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Des triplés miraculés fêtent leur premier anniversaire après que le docteur de leur maman lui ait dit d'avorter deux d'entre eux

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Par Sarah Zagorski de LifeNews - traduit par Campagne Québec-Vie

En Angleterre, une femme qui refusa l'avortement se prépare à célébrer le premier anniversaire de ses triplés. En 2014, on a dit à Liz Brewer qu’il était improbable que ses enfants survivent à moins qu’elle n’en tue deux pour en sauver un. Cette pratique est connue comme « une réduction sélective » et est commune quand une femme conçoit par fertilisation in vitro. Toutefois, Liz conçut naturellement après avoir souffert deux fausses-couches. Brewer donna naissance à des jumeaux quelques années avant d’être enceinte de triplés mais un d’entre eux mourut 16 jours après sa naissance.

Tel que LifeNews l’avait auparavant rapporté, la technique générale utilisée pour la réduction sélective consiste à plonger une aiguille remplie de chlorure de potassium dans le cœur du bébé visé. Peu de temps après que le produit chimique pénètre le cœur du bébé, le bébé cesse de bouger et son cœur s’arrête. Ce type d’avortement est pratiqué de 9 à 13 semaines de la grossesse pour s’assurer que les corps des bébés morts soient dissous et dans certains cas, le bébé se déplace avant de mourir.

Dr Mark Evans, un avorteur célèbre pour ses avortements de réduction sélective, admet que cette méthode réduit les chances de survie des autres bébés de 7% à 22%. Il a aussi dit que la fausse-couche est probable dans les grossesses multiples même après « réduction ».

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Liz en a dit plus au journal The Daily Mail au sujet de sa grossesse de triplés.

Elle a dit, « J’ai eu une échographie à cinq semaines et ils ont pensé que c’était une grossesse extra-utérine à cause de la douleur que je ressentais, mais j’étais heureuse d’apprendre qu’il s’agissait de jumeaux. Deux semaines plus tard, nous sommes retournés pour une autre échographie et j’ai dit à la dame qui l’a faite que j’avais toujours eu le sentiment que j’aurais des triplés, mais je savais que tout irait bien puisque c’était des jumeaux à nouveau. Elle se retourna et dit ‘C’est drôle que vous me disiez cela, car je pense qu’il y en a un troisième et je dois aller chercher quelqu’un pour le vérifier.’ Elle me laissait moi et mon mari tout étonnés dans la pièce, mais nous ne pouvions nous empêcher de sourire à ce miracle et comment c’était fabuleux. »

Remarquablement, Liz portait une paire de jumeaux identiques issus d’un seul œuf et un bébé séparé. La grossesse était inquiétante pour la famille de Liz parce qu’elle avait souffert de grandes pertes sanguines à 13 et 16 semaines et ils crurent qu’elle allait faire une autre fausse-couche.

Elle expliqua, « Il y avait une forte chance que le bébé séparé soit atteint du Syndrôme de Down et le test devait avoir lieu ce jour-là. J’avais une forte perte sanguine la nuit précédent le test. J’aurais pu perdre tous les bébés si j’avais eu l’amniosynthèse, mais on aurait dit que c’était mon corps qui me disait de ne pas l’avoir. Ils m’ont offert une réduction sélective pour avorter les jumeaux et garder le bébé à haut risque de Down. Ça vous fait penser soudainement quand on met les bébés à risque. Si je donnais naissance à 25 semaines, seraient-ils tous capables de survivre? »

Apparemment, les docteurs de Liz lui demandèrent aussi si elle se croyait capable d’élever des triplés. Elle dit, « Ils demandèrent si je serais capable d’endurer trois enfants, mais ce n’est même pas quelque chose qui nous traversa l’esprit. Je ne pouvais pas lâcher, j’étais bénie avec trois enfants. »

Liz dit que les triplés sont nés en bonne santé à 34 semaines et qu’ils l’ont aidée à guérir de ses fausses- couches précédentes et de la mort d’un de ses fils. Elle expliqua, « Ce fut une fin extraordinaire à nos grossesses et ça nous a aidé à guérir. Nous n’oublierons jamais notre garçon premier-né mais les triplés nous ont permis de connaître une fin vraiment différente de notre histoire et nous savons que nous ne les aurions jamais eus si nous n’avions pas perdu notre fils. »

Elle conclut, « Nous avons eu deux petits garçons et une fille, laquelle a été un choc parce que nous avions assumé que nous aurions trois garçons de plus. Tous les bébés vinrent à l’étage des naissances avec nous, mais plus tard cette journée-là le taux de sucre de Deacon diminua et il dut être placé en soins spéciaux. Il y passa sept jours et ensuite vint nous retrouver. Nous sommes partis ensemble pour la maison et ils ont tous adhéré à l’allaitement naturel. »



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