(Photo : Pixabay, Public Domain CCO)
C’est un terme devenu interdit au Québec, sous la dictature de la pensée unique. Pourtant, dans la majorité des pays libres, le terme est toujours utilisé.
Par exemple, un tout récent manuel de bioéthique paru en 2012, ne craint pas de le reprendre :
« On définit comme déviations ces situations dans lesquelles le sujet choisit un « objet » d’amour qui dévie de la normale » (SGRECCIA, Elio. Manuel de Bioéthique T.2 Aspects médico-sociaux, éd. Mame/Desclée, Paris, 2012, p.155)
Et d’identifier ces déviations, que l’auteur distingue des perversions sexuelles :
-Le transexualisme
-Le Travestisme
-La Bisexualité
-L’Homosexualité
Les scientifiques peuvent se permettre d’utiliser « scientifiquement » le langage en utilisant la définition même du mot et non pas ce qu’il représente à l’esprit des gens.
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