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Une infirmière gagne son combat: elle pourra refuser de participer à des avortements

Sur le blog de Jeanne Smits du 23 avril 2012, on trouve cette information:

 

 

 

Une infirmière catholique britannique vient d'obtenir gain de cause à l'occasion du procès qu'elle a intenté à son employeur, une institution du National Health Service (NHS) des Midlands qui voulait la contraindre à travailler dans une unité d'avortement attachée à l'hôpital où elle exerce sa profession. L'infirmière, dont l'identité n'a pas été divulguée, s'est appuyée sur la clause de conscience de la loi d'avortement britannique. L'affaire tournait autour de la définition des types d'action auxquels les objecteurs de conscience pour des motifs religieux ou philosophiques peuvent refuser de coopérer.

L'infirmière avait été menacée de licenciement si elle refusait de travailler dans l'unité d'avortements au moment où son contrat venait d'être augmenté de 15 à 30 heures hebdomadaires.

Elle avait refusé au motif de sa conviction que la vie commence dès la conception et qu'elle ne voulait pas remplir ses obligations professionnelles en travaillant dans un service voué à la pratique de l'avortement : « C'est une forme de meurtre, pour être franche. C'est ainsi que je vois les choses. »

Le procès n'a pas atteint le stade de l'audience judiciaire, puisque l'avocat de l'infirmière, Neil Addison, spécialisé en affaires de discrimination religieuse, a mis en garde le NHS local sur le fait qu'il risquait d'être condamné à ce titre, ainsi que pour harcèlement, s'il menaçait son employée de voir sa carrière brisée. Et le NHS a préféré reculer.

 (source Lifesitenews)

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La cour européenne des droits de l'homme doit se prononcer: l'eugénisme est-il le nouveau "droit" de l'homme "parfait"?

Sur le site de gènéthique.org du 23 avril 2012, cette nouvelle:

 

 

 

Prochainement, la Cour Européenne des Droits de l'Homme (CEDH) de Strasbourg va devoir se prononcer dans le cadre de l'affaire Kruzmane contre Lettonie (Cf Synthèse de presse Gènéthique du 05/04/12). Dans cette affaire, "la Cour Européenne des Droits de l’Homme a été saisie pour statuer sur un droit fondamental à recourir à 'la procédure de dépistage et d’élimination prénatale des enfants malades ou handicapés' ". Il s'agit de savoir si l'eugénisme "pourrait être considéré comme un [droit de l'homme]".

Face à ce grave enjeu, "les associations et familles de personnes trisomiques à travers toute l’Europe en appellent au soutien et à la mobilisation de tous les citoyens européens". Plusieurs organisations européennes déjà co-signataires (espagnole, irlandaise, allemande, française (Fondation Jérôme Lejeune), polonaise, croate, lettone, ukrainienne...etc) se mobilisent pour la première fois, ensemble, contre cette éventuelle décision qui viendrait "non seulement aggraver violemment la stigmatisation des personnes handicapées, mais aussi généraliser et ériger en droit de l’homme le processus de sélection et d’élimination des personnes jugées 'non conformes' ".

Ces associations, réunies sous le label "stopeugenicsnow" émettent une déclaration en ligne afin de demander "à la Cour de réaffirmer le principe de l’interdiction de l’eugénisme ainsi que l’obligation des Etats de protéger la vie de toute personne, y compris celle des personnes handicapées avant leur naissance".
Les signataires de cette déclaration, associations ou particuliers, rappellent que "c’est l’élimination systématique des enfants trisomiques en Europe qui constitue une vraie violation des droits de l’homme, et non que certains d’entre eux aient échappé à cette sélection."

 

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Euthanasier les handicapés mentaux? On en parle en Belgique...

Pendant que la Commission "Mourir dans la dignité" revient enchantée de son voyage en Belgique et en Hollande et propose de suivre leur modèle, ces pays sont déjà passés aux discussions sur la prochaine étape: euthanasier même des personnes ne pouvant donner leur consentement. Non, nous dirons nos commissaires québécois, il n'y a pas de dérives dans ces pays et pas de pentes glissantes... Un article paru sur le site de Jeanne Smits du 21 avril 2012:

Cela reste à l'état d'idée jetée dans le débat public mais c'est bien ainsi qu'ont été accomplies toutes les avancées de l'euthanasie : en Belgique, la Humanistisch Vrijzinnige Vereniging (Association des libres penseurs humanistes) vient de suggérer que les mineurs et les handicapés mentaux puissent avoir eux aussi accès à l'euthanasie. Au nom de l'égalité des droits. Sa présidente, Jacinta De Roeck, s'est exprimée en ce sens à l'occasion de la Journée du patrimoine à Anvers (on se demande bien pourquoi).

Et ce ne sont pas des paroles en l'air, puisque Mme De Roeck était précisément l'un des députés qui en 2002 avaient pris l'initiative de légaliser l'euthanasie en Belgique.

Elle a précisé qu'aucun projet législatif n'était actuellement à l'ordre du jour ni même prévisible à court terme, mais ce qui ne se fera pas pendant l'actuelle législature, estime-t-elle, devrait devenir possible lors de la prochaine. Parce que « la demande est forte ».

Une telle évolution est dans la logique des choses, estime la militante « humaniste », pour qui l'ouverture de l'euthanasie aux mineurs, qu'elle attend, amènera forcément à légaliser l'euthanasie pour les « déments », et les malades de l'intelligence qui sont souvent considérés en Belgique comme des « mineurs prolongés ». « Ces gens-là regardent aussi la télévision, ils lisent aussi les journaux et tombent aussi malades. Par leurs accompagnants dans les institutions, je me suis laissée dire que la question de l'euthanasie y surgit aussi. »


Eh oui, la propagande médiatique atteint aussi les handicapés…

Cette évolution a déjà eu partiellement lieu aux Pays-Bas où les mineurs de 12 à 15 peuvent obtenir l'euthanasie avec l'accord de leurs parents, les 16-17 ans pouvant se contenter de les consulter. L'euthanasie pour les personnes en voie de devenir démentes est également acceptée, et une première procédure sur une personne incapable de donner son consentement éclairé a été déclarée conforme à la loi l'an dernier.

La nouveauté belge consiste à vouloir franchir les étapes du voisin néerlandais mais d'y ajouter des personnes dont l'intelligence-même est affectée, et qui n'ont donc pas du tout la capacité de juger en pleine liberté et connaissance de cause. Contredisant directement la formulation actuelle de la loi belge qui exige cette capacité pour agréer une demande d'euthanasie.

Ce sera difficile, bien plus difficile que pour les mineurs et les déments, reconnaît Jacinta De Roeck. Et c'est bien pour cela que de façon consciente et organisée, elle a mis le sujet sur la table dès maintenant. « Les hommes politiques doivent être prêts à y penser, à aller écouter ce qui se dit dans les institutions, parler avec les intéressés eux-mêmes. Nous devons être prêts », a-t-elle déclaré.

On lui a bien sûr opposé l'exemple de l'époque nazie. Et elle avoue que l'affaire est délicate. « A cette époque-là on utilisait aussi le mot “euthanasie”, mais les gens qu'on tuait à cette époque-là n'étaient pas demandeurs. C'est une grande différence. »

Au XXIe siècle, on saura bien les persuader qu'ils ont envie de mourir !
 

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La fondation Bill et Melinda Gates favorable au contrôle des populations

Sur le site de C-FAM du 20 avril 2012, on retrouve cette information:

 

 

 

 

NEW YORK, 20 avril (C-FAM) Melinda Gates, coprésidente de la Fondation Bill & Melinda Gates est de confession catholique. Pourtant, elle a demandé aux gouvernements de mettre de coté le lien controversé qui est fait entre la contraception et le contrôle des populations. Ce faisant, elle a explicitement rejetté la doctrine sociale de l’Eglise. Son discours est celui de la campagne de cette Fondation financée à hauteur de milliards de dollars et intitulée « NoControversy ». La campagne a pour but faire de l’accès universel aux moyens de contraception une priorité dans les pays en voie de développement.

 Dans un discours prononcé à la Conférence TedxChange à Berlin, Mme Gates affirmait que la question de la contraception avait malencontreusement été associée au contrôle des populations, à l’avortement, et au péché mortel. Elle a insisté que ces questions étaient des « problèmes secondaires » qui avaient été attachées à l’idée de base selon laquelle les hommes et les femmes devraient pouvoir décider de quand ils veulent avoir un enfant »

Cependant, Mme Gates a elle-même admis que pendant des années, le contrôle des populations et la contraception ont été appliqués en parallèle dans les pays en voie de développement. Par exemple, dans les années soixante, l’Inde avait inclues dans ses «programmes de planning familial de malheureuses mesures incitatives et contraignantes ». Dans les années 90, les femmes indigènes péruviennes avaient été « anesthésiées et stérilisées sans le savoir ».

Bien que ces pratiques coercitives ne soient plus bien considérées aujourd’hui, il devrait être bien difficile pour des organisations telles la Fondation Gates de complètement séparer leur propre campagne de contraception de la question du contrôle des populations.

Dans sa Lettre Annuelle pour 2012, la Fondation Gates établit un lien direct entre une augmentation de la population « non durable » et la pauvreté, et présente la contraception comme un instrument essentiel pour faire en sorte que « la croissance des populations de pays comme le Nigeria soit significativement inférieure aux prévisions. »

Le contrôle des populations s'exerce toujours en Chine et dans plusieurs autres pays de la planète.

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Débat sur l'humanité de l'enfant à naître, aux Communes ce jeudi 26 avril 2012

Le site pieuvre.ca du 23 avril 2012 résume ainsi la situation:

En relançant le débat sur les droits du foetus cette semaine aux Communes, le député conservateur Stephen Woodworth défiera non seulement les ténors de son propre parti, mais remettra sur la sellette des questions que certains croyaient classées.

Stephen Woodworth

La question au centre de la motion 312 du député de Kitchener-Centre est la suivante: « Quand le foetus devient-il un être humain? »

En droit au Canada, le foetus n’existe pas comme personne. L’article 223 du Code criminel canadien stipule qu’un enfant doit être vivant et entièrement sorti du corps de sa mère pour être considéré comme un être humain.

Selon M. Woodworth, une étude approfondie de la question pourrait prouver que «les enfants sont en réalité des êtres humains à un certain point avant le moment de la naissance complète».

Le député pro-vie refuse de spécifier à quel moment, selon lui, un foetus devient un humain, mais il laisse entendre que cela serait clairement avant sa naissance. Or, cette distinction est un fondement du droit à l’avortement.

D’autant plus que le député convient "qu’une fois qu’on aura décidé si un enfant à naître est un être humain, alors nous pourrons avoir une conversation honnête sur toutes les autres questions".

La volonté de M. Woodsworth de changer cette situation heurtera donc de plein fouet les revendications du mouvement pro-choix.

La perspective de l’éthicienne Margaret Somerville de l’Université McGill le fait tout autant. La chercheuse a longuement écrit sur les dérives de l’avortement sélectif contre le sexe ou la présence d’une maladie. Elle est convaincue du bien-fondé de la tenue d’un débat de fond sur les droits du foetus au Canada.

Selon Mme Somerville, »un enfant qui n’est pas né, a besoin d’une certaine forme de protection ». Elle fait valoir que le Canada est le seul endroit au monde où il n’y a pas de limite au nombre de semaines de grossesse pour pratiquer un avortement.

Il va de soi que la motion du député Stephen Woodworth, de par les enjeux qu’elle soulève, va faire couler beaucoup d’encre cette semaine à Ottawa. La question de l’avortement est un sujet épineux chez les conservateurs. En effet, plusieurs membres du caucus et leur base s’affichent ouvertement pro-vie.

Le NPD et le Bloc québécois accusent le premier ministre Harper d’avoir été au courant de la démarche du député.

Le chef libéral intérimaire Bob Rae ne voit pas d’un bon oeil le fait de grimper aux rideaux pour une motion qui est, à son avis et celui de plusieurs analystes de la scène politique, vouée à l’échec.

N’empêche que Stephen Harper avait promis de ne pas rouvrir le débat de l’avortement lors de sa dernière campagne électorale.

Et c’est exactement ce que son député va faire jeudi à la Chambre des Communes.

Un député courageux qui mérite tout notre soutien!

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À partir du 1er juillet 2012, l'échographie est obligatoire en Virginie avant un avortement!

Sur le site de Yahoo du 20 avril 2012, nous avons cette heureuse information:

 

(Rosemary Codding du "HealthCare" Center)

 

A partir du 1er juillet, les femmes souhaitant avorter en Virginie, dans l'est des Etats-Unis, devront subir une échographie et se voir proposer de regarder l'image du foetus: les féministes s'insurgent de cette mesure et dénoncent une "insulte" faite aux femmes.

"C'est tout simplement une insulte faite aux femmes et aux médecins", dit à l'AFP Rosemary Codding qui dirige le Falls Church HealthCare Center à Falls Church, en Virginie.

"C'est une intrusion totale du gouvernement dans le cabinet médical, avec un seul objectif, continuer à faire honte aux femmes et les rabaisser", dit la directrice de ce centre de santé pour les femmes qui réalise un millier d'avortements par an.

En vertu de la loi votée pour "aider les femmes à prendre une décision bien informée", la Virginie fera partie des huit Etats américains qui obligent une femme désirant un avortement à passer une échographie la veille de l'avortement, et qui impose à son médecin de lui proposer de voir l'image du foetus et d'entendre les battements de son coeur pendant que lui-même le décrit.

Presque partout, la femme pourra refuser la proposition --mais pas l'échographie elle-même-- sous réserve de le stipuler par écrit.

Au Texas toutefois, toutes ces contraintes, déjà en place, sont obligatoire. (...)

Car les droits des femmes concernant l'avortement sont dans la ligne de mire des législateurs depuis quelque temps aux Etats-Unis.

Le Guttmacher Institute recense ainsi une batterie de réglementations restreignant et compliquant l'accès à ce droit accordé il y a 39 ans au niveau fédéral. 32 Etats refusent par exemple que l'avortement soit remboursé par des fonds publics, 46 autorisent les établissements de santé à refuser de le pratiquer et 19 ont légiféré sur les "conseils" à donner aux femmes sur les risques de cancer du sein, de souffrance du foetus ou de dépression en cas d'avortement.

Parce que la réalité est horrible, les groupes "pro-choix" font tout pour la cacher. Ces échographies devraient être expliquées et diffusées à la télévision. Le film le Cri Silencieux, échographie d'un avortement, film très ancien, ne peut paraître sur les écrans de télévision. L'appui à l'avortement repose sur le refus de voir la réalité et de la montrer au grand public. C'est ainsi qu'on appelle "Centre de santé des femmes" ou "healtcare center" des cliniques d'avortements. Jamais vous ne verrez les responsables de ces centres argumenter directement de ce qui est vu par l'échographie. Ils détournent la conversation en parlant des "droits des femmes" qui rapportent tant à leurs cliniques de boucherie humaine.

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Le Chevalier suprême des Chevaliers de Colomb défend la liberté religieuse aux États-Unis

Bien qu'il parle au nom de catholiques, son discours rassembleur défend la liberté religieuse de toutes les dénominations chrétiennes. Le site zenit.org du 20 avril 2012 nous apporte cette information:

 

ROME, vendredi 20 avril 2012 (ZENIT.org) – « Un gouvernement qui veut influer sur la foi et la mission de l’Eglise est un gouvernement qui veut changer l’identité de l’Eglise », déclare Carl Anderson. Il appelle à un « front commun » des catholiques.

Le Chevalier suprême et président du Conseil d’administration des Chevaliers de Colomb (Knights of Colombus), était le l’invité principal du National Catholic Prayer Breakfast qui s’est tenu jeudi 19 avril à Washington D.C.

Le temps est venu de choisir, dit-il, « choisir si, en tant que catholiques, nous voulons faire front commun pour garder ouvertes les portes de la liberté religieuse ».

Dès le début de son discours, le responsable de l’organisation catholique de bienfaisance lance un avertissement : « J’ose dire que jamais, dans la vie d’aucun de nous ici présent, la liberté religieuse des Américains n’a été autant menacée qu’aujourd’hui. Il faut que nous rappelions à nos compatriotes américains, et en particulier à ceux qui exercent un pouvoir, que la liberté religieuse, liberté garantie par le Premier amendement, a été essentielle pour la fondation, le développement et le progrès de la République américaine ».

Anderson cite le discours inaugural du président Kennedy en 1961, dans lequel celui-ci indiquait que les droits, « pour lesquels nos ancêtres ont combattu », étaient fondés sur la conviction que « les droits de l’homme viennent non pas de la générosité de l’Etat, mais de la main de Dieu ».

Le responsable des Chevaliers de Colomb fait aussi référence à Martin Luther King, qui « tirait son inspiration de la tradition catholique de la loi naturelle et de saint Thomas d’Aquin ». Il constate que, « malgré les fréquentes références à Dieu dans les discours de Luther King, » si l’on visite le nouveau mémorial qui lui rend hommage sur le Mall national et si on lit les quatorze citations qui y sont inscrites, il n’y a « pas une seule référence à Dieu ».

« Vous imaginez combien nos dirigeants ont dû chercher longtemps pour trouver quatorze citations du Dr Luther King sans une seule mention du Tout-puissant », remarque Anderson : « Il n’existe pas de symbole plus choquant de la campagne actuelle qui cherche à chasser la religion de notre vie publique ».

Anderson commente alors Alexandre Soljenitsyne à propos de la manipulation de l’histoire en Russie soviétique : « Comment Soljenitsyne aurait-il considéré la controverse autour du mémorial de Luther King ? Aurait-il vu cela comme une intention de préserver l’unité spirituelle de l’Amérique ou comme un symptôme supplémentaire d’une tendance à couper les Américains de leur héritage religieux ? »

Aujourd’hui, poursuit Anderson, « nous rencontrons une nouvelle hostilité envers le rôle des institutions religieuses dans la vie aux Etats-Unis à une époque où le gouvernement étend son influence de manière extraordinaire ».

Faisant allusion au débat actuel sur les règles de l’administration pour la couverture de l’avortement, il critique fermement l’administration Obama qui interfère dans les affaires internes de l’Eglise : « Un gouvernement qui veut influer sur la foi et la mission de l’Eglise est un gouvernement qui veut changer l’identité de l’Eglise ».

Anderson rappelle que le Premier amendement est conçu pour empêcher la subordination de la religion à l’Etat.

« Nous apprécions la liberté religieuse à cause du bien que la religion apporte à la vie des croyants personnellement et à la vie de notre nation ». Cependant, « nous vivons à une époque où, du point de vue de la liberté religieuse, il semble qu’il y ait plus de portes qui se ferment que de portes qui s’ouvrent », déplore-t-il.

Ce qui rend cette liberté religieuse si insupportable au président américain, c'est que par elle de nombreuses voix s'élèvent pour dénoncer et combattre le massacre des enfants à naître. La défense des droits des enfants à naître n'est pas une question religieuse, mais il se trouve que la majeure partie de leurs défenseurs sont des croyants. Certainement que le "Tu ne tueras pas biblique" vient motiver ces communautés chrétiennes pour protéger l'enfant à naître. C'est tout à l'honneur de la religion de défendre les plus vulnérables, les enfants à naître, les personnes handicapées, les personnes en fin de vie.

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Depuis 1981, Campagne Québec-Vie critique la "Charte des droits et libertés" canadienne

Dès 1981, Campagne Québec-Vie a dénoncé la Charte des Droits et Libertés, pour trois raisons :
 
La première est qu’elle exclut le droit à la vie des enfants à naître. Avec 100 000 avortements annuellement au Canada, la Charte ne peut prétendre à la neutralité. Si les Inuits ou un groupe ou une classe de la population étaient exclus de la charte, tous les chrétiens et gens de bonne volonté auraient le devoir de s’y opposer. Ils ne diraient pas qu’elle contient tellement de points positifs qu’on ne peut s’y opposer pour des raisons morales ou religieuses. Les enfants à naître sont des membres de la famille humaine. Si la charte les exclut, cela est injuste.
 
La deuxième raison est que la Charte permet à la Cour Suprême de faire tomber toute législation qui protège les enfants à naître. L’interprétation de la charte est du ressort de la Cour suprême. Quelle que soit la décision d’un gouvernement, la Cour suprême a le dernier mot.
 
La troisième raison est que la charte attaque l’autorité parentale en éliminant les « discriminations » selon l’âge. Les procédures sur l’avortement qui demandaient le consentement des parents lorsque la personne demanderesse était d’âge mineur, sont effectivement tombées.
 
Pour ces raisons, dès la mise en place de cette « Charte des droits et libertés », Campagne Québec-Vie a dénoncé avec vigueur l’injustice intrinsèque de cette charte reniant les personnes les plus vulnérables de la population qu’elle est censée protéger!

L'immense injustice que contient cette charte en fait un texte des plus discutables. Trop de gens ont oublié qu'elle n'est qu'un texte humain, répondant à des objectifs politiques précis.

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Une pétition pour arrêter l'eugénisme en Europe

Sur le site de Zenit.org du 20 avril 2012, on trouve cette information:

 

Europe : arrêter l'eugénisme, maintenant
L'enjeu de l'affaire Kruzmane contre Lettonie

ROME, jeudi 19 avril 2012 (ZENIT.org) – C’est la première fois que des organisations en faveur de la trisomie 21 agissent ensemble au niveau européen pour une telle affaire : comment l’eugénisme pourrait-il être considéré comme un « droit humain » ?

La Fondation Jérôme Lejeune se mobilise aux côtés d’autres associations et familles européennes de personnes porteuses de trisomie 21 pour dénoncer une possiblereconnaissance de l’eugénisme des enfants à naître, handicapés ou malades, comme un droit fondamental en Europe par la Cour Européenne des Droits de l’Homme (CEDH). Tel est l’enjeu de l’affaire Kruzmane contre Lettonie en cours de jugement à Strasbourg.

Les associations européennes d’ores et déjà co-signataires de la déclaration en ligne sur le site www.stopeugenicsnow.org font part de leur action commune de mobilisation et sensibilisation sur ce grave sujet à travers ce communiqué en ligne.

Outre les citoyens européens appelés à signer individuellement la déclaration, d’autres associations et organisations européennes prolongeront la liste des organisations signataires pour apporter leur soutien à cette mobilisation dans les jours à venir.

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Une journée de défense des enfants à naître institués par les évêques orthodoxes du Canada

Sur le site de Radio Ville-Marie du 20 avril 2012, on retrouve cette excellente nouvelle:

 

 

 

[Canada] Les évêques orthodoxes du Canada instaurent une journée de défense des enfants à naître

Les évêques orthodoxes canadiens se sont entendus pour que le premier dimanche du mois d’octobre soit désormais la Journée de défense des enfants à naître. Cette décision fut prise dans le cadre de la réunion annuelle de la Conférence des évêques orthodoxes du Canada s’est déroulée à Toronto le 29 mars 2012.

Treize des quinze hiérarques des différentes Églises orthodoxes locales représentées au Canada, présidés par le métropolite Sotirios de Toronto (Patriarcat de Constantinople), ont participé aux travaux de la Conférence.

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