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Rapport: Des docteurs ont tué un nouveau-né ayant le syndrome de Down

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Par Sarah Terzo (LiveActionNews) - traduit par Campagne Québec-Vie

Dans un rapport du Centre Européen pour la Loi et la Justice appelé ''Avortement en fin de grossesse et infanticide néonatal en Europe,'' une docteure donne un témoignage vécu d'infanticide. 

La docteure, identifiée comme Mme D.F., a été appelée dans une salle et on lui a demandé son opinion à propos d'un bébé qui venait de naître. A cette époque, elle était interne en pédiatrie dans un hôpital achalandé: 

Le pédiatre senior de garde m'a appelée et me demanda de le rejoindre dans la salle de réanimation néonatale adjacente aux salles d'accouchement. Un enfant nouveau-né y était intubé et ventilé. L'enfant présentait de multiples symptômes d'un enfant atteint du syndrome de Down (aucun de ces signes n'avaient été détectés lors des ultrasons prénataux). Mon patron me demanda de lui dire ce que je pensais des particularités de ce bébé. Après ma réponse, il demanda à l'anesthésiste présent si on avait des restes de produit d'épidurale de la mère, ce qui était le cas. Il le prit et en injecta à l'enfant qui mourut tout seul en une ou deux minutes. Au moment où l'enfant étendu mourait, les deux docteurs parlaient, sans aucune gêne ni égard pour ce bébé. Quant aux parents, ils furent informés de l'état de santé de leur enfant après sa mort!

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Est-ce que ce bébé aurait survécu si on lui avait administré des soins médicaux? Il n'y a aucune façon de le savoir. Mais il est clair que les docteurs ont pris la chose en mains et n'ont donné à ce bébé aucune chance de vie. Si cet enfant avait manqué de signes d'incapacité, l'aurait-t-il tué? Tristement, il y en a plusieurs dans la profession médicale qui ne donnent pas de valeur aux personnes affectées du syndrome de Down. 

L'auteur pro-choix Rayna Rapp, qui a avorté elle-même d'un enfant ayant le syndrome de Down, écrit au sujet de plusieurs cas de ce type dans son livre Tester les femmes, tester le Foetus: L'impact social de l'amniosynthèse en Amérique. Dans un cas semblable, une mère vient de donner naissance à un enfant ayant le syndrome de Down. Encore une fois, la condition du bébé n'a pas été détectée avant la naissance. La mère du bébé raconte l'histoire: 

Elle était petite, mais elle était spéciale, elle était la chose la plus jolie. Puis mon mari arrive, il avait l'air étrange et dit immédiatement, ''Le bébé, quelque chose ne va pas...'' Et tout ce que je pouvais penser était qu'elle était aveugle, je suppose que c'était là le pire que je pouvais imaginer. Mais le docteur venait de l'appeler pour lui dire que Rosa était mongole. Nous avons mis une demie-heure pour le lui faire avouer, et il ne pouvait terminer l'histoire, alors le docteur se présenta et dit, ''Ce que votre mari a dit est exact.'' Il était, comme déçu de cette situation, très négatif. Il a dit: ''La seule bénédiction est qu'ils n'ont pas tendance à vivre très longtemps.'' Ainsi, il pensait que ce serait une bonne chose si notre bébé mourait. Que dire de plus? 

Rapp cite une deuxième mère qui a donné naissance à un enfant avec le syndrome de Down: 

Ainsi, ils ont diagnostiqué Amelia tout de suite, sur la table de naissance. Elle était à peine sortie, j'ai à peine eu la chance de retrouver mon souffle et de m'émerveiller de la naissance de mon premier bébé, quand le docteur nous dompa dessus avec ses mauvaises nouvelles. ''Elle a le syndrome de Down,'' nous dit-il froidement. Et après il nous a dit quant au test sanguin, les confirmations, et tout le tralala. Nous lui avons dit, ''Mais qu'est-ce que cela veut dire? A quoi pouvons-nous nous attendre?'' Aussi froidement, il ajouta: ''N'attendez pas grand' chose, peut-être grandira-t-elle en tant qu'opérateur d'élévateur.'' Nous nous sommes serrés l'un l'autre et nous avons pleuré. 

Les docteurs qui ont injecté le premier nouveau-né avec les drogues (mentionnées plus haut) ne donnaient clairement aucune valeur à l'enfant.  Ils l'ont exécuté sans donner signe de plus de conscience qu'une personne qui écrase une araignée. 

Il n'y a eu aucune reconnaissance de la valeur du bébé en tant qu'être humain ou de son droit à la vie, et les parents n'ont pas eu la chance de voir leur bébé ou de le tenir dans leurs bras alors qu'il était vivant. Cette exécution insensible d'une personne handicapée rappelle ces docteurs de l'Allemagne nazie qui allaient dans les maisons d'enfants handicapés et en tuaient les résidents, des années avant que l'on établisse les camps de concentration. 

Avec si peu de considération pour l'enfant nouveau-né, comment ces docteurs verraient-ils un adulte affecté du syndrome de Down, ou tout autre handicap cognitif, qui viendrait les consulter pour être aidé? Quelle sorte de soins médicaux accorderaient-ils à un patient âgé affecté du même syndrome qui serait malade ou blessé? 

Ces docteurs se prennent pour Dieu et prennent la vie d'un enfant handicapé. Quoique personne ne puisse dire si cet enfant aurait survécu, l'insensibilité de ces docteurs est effroyable.



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