipolaire verra souvent le monde autour de lui comme le vrai problème – plutôt qu'elle-même – et choisira d’arrêter ses médicaments prescrits à cause de ce faux et tordu raisonnement. C’est de là que vient toute cette pensée d’ « identité gaie ».

LifeSiteNews: Votre cheminement semble inhérent à la découverte de la personne de Jésus Christ dans le christianisme. Les gens de cette culture auront tendance à vous rejeter comme un chrétien cinglé en tant que tel. Quel rôle Jésus a-t-il joué dans votre conversion d’attractions de même sexe? Pensez-vous que Jésus a un rôle à jouer dans la vie d’une personne qui cherche à rejeter son identité gaie?

Bailey: La plupart des gens suppose que comme je soutiens l’accompagnement et  « la thérapie de conversion » professionnelle comme une alternative à considérer dans ce cheminement, alors j’ai subi moi-même une sorte de thérapie mais ce n’est pas le cas. Jésus Christ a été mon accompagnateur dans tous les aspects de mon propre cheminement. Après tout, les Écritures qui nous parlent lui, le désignent comme « Le Merveilleux Conseiller ».

Dieu désire avoir une relation personnelle avec moi – avec chacun de nous – et de faire partie de chaque petit détail de notre vie, dans notre marche quotidienne et notre amitié avec lui. Le christianisme est une voie de Vie qui révèle Dieu comme étant un Père aimant qui se préoccupe à fond de tout ce que nous faisons en tant que ses enfants sur la terre.

Je reconnais que Jésus m’a relevé le moral pendant les bas de ce cheminement et m’a soutenu pendant ses hauts. Je reconnais que c’est lui qui m’a envoyé les bonnes personnes, juste aux bons moments pour qu’elles puissent m’aimer et me supporter le long de ce chemin.  Je reconnais que c’est lui qui m’a conduit aux bonnes places quand j’ai eu des questionnements et confusion intérieurs que je n’aurais pas pu vaincre juste avec la foi d’une simple prière de chrétien – pendant qu’on y est, je crois que Jésus veut connaître nos questions les plus profondes.

Le fait est que, je ne sais pas si j’aurais pu faire un tel cheminement sans Jésus à mes côtés pour m’aider à m’en sortir, et je chemine encore avec lui pour la vie malgré toutes les critiques que les gens choisiront de faire à propos de cette affirmation. Je dirai alors : Jésus a tenu la promesse qu’il a faite à ses disciples qu’il ne les abandonnera jamais dans cette aventure. J’ai pu me sentir seul des fois mais avec le recul, je réalise aujourd’hui que je n’ai jamais été seul.

LifeSiteNews: Comment percevez-vous maintenant l’enseignement des chrétiens/catholiques sur l’homosexualité? Est-ce que c’est haineux, discriminatoire? Est-ce que le chrétien est sectaire quand il dit qu’il aime une personne attirée par le même sexe mais qu’il déteste ce qu’il fait quand il agit selon ses pulsions?

Bailey: Si par discrimination on entend «être sélectif d’une façon à maintenir l’intégrité chrétienne de notre foi», alors oui, on est certainement «discriminatoire». En fait, je crois que nous sommes tous appelés à l’être de cette façon mais ce que nous ne sommes pas c’est haineux – et certainement pas quand les activistes gais nous accusent et insinuent régulièrement en eux-mêmes et devant le reste du monde que nous sommes haineux.

On vit dans un monde aujourd’hui où éviter les outrages a plus de valeur que le concept qu’on a de l’amour même mais c’est parce qu’on a perdu la compréhension biblique de l’amour et on pense à tort que si on aime vraiment quelqu’un alors on ne prendra pas le risque de le blesser, et plusieurs chrétiens «nés de nouveau» bien entendu, ont pris cette façon de voir du monde en faisant cette erreur dans leur raisonnement.

Les activistes gais savent tout ça, bien sûr, et jouent sur ça pour faire avancer plus loin leur mouvement. Ils demandent la «tolérance», par exemple, mais alors ils justifient leur propre intolérance véhémente envers les croyances et opinion chrétiennes, en comparant les croyances chrétiennes au sectarisme et en intentant des poursuites judiciaires pour obliger les entrepreneurs chrétiens à soutenir leurs évènements gais dans des manières qui violent leur foi et leurs croyances en l’éthique chrétienne des affaires.

Ce que font les chrétiens, c’est de montrer du doigt la vérité de notre nature humaine brisée et pleine de péché pas à travers des condamnations mais grâce à la profondeur de l’amour du Christ en nous. Les chrétiens peuvent regarder Jésus comme exemple. Est-ce que Jésus a cessé soudainement d’aimer la femme qui a été prise en flagrant délit d’adultère, par exemple, quand il lui a dit clairement : «Va maintenant et ne pêche plus!» (Jean 8 :11)? La vérité ne fera pas toujours plaisir à entendre ou à supporter mais ça ne fait pas de nous des sectaires en relevant l’évidence.

On a besoin de mieux comprendre ce qu’est vraiment l’amour biblique, et, en tant que chrétien, on a besoin aussi de proposer la solution. On peut juste dire, «l’homosexualité est un péché» et en rester là. Pour être honnête, je crois que chaque homosexuel sait déjà à l’intérieur de lui que ce qu’il fait est en contradiction avec «ce que» Dieu l'a créé pour être mais il a besoin qu’on le lui rappelle aussi bien que cette espérance véritable que le Christ offre également à chacun de nous quand nous nous tournons vers lui pour vaincre toutes nos blessures et faiblesses humaines, pas juste les blessures de l’homosexuel.

LifeSiteNews: Quelle est la chose que les chrétiens fervents doivent garder en tête en traitant de la question de l’homosexualité?

Bailey: Les chrétiens ont besoin de savoir que ceci n’est pas du tout un problème facile mais il n’y a aucune raison non plus d’avoir peur de s’y attaquer avec détermination ou directement. Cette idée de «vivre et laisser vivre» n’est pas la façon dont le Christ a aimé les gens. Il les engageait directement et il n’a jamais évité de parler des vrais «problèmes» qui les concernaient.

Pour ces gens comme moi qui voient la différence entre ce que nous faisions, ce que nous sommes et ce que nous désirons être, il y a une véritable culpabilité présente et la peur du rejet quand on se tourne vers les chrétiens pour de l’aide – pour nous aider et comprendre nos propres blessures et péchés à la manière de la bible qui laisse une personne se sentir aimée par le Christ au lieu d’être condamnée par ceux qui le suivent.

Les chrétiens devraient le faire en réalisant que l’homosexualité est juste une autre rupture humaine, juste comme nos propres ruptures individuelles de plusieurs façons. Il ne devrait pas avoir cette stigmatisation où c’est acceptable de parler de certains «péchés» ouvertement et de faire avec, tandis que pour d’autres choses comme l’homosexualité, non. Le Corps du Christ devrait être une place de délivrance pour les problèmes comme l’homosexualité, non une place de la peur.

LifeSiteNews: Pourquoi tant de personnes spécialement ceux engagées dans le style de vie gaie et celles qui représentent les média de gauche – détestent-elles entendre parler des personnes comme vous-même qui ont abandonné les attractions envers le même sexe? Ont-elles peur de quelque chose sur votre expérience? Quoi?

Bailey: Ce dont elles ont peur sur des personnes comme moi est que juste notre existence et notre crédibilité détruisent la fondation même de leurs propres croyances sur eux-mêmes et les raisons qui motivent leurs propres comportements immoraux.

LifeSiteNews: Qu’est-ce qui est vraiment selon vous au cœur de cette poussée vers le mariage homosexuel? Qui est derrière cette pression? Est-ce vraiment des personnes qui sont attirées par le même sexe qui luttent pour l’égalité ou est-ce que ce groupe est utilisé par quelqu’un d’autre pour un autre but?

Bailey: C’est clair pour moi que présentement un semblant de majorité des homosexuels croit et adhère à une idéologie qui leur fait croire à l’intérieur d’eux-mêmes qu’ils luttent pour une sorte d’«égalité» tordue quoique leur idée de l’égalité puisse être mieux décrite comme de l’homo-fascisme  par le fait que c’est devenu un programme d’acceptation et d’inclusion forcées dans notre société.

Spirituellement parlant, toutefois, je crois que Satan est la force trompeuse manipulatrice au bout et qui inspire pas juste l’aspect du mariage de leur programme mais aussi la déformation complète qui est mise en place  pour faire d’un comportement sexuel humain anormal, une cause de Droit civil.



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