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Un coup de fil déguisé révèle qu’une clinique d’avortement offre de tuer un bébé de 30 semaines: « Nous allons l’euthanasier »

avortements_tardifs.jpgBébé à naître vu par ultrason

Par LifeNews traduit par Campagne Québec-Vie

Il y a quelques semaines, une nouvelle enquête secrète a démontré comment il est facile dans l’État du Nouveau-Mexique d’avorter au troisième trimestre de grossesse un enfant à naître en bonne santé.

La ville d’Albuquerque du Nouveau-Mexique abrite l’une des dernières cliniques d’avortement des USA où un enfant à naître peut être avorté pendant toute la grossesse pour toutes sortes de raisons.

Il y a quelques semaines, un enquêteur opérant sous couverture a appelé Southwestern Women’s Options, le service d’avortements tardifs, afin de se renseigner sur la procédure d’avortement tardif d’un enfant à naître en bonne santé, rapporte CBC news. L’enquête a été menée par Priests for Life et Abortion Free New Mexico.

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Le 2 mai, l’enquêteur a appelé la clinique d’avortement tardif sous le nom de « Denise, » une jeune femme de 26 ans enceinte de 30 semaines et désirant avorter.

Denise raconta à l’employé de la clinique d’avortement qu’elle avait deux enfants et son mari venait juste de perdre son emploi. Elle lui dit que l’enfant avait été désiré, mais qu’il exerçait maintenant de la contrainte sur leurs finances et sur leur mariage et que « notre vie s’effondre. »

L’employé posa à Denise plusieurs questions sur sa grossesse, sa santé et sa vie; il lui décrivit ensuite la procédure d’avortement.

« Nous euthanasierons le fœtus le premier jour, » lui dit l’employé.

Le jour suivant, « nous dilaterons le col de l’utérus et nous déclencherons le travail; tu passeras donc par les phases du travail et de l’accouchement d’un fœtus mort-né. » poursuivit l’employé.

L’employé disait qu’il fallait que la femme prenne une semaine de congé en vue de la procédure.

Après avoir vérifié les informations de Denise avec l’avorteur, l’employé dit à Denise qu’ils pouvaient programmer l’avortement pour le 9 mai, exactement une semaine plus tard.

L’employé vérifia si Medicaid allait payer pour l’avortement de Denise et l’appel s’acheva sur cette note.

À la fin de la vidéo, le groupe fit remarquer : « Il est si facile de tuer un bébé de 30 semaines en bonne santé » dans l’État du Nouveau-Mexique.

Les groupes pro-vie ont déclaré qu’ils espéraient que l’enquête montrera comment « les avortements du troisième trimestre de grossesse sont réalisés et comment ils sont payés par les impôts, pour des raisons qui n’ont rien à voir avec la santé de la mère, le viol ou l’inceste, » rapporte CBN.

Le mois dernier, un enquêteur opérant sous couverture a également appelé pour l’avortement tardif d’un bébé à naître souffrant du syndrome de Down. Pendant l’appel, un agent du Southwestern a appris à la femme comment solliciter un avortement financé par le contribuable à travers Medicaid.

Selon le rapport :

« Tara Shaver dit que l’appel déguisé révèle ceci : “le mythe selon lequel les avortements tardifs ne se pratiquent qu’en cas de risque mortel pour la mère ou lorsque le bébé a été diagnostiqué d’une anomalie est très éloigné de la vérité. Notre dernier coup de fil a dissipé ce mythe avec preuves à l’appui que dans l’État du Nouveau-Mexique, il est facile d’accéder aux avortements tardifs.”

Elle ajoute, “Les Néo-Mexicains ont le droit de connaître la vérité concernant le mal qui a cours dans notre État, et nos responsables doivent se battre pour changer le fait que le Nouveau-Mexique est la capitale nationale de l’avortement tardif.” »

Lors d’un précédent coup de fil déguisé, Mme Shaver a raconté à Southwestern Women’s Options qu’elle était enceinte de 33 semaines d’un bébé souffrant du syndrome de Down. La femme qui a répondu au téléphone l’a assurée qu’elle pourrait se faire avorter et que Medicaid supporterait les coûts.

Les vidéos confirment ce qui a été dit par les avorteurs eux-mêmes. Plusieurs praticiens de l’avortement tardif ont avoué que les femmes ont des avortements tardifs pour des raisons « purement personnelles ».

Le Père Frank Pavone de Priests for Life déclare : « Chaque avortement est un scandale et nous devons protéger chaque bébé. Dans le but d’éduquer nos compatriotes, commençons par la partie la plus évidente et la plus scandaleuse de cette histoire : des avortements tardifs d’enfants en bonne santé effectués sur des mères en bonne santé et financés par le contribuable. »

Fait notable, une commission du Congrès des USA a récemment recommandé qu’une enquête criminelle soit ouverte contre Southwestern, pour avoir enfreint les lois fédérales et celles de l’état. La commission a trouvé des preuves de potentielles infractions impliquant la clinique d’avortement tardif dans la manipulation des parties de corps des bébés avortés. L’affaire a été transférée au bureau du Procureur Général du Nouveau-Mexique pour une enquête plus poussée.



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