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Le refus de voir la réalité de Brigitte Breton, journaliste au journal "Le Soleil", ou la philosophie de l'autruche...

Dans un article paru dans le journal Le Soleil du 30 avril 2012, la journaliste Brigitte Breton affirme:

 

 

Les propos de l'ex-ministre O'Connor devraient inciter les alliés de M. Woodworth à réfléchir au dessein qu'ils couvrent sous le prétexte d'arrimer les droits du foetus à la réalité scientifique de 2012. Leur objectif de diluer et de restreindre les droits des femmes au profit de leurs croyances, et non des embryons, est évident. Encore une fois, ils tentent d'opposer les droits des unes contre ceux des autres, même si la Cour suprême a conclu plus d'une fois que les droits du père ou du foetus ne peuvent l'emporter sur le droit de la femme de contrôler son propre corps.

La Cour suprême a jugé selon des définitions de l'être humain qui, bien qu'elles paraissent sensées aux ancêtres de nos ancêtres, ne sont plus à point scientifiquement... d'où la motion du député Woodworth. La journaliste, comme la majorité des députés qui ont pris la parole lors du débat, refuse toute mise à jour scientifique parce qu'elle sait que la science affirme déjà que l'enfant à naître est un être humain bien avant sa naissance... D'où le refus obscurantiste de la journaliste, de députés, de marxistes-féministes pour la reconnaissance de l'enfant à naître pour ce qu'il est, ce qui viendrait ouvrir le débat sur la légitimité de tuer avant la naissance, nos enfants.

Pour la journaliste, la croyance qu'il suffit d'ignorer une réalité pour qu'elle n'existe pas, devrait être imposée à la science et à toute personne pensant que l'interdiction de tuer devrait s'appliquer à tous.

Lorsque nos enfants liront un jour ces articles aux archives, ils n'en reviendront pas de lire des exemples frappants, si récents, de ce qu'ils appelleront peut-être alors la "philosophie de l'autruche"!

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Chen Guangcheng, le militant contre la stérilisation et l'avortement forcé en Chine réfugié à l'ambassade américaine

Si seulement il pouvait faire réfléchir les autorités américaines dans leur appui aux campagnes de contrôle des populations, par l'entremise de l'ONU. Par mesures de représailles, les autorité chinoises ont arrêté l'ami de Chen, le militant Hu Jia. Le journal Le Devoir du 30 avril 2012 nous apporte cette nouvelle:

 

 

Le militant des droits de l’homme Hu Jia a été arrêté par la sécurité d’État chinoise, a rapporté hier l’épouse de cet ami de l’avocat Chen Guangcheng, dont le refuge dans l’ambassade des États-Unis en Chine menace, s’il est confirmé, d’ouvrir une crise diplomatique entre Washington et Pékin.

Zeng Jinyan a rapporté la détention de Hu Jia pour interrogatoire dans un commissariat de l’est de la capitale chinoise dans la nuit de samedi à hier sur son compte Twitter.

Quelques heures auparavant, M. Hu avait déclaré à l’AFP qu’il pensait que Chen Guangcheng se trouvait à l’ambassade américaine à Pékin. Une photo montrant Hu souriant en compagnie de Chen, portant comme toujours des lunettes noires, a d’autre part été diffusée samedi.

Célèbre pour sa lutte en faveur des droits de l’Homme, des victimes du sida ou de l’environnement, Hu Jia avait été libéré en juin 2011 après avoir purgé plus de trois ans de prison pour «tentative de subversion du pouvoir».

Surnommé l’«avocat aux pieds nus», Chen Guangcheng s’est surtout battu contre les pratiques abusives de stérilisation de milliers de femmes et d’avortements tardifs et forcés.

Nicolas Bequelin, de l’organisation Human Rights Watch, a estimé sur son compte Twitter qu’il y avait peu de chances pour que Hu Jia soit libéré avant qu’une solution ait été trouvée pour Chen Guangcheng, lequel a interpellé dans une vidéo le Premier ministre Wen Jiabao sur les mauvais traitements qui lui ont été infligés.

L’évasion de Chen dans des circonstances non encore élucidées et son possible refuge à l’ambassade américaine constitue une source d’embarras pour Pékin et Washington, avant la venue prévue les 3 et 4 mai dans la capitale chinoise de la secrétaire d’État américaine Hillary Clinton et du secrétaire au Trésor Timothy Geithner, pour un «dialogue stratégique et économique» entre les deux pays.

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Pepsi élimine l'utilisation de cellules souches embryonnaires pour ses recherches!

Une très bonne nouvelle ce matin. La compagnie Pepsico, devant l'opposition du public à l'utilisation de cellules souches embryonnaires pour ses recherches de nouvelles saveurs, rejette cette option, selon une déclaration officielle datée du 30 avril 2012! Victoire! Pour plus d'informations (en anglais seulement) vous pouvez consulter le site Children of God for Life.

(Largo, Fl) Children of God for Life announced today the stunning news that PepsiCo will not use aborted fetal cell line HEK-293 (human embryonic kidney) in their contractual agreement with Senomyx to develop flavor enhancers for their beverages.

Children of God for Life’s Executive Director, Debi Vinnedge, hailed PepsiCo’s decision as a major breakthrough and achievement by thousands of concerned consumers who have been writing and boycotting PepsiCo beverages since last May.
In a letter to Children of God for Life, PepsiCo’s VP of Global Public Policy, Paul Boykas stated that “Senomyx will not use HEK cells or any other tissues or cell lines derived from human embryos or fetuses for research performed on behalf of PepsiCo.”
“We are absolutely thrilled with PepsiCo’s decision,” stated Mrs. Vinnedge. “They have listened to their customers and have made both a wise and profound statement of corporate integrity that deserves the utmost respect, admiration and support of the public.”
In speaking with Mr. Boykas, Vinnedge noted that the company had conducted internal discussions, recognizing it was a highly sensitive and controversial subject that quite frankly, was not in the best interests of PepsiCo.
“We took the matter very seriously,” stated Mr. Boykas. “We have an official Statement on Responsible Research and we intend to live by that policy.”
That policy precludes any research by PepsiCo - or third parties they fund – from using human tissue or cell lines derived from embryos or fetuses. (See: http://www.pepsico.com/Company/Corporate-Governance/Policies.html and click on Responsible Research)
The decision means an immediate end to the boycott that began in May 2011- welcome news to both PepsiCo and their customers who have abstained from their favorite beverages in protest.
“We are grateful to PepsiCo and especially to all those who sent a loud and clear message to the management of this company. It’s incumbent upon us to closely monitor the situation to be sure that PepsiCo remains true to their word,” said Brad Mattes, Executive Director of Life Issues Institute, one of thirty five prolife organizations that joined Children of God for Life in the boycott. “There are moral cell lines Senomyx can and should be using – not just for PepsiCo research but for all their customers.”
Senomyx receives royalties for products sold using their ingredients. If they do not use aborted fetal cell lines, they offend no one; if they do, they most certainly offend at least half of US consumers who are prolife. But Children of God for Life also heard from a number of women who stated they were pro choice yet this use of aborted fetal cell lines, crossed the line and angered them as well.
“If for no other reason, it only makes financial sense for both Senomyx and their collaborators to avoid a substantial loss of potential market,” Vinnedge said. “Senomyx needs to stop using the aborted fetal cell lines entirely and we will continue to pressure them to do so.”
Vinnedge is strongly encouraging the public to take one more important step: write to PepsiCo and thank them – and then go buy your favorite Pepsi products to celebrate!
“Too often we seem to focus on the negatives and forget to take the time to let others know we appreciate their efforts”, stated Vinnedge. “It is our sincere hope that the public will once again rise to the occasion en masse as they did in the boycott – but this time in appreciation and support of PepsiCo.”
To read the previous articles and efforts in our boycott: www.cogforlife.org/pepsiboycotthistory.htm
Write to thank Pepsi on their website at: http://cr.pepsi.com/usen/pepsiusen.cfm?time=5189878
Or Via US Mail to
Albert P. Carey, CEO PepsiCo Beverages
700 Anderson Hill Road
Purchase, NY 10577
Phone: (914) 253-2000
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Le journal de Québec interroge Campagne Québec-Vie sur la motion M-312!

Sur le site du Journal de Québec du 27 avril 2012:

 

 

« La Cour suprême s’est prononcée là-dessus. Rappelez-vous l’histoire de Chantal Daigle (1989). Tant qu’il n’est pas né, l’enfant n’a pas de droit, soulève Marie-Michèle Dubeau, directrice générale de SOS Grossesse. La femme est la personne la mieux placée pour faire le choix de garder ou non l’enfant. Il n’y a pas de moins bonnes ou de meilleures raisons, ça appartient à chacun. »

Cette position est réfutée par l’organisme Campagne Québec-vie. Le fœtus est un être humain dès sa conception, défend le groupe basé à Montréal. Accepter qu’une femme interrompt sa grossesse parce qu’elle vit des moments difficiles équivaut à donner sa bénédiction à un meurtre, soutient le groupe montréalais. « La mère pourrait utiliser ces mêmes raisons pour justifier qu’elle a tué son enfant de trois ans, lance la porte-parole Agnès Colantuoni. Ce n’est pas à nous de décider quand il est acceptable de tuer un être humain. Si la mère est en difficulté, il faut essayer de l’aider. Il faut augmenter le désir d’aider, avoir plus de compassion. »

L’idée qu’un enfant ait des droits seulement à sa naissance est injuste, selon Mme Colantuoni. « Si un enfant peut naître à sept mois, comment se fait-il qu’un enfant ne soit pas un être humain avant la naissance qui est la plupart du temps après neuf mois de grossesse? »

Le débat perdurera

Mme Dubeau croit que l’avortement continuera de faire couler de l’encre tant que les conservateurs seront au pouvoir. « Les groupes privés contre l’avortement poussent sur le gouvernement pour que la question de l’avortement soit rouverte, dit-elle. Le droit à l’avortement, on a de plus en plus l’impression que c’est remis en question, alors qu’on pensait que c’était un droit acquis. »


Campagne Québec-Vie a besoin de vous pour continuer ce combat pour le droit des enfants à naître. Merci pour vos prières et pour l'aide financière que vous nous apportez par vos dons.

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Le gouvernement conservateur combat les droits de l'enfant à naître

Sur le site de Radio-Canada du 27 avril 2012:

 

(Stephen Harper et le whip du parti conservateur, Gordon O'Connor)

 

Les députés de la Chambre des communes ont débattu, en fin de journée, d'une motion qui pourrait rouvrir le débat sur l'avortement au pays. Cette motion, déposée en février dernier par le député conservateur Stephen Woodworth, réclame qu'un comité parlementaire se penche sur le statut juridique du foetus.

Une motion qui crée des remous

En Chambre, jeudi, l'opposition néo-démocrate a accusé le premier ministre de renier sa promesse électorale de ne pas ouvrir le débat sur l'avortement.

« Pourquoi le premier ministre a permis que soit rouvert le débat sur l'avortement? », a déclaré le chef du Nouveau Parti démocratique, Thomas Mulcair.

La députée néo-démocrate Françoise Boivin a de son côté accusé M. Harper de ne pas être « capable de contrôler son caucus ».

Le premier ministre dit toutefois avoir les mains liées. Selon les règles de la Chambre des communes, les députés peuvent en effet déposer des motions privées. Un comité parlementaire indépendant tranche alors sur la tenue, ou non, d'un vote en Chambre. De plus, les statuts du Parti conservateur veulent qu'il y ait des votes libres sur les enjeux moraux.

« Ce comité composé des trois partis a décidé, malheureusement à mon avis, qu'il y aura un vote. Et moi, je vote contre cette motion. » — Le premier ministre Stephen Harper

À la fin du débat, le whip en chef du gouvernement, Gordon O'Connor, a voulu dissiper tout doute sur la position de son gouvernement.

« Je veux que toutes les femmes puissent continuer à faire le choix de l'avortement, qu'elles reçoivent un soutien médical et qu'il n'y ait aucune menace de poursuites judiciaires. » — Gordon O'Connor
 
Selon la chef de bureau de Radio-Canada à Ottawa, Emmanuelle Latraverse, la députée néo-démocrate Françoise Boivin est allée voir M. O'Connor pour le remercier et lui dire qu'on comprenait maintenant quelle était la volonté du gouvernement dans ce dossier.

Un vote devrait être tenu à la mi-juin sur cette motion.

Le « statut juridique du foetus »

D'après Stephen Woodworth, les lois actuelles ne protègent pas les enfants avant leur naissance. Selon l'article 223 du Code criminel canadien, le foetus devient légalement un être humain lorsqu'il sort vivant du ventre de sa mère. Avant sa venue au monde, le bébé n'a donc aucune existence légale.

Le député ontarien souligne que cette définition des droits du foetus, qui remonte au 19e siècle, est archaïque et qu'il est temps de la revoir.

D'après le député de Kitchener-Centre, à la lumière des connaissances scientifiques dont nous disposons maintenant, cela ne fait aucun doute qu'un foetus est déjà un être humain avant de naître.

Conscient que sa motion pourrait relancer le débat sur l'avortement, Stephen Wooworth estime qu'il est temps d'avoir une « discussion honnête » sur la question.

Droit à l'avortement : le foetus dans les limbes. Depuis la décriminalisation de l'avortement par la Cour suprême en 1988, une série d'arrêts sont venus conforter ce droit, et toutes les tentatives législatives au Parlement pour en limiter l'accès ont jusqu'ici échoué.
 
Les partisans du libre choix se mobilisent

Le dépôt de cette demande de révision du Code criminel sur les droits du foetus provoque une levée de boucliers dans les rangs de l'opposition officielle et des organismes pro-choix.

Ces derniers accusent le gouvernement Harper de tenter de relancer le débat sur l'avortement de façon détournée en se servant d'un député d'arrière-ban.

Pour les opposants au projet, une reconnaissance des droits du foetus dans le Code criminel canadien aurait un impact certain sur l'accès et la légalité des services d'avortement offerts au pays.

« La question, elle s'arrête là où on dit qu'il appartient à la femme de choisir ce qu'elle fait avec son corps », déclarait par ailleurs la députée néo-démocrate François Boivin sur les marches du parlement.

Depuis plusieurs années, le premier ministre Harper répète qu'il n'a aucune intention de replonger le pays dans ce débat. Il s'était même engagé lors de la dernière campagne électorale à ne pas rouvrir cette question. Mais plusieurs députés conservateurs affirment ouvertement être en faveur d'un vote libre aux Communes sur la question. Les libéraux partagent également l'idée de se prononcer librement sur la question.

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Radio-Canada n'en manque pas une... lorsqu'il s'agit du "droit" de tuer les enfants à naître.

40 personnes ont manifesté à Charlottetown hier soir... Sûrement que cela vous intéresse. Mais voilà, elles manifestaient pour le droit à l'avortement. Aussitôt, Radio-Canada va chercher la nouvelle. Si la chaîne publique avait l'honnêteté de couvrir de façon proportionnée la Marche pour la Vie et les contre-manifestations, nous aurions probablement le droit à une heure télévisée sur notre marche, ce 10 mai! Mais il ne faut pas rêver. Depuis ces débuts, la chaîne de télé vivant de nos impôts a toujours travaillé pour le meurtre des enfants à naître... Pour l'objectivité, mieux vaut regarder ailleurs.

Vous pouvez également lire le compte-rendu de Radio-Canada sur le débat d'hier aux Communes. Si notre radio pan-canadienne donne la parole à des députés pro-choix, elle ne rend pas la pareille aux députés pro-vies. Stephen Woodworth doit paraître complètement isolé...

Campagne Québec-Vie travaille à vous donner l'information qui ne vous parviendrait pas si vous ne comptiez que sur la chaîne nationale. Pour ce faire, nous avons besoin de votre soutien. Allez chercher l'information qui vous renseignera demande une présence constante à tout ce qui s'écrit sur les sujets bioéthique, et nous oeuvrons à vous donner un aperçu rapide de l'actualité. Merci de nous soutenir par vos prières et par vos dons.

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Sondage La Presse sur l'avortement ce 27 avril 2012, allons voter!

Sur le site de La Presse du 27 avril 2012, on retrouve cette question du jour:

Le député conservateur Stephen Woodworth a rouvert le débat sur l'avortement aux Communes en déposant une motion pour qu'un comité parlementaire se penche sur la définition «d'être humain». Êtes-vous d'accord avec l'initiative du député?

Merci d'aller voter!

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La chef du Parti Vert, Élisabeth May, défend le "droit" de tuer les enfants à naître...

Sur le site de la chef du Parti Vert, un discours reprenant les stéréotypes récurrents sur les "droits" d'éliminer les enfants à naître:

(Élizabeth May)

 

La motion M‑312 du conservateur Stephen Woodworth sur le statut juridique de l’avortement, qui sera déposée à la Chambre des communes aujourd’hui pour être débattue, rouvrira le débat acrimonieux sur l’avortement – et menacera du même coup les droits liés à la procréation âprement gagnés par les femmes canadiennes.

« Cette motion est une tentative indirecte de rouvrir le débat sur l’avortement », a dénoncé la chef du Parti vert du Canada et députée de Saanich—Gulf Islands Elizabeth May. « Le Parti vert s’oppose vivement à toute tentative des conservateurs de Harper de saboter le droit de la femme à obtenir un avortement sécuritaire et légal. Nous appuyons sans équivoque le droit fondamental de la femme de contrôler librement sa propre fertilité. »

Si le Parti Vert ne défend pas les êtres humains comme membres à part entière de l'écologie, à quoi sert-il?

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Stephen Harper votera contre la motion M-312 visant à reconnaître l'humanité de l'enfant à naître!

Un article paru sur le site de Canoe.ca du 26 avril 2012:

 

(Stephen Harper)

OTTAWA – Le premier ministre Stephen Harper votera contre une motion présentée par un de ses députés, jeudi soir aux Communes, et qui aura pour effet de relancer le débat sur l'avortement.
 

Le député conservateur Stephen Woodworth doit déposer une motion, dans laquelle il demande qu'un comité spécial parlementaire soit créé et chargé d'examiner si un fœtus doit être considéré comme un être humain avant le moment de sa naissance.

Un débat des parlementaires aura lieu après le dépôt de cette motion, mais ce n'est que dans plusieurs mois qu'un vote devrait ensuite avoir lieu.

«C'est le droit d'un député de déposer une motion, c'est le droit de n'importe lequel des députés et le chef du parti ne contrôle pas ça», a lancé le premier ministre Harper, lors de la période de questions, jeudi, lorsque questionné à ce sujet par le chef du NPD, Thomas Mulcair.

Le premier ministre a aussi condamné la décision d'un comité parlementaire d'avoir au préalable permis qu'une telle motion soit déposée aux Communes par le député conservateur.

«Ce comité composé de trois partis a décidé, malheureusement à mon avis, qu'il y aura un vote et moi je vote contre cette motion», a renchéri le premier ministre.

Les partis d'opposition accusent pour leur part le gouvernement Harper de vouloir rouvrir le débat sur l'avortement par la porte d'en arrière en laissant un député d'arrière-ban présenter une motion en ce sens.

Le député conservateur ontarien a déjà indiqué qu'un fœtus doit être considéré comme une personne humaine avant le moment de la naissance.

«La définition d'être humain vieille de 400 ans du Canada dit que les enfants ne sont des êtres humains qu'au moment de la naissance complète, a déclaré récemment ce dernier, député de Kitchener-Centre. J'ai conclu que la science médicale moderne nous informera que les enfants sont en réalité des êtres humains à un certain point avant le moment de la naissance complète.»

Selon M. Woodworth, «les députés ont le devoir de ne pas accepter toute loi qui dit que certains êtres humains ne sont pas humains».

 

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Une Rwandaise exprime clairement les raisons de refuser l'avortement au Rwanda, dans une entrevue à Radio-Canada!

Sur le site de Tam-Tam de Radio-Canada, une entrevue de deux femmes Rwandaises dont l'une se prononçe clairement contre l'avortement. À écouter en entier! (L'entrevue dure seulement 11 minutes et 58 secondes). L'une des invitées démonte l'argument selon lequel l'avortement légal doit être implanté pour lutter contre l'avortement clandestin. Son témoignage mérite d'être écouté, nous ne vous retranscrivons donc pas ses réponses, mais nous les conservons en mémoire comme de précieux outils pour les prochains articles!

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